Le capitaine de la sélection algérienne de football, Madjid Bougherra, était fou furieux à l'issue de la défaite des Verts sur le terrain du Burkina Faso (3-2) samedi en barrage aller des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 au Brésil. Il en voulait tellement à l'arbitre zambien, qui aura privé les Algériens d'au moins d'un nul, selon lui. Le capitaine de la sélection algérienne de football, Madjid Bougherra, était fou furieux à l'issue de la défaite des Verts sur le terrain du Burkina Faso (3-2) samedi en barrage aller des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 au Brésil. Il en voulait tellement à l'arbitre zambien, qui aura privé les Algériens d'au moins d'un nul, selon lui. Réputé pourtant pour son calme et sa lucidité, Bougherra est sorti cette fois de ses gonds, "craquant" face à "l'injustice" dont a été victime l'équipe nationale. "C'est un arbitrage scandaleux. Sa partialité était flagrante dans ce match, et sans cela, on aurait pu prétendre au moins au nul", a déclaré le défenseur central de Lekhouiya (Qatar) à l'issue de la partie. Enervé qu'il était, le joueur de 31 ans qui rêve d'une deuxième participation d'affilée à un Mondial a donné libre court à ses pensées, allant jusqu'à promettre de "rendre la pareille" aux Etalons du Burkina lors du match retour prévu pour le 19 novembre prochain à Blida. "La deuxième manche se jouera chez nous en Algérie, et on saura comment profiter de cet avantage pour rendre la pareille à notre adversaire", a-t-il encore lâché à l'issue du match de Ouagadougou devant un parterre de journalistes venus recueillir ses impressions dans la zone mixte du stade 4-Août après avoir fait l'impasse sur la conférence de presse d'usage à laquelle il était pourtant convié. Bougherra, qui trouvait du mal à digérer cette défaite, a néanmoins trouvé consolation chez le président de la fédération algérienne, Mohamed Raouraoua, qui semblait avoir trouvé les mots justes pour tempérer les ardeurs de l'ancien défenseur des Glasgow Rangers, qui tient plus que jamais à réaliser le rêve d'aller au Brésil avant de partir en retraite, comme il l'avait souvent dit. Réputé pourtant pour son calme et sa lucidité, Bougherra est sorti cette fois de ses gonds, "craquant" face à "l'injustice" dont a été victime l'équipe nationale. "C'est un arbitrage scandaleux. Sa partialité était flagrante dans ce match, et sans cela, on aurait pu prétendre au moins au nul", a déclaré le défenseur central de Lekhouiya (Qatar) à l'issue de la partie. Enervé qu'il était, le joueur de 31 ans qui rêve d'une deuxième participation d'affilée à un Mondial a donné libre court à ses pensées, allant jusqu'à promettre de "rendre la pareille" aux Etalons du Burkina lors du match retour prévu pour le 19 novembre prochain à Blida. "La deuxième manche se jouera chez nous en Algérie, et on saura comment profiter de cet avantage pour rendre la pareille à notre adversaire", a-t-il encore lâché à l'issue du match de Ouagadougou devant un parterre de journalistes venus recueillir ses impressions dans la zone mixte du stade 4-Août après avoir fait l'impasse sur la conférence de presse d'usage à laquelle il était pourtant convié. Bougherra, qui trouvait du mal à digérer cette défaite, a néanmoins trouvé consolation chez le président de la fédération algérienne, Mohamed Raouraoua, qui semblait avoir trouvé les mots justes pour tempérer les ardeurs de l'ancien défenseur des Glasgow Rangers, qui tient plus que jamais à réaliser le rêve d'aller au Brésil avant de partir en retraite, comme il l'avait souvent dit.