En août 2013, l'inflation annuelle dans la zone G20 s'est élevée à 3.0%, comparé à 3.2% en juillet 2013, selon une nouvelle publication. L'IPC du G20 reflète cependant l'existence d'évolutions divergentes de l'IPC au sein des plus grandes économies du monde. L'Inde, l'Argentine, l'Indonésie et la Turquie ont enregistré, en août 2013, les taux d'inflation annuelle les plus élevés du G20 (supérieurs ou égaux à 8%) alors que les plus bas ont été enregistrés au Japon, en France, au Canada et en Italie (entre 0.9% et 1.2%). En août 2013, l'inflation annuelle dans la zone G20 s'est élevée à 3.0%, comparé à 3.2% en juillet 2013, selon une nouvelle publication. L'IPC du G20 reflète cependant l'existence d'évolutions divergentes de l'IPC au sein des plus grandes économies du monde. L'Inde, l'Argentine, l'Indonésie et la Turquie ont enregistré, en août 2013, les taux d'inflation annuelle les plus élevés du G20 (supérieurs ou égaux à 8%) alors que les plus bas ont été enregistrés au Japon, en France, au Canada et en Italie (entre 0.9% et 1.2%). En août 2013, l'inflation annuelle a ralenti en Turquie (8.0% en août, comparé à 8.6% en juillet), aux Etats-Unis (1.5% comparé à 2.0%), en Allemagne (1.6% comparé à 1.9%) et plus modérément dans l'Union européenne (1.5% comparé à 1.7%), au Brésil (6.1% comparé à 6.3%), en Inde (10.7% comparé à 10.8%) et en Chine (2.6% comparé à 2.7%). En revanche, l'inflation annuelle a légèrement augmenté en Indonésie (8.8% comparé à 8.6%) et au Japon (0.9% comparé à 0.7%) alors qu'elle a été stable dans la Fédération de Russie (à 6.5%), en Afrique du Sud (à 6.4%), au Mexique (à 3.5%) et en Italie (à 1.2%). L'indice des prix à la consommation (IPC) mesure les variations de prix d'un panier représentatif de biens et de services généralement acheté par les ménages. L'agrégat de l'IPC du G20 se réfère aux IPC nationaux de tous les pays du G20 (à l'exception de la Turquie) qui ne sont pas membres de l'Union européenne (UE) tandis qu'il se réfère à l'indice des prix à la consommation harmonisés (IPCH) pour l'UE, ses états membres et la Turquie. Dans la plupart des cas, les IPC sont établis conformément aux recommandations et directives statistiques internationales. Cependant, les pratiques nationales peuvent diverger dans la couverture et le traitement de certains articles et dans l'utilisation des formules d'indices. En particulier, les méthodologies utilisées par les pays pour le traitement des logements occupés par leur propriétaire dans l'IPC peuvent varier significativement alors même que sa pondération dans l'IPC est importante. L'IPCH européen est fondé sur une approche harmonisée et un ensemble unique de définitions en vue de parvenir à des mesures comparables de l'inflation dans l'UE ; les logements occupés par leur propriétaire sont exclus du champ de l'IPCH. L'IPC du G20 est calculé par le Secrétariat de l'OCDE selon une méthodologie approuvée par le Groupe inter-agences de statistiques économiques et financières. Il se réfère aux données des IPC et IPCH reportées par les membres du G20 et Eurostat. L'IPC du G20 a été calculé pour l'indicateur clé uniquement (IPC/IPCH Total). Il s'agit d'un indice-chaîne de type Laspeyres raccordé sur une base annuelle. Le poids de chaque pays dans chaque raccord est calculé à partir des dépenses de consommation finale privée des ménages et des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) exprimées en Parités de pouvoir d'achat (PPA). Le G20 comprend les membres suivants : Afrique du Sud, Allemagne, Arabie saoudite, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, Corée, Etats-Unis, Fédération de Russie, France, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Mexique, Royaume-Uni, Turquie et Union européenne. L'agrégat du G20 est calculé à partir des quinze pays membres du G20 (sauf l'Allemagne, la France, l'Italie et le Royaume-Uni) et de l'agrégat de l'Union européenne. L'Union européenne fait référence à la composition actuelle de l'Union européenne (28 pays) pour toute la période. La Zone euro fait référence à la composition actuelle de la Zone euro (17 pays) pour toute la période. Le FMI a publié une déclaration de censure et a appelé l'Argentine à adopter des mesures correctives afin de remédier aux problèmes de qualité des données de l'IPC officiel. En l'absence d'une mesure alternative unique et étant donné le faible poids de l'Argentine dans l'agrégat du G20, les données officielles de l'Argentine ont été incluses dans l'agrégat du G20 (toute déclaration erronée 10 points de pourcentage, par exemple, aura seulement une incidence d'environ 0.1 point de pourcentage sur l'agrégat du G20). De plus, en l'absence de donnée pour l'Arabie saoudite pour la période la plus récente, celle-ci a été imputée en utilisant la moyenne pondérée de la variation en pourcentage par rapport à la période précédente de l'ensemble des membres du G20 pour lesquels l'IPC est disponible. Dans le cas de l'Australie, les trois valeurs mensuelles au sein d'un trimestre ont été fixées comme égales à la valeur du trimestre. La publication de l'indice des prix à la consommation (IPC) du G20 marque la seconde publication d'un agrégat statistique du G20 et fait suite à la première publication, le 14 mars 2012, de la croissance trimestrielle du PIB du G20. La publication des agrégats du G20 contribue à la mise en œuvre du Data Gaps Initiative – un ensemble de 20 recommandations approuvées par les Ministres des Finances du G20 et les Gouverneurs des Banques centrales visant à améliorer les statistiques. Ce processus est coordonné par le Groupe inter-agences de statistiques économiques et financières (IAG): la Banque centrale européenne, la Banque des règlements internationaux, la Banque mondiale, Eurostat, le Fonds monétaire international (présidence), les Nations unies et l'OCDE. En août 2013, l'inflation annuelle a ralenti en Turquie (8.0% en août, comparé à 8.6% en juillet), aux Etats-Unis (1.5% comparé à 2.0%), en Allemagne (1.6% comparé à 1.9%) et plus modérément dans l'Union européenne (1.5% comparé à 1.7%), au Brésil (6.1% comparé à 6.3%), en Inde (10.7% comparé à 10.8%) et en Chine (2.6% comparé à 2.7%). En revanche, l'inflation annuelle a légèrement augmenté en Indonésie (8.8% comparé à 8.6%) et au Japon (0.9% comparé à 0.7%) alors qu'elle a été stable dans la Fédération de Russie (à 6.5%), en Afrique du Sud (à 6.4%), au Mexique (à 3.5%) et en Italie (à 1.2%). L'indice des prix à la consommation (IPC) mesure les variations de prix d'un panier représentatif de biens et de services généralement acheté par les ménages. L'agrégat de l'IPC du G20 se réfère aux IPC nationaux de tous les pays du G20 (à l'exception de la Turquie) qui ne sont pas membres de l'Union européenne (UE) tandis qu'il se réfère à l'indice des prix à la consommation harmonisés (IPCH) pour l'UE, ses états membres et la Turquie. Dans la plupart des cas, les IPC sont établis conformément aux recommandations et directives statistiques internationales. Cependant, les pratiques nationales peuvent diverger dans la couverture et le traitement de certains articles et dans l'utilisation des formules d'indices. En particulier, les méthodologies utilisées par les pays pour le traitement des logements occupés par leur propriétaire dans l'IPC peuvent varier significativement alors même que sa pondération dans l'IPC est importante. L'IPCH européen est fondé sur une approche harmonisée et un ensemble unique de définitions en vue de parvenir à des mesures comparables de l'inflation dans l'UE ; les logements occupés par leur propriétaire sont exclus du champ de l'IPCH. L'IPC du G20 est calculé par le Secrétariat de l'OCDE selon une méthodologie approuvée par le Groupe inter-agences de statistiques économiques et financières. Il se réfère aux données des IPC et IPCH reportées par les membres du G20 et Eurostat. L'IPC du G20 a été calculé pour l'indicateur clé uniquement (IPC/IPCH Total). Il s'agit d'un indice-chaîne de type Laspeyres raccordé sur une base annuelle. Le poids de chaque pays dans chaque raccord est calculé à partir des dépenses de consommation finale privée des ménages et des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) exprimées en Parités de pouvoir d'achat (PPA). Le G20 comprend les membres suivants : Afrique du Sud, Allemagne, Arabie saoudite, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, Corée, Etats-Unis, Fédération de Russie, France, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Mexique, Royaume-Uni, Turquie et Union européenne. L'agrégat du G20 est calculé à partir des quinze pays membres du G20 (sauf l'Allemagne, la France, l'Italie et le Royaume-Uni) et de l'agrégat de l'Union européenne. L'Union européenne fait référence à la composition actuelle de l'Union européenne (28 pays) pour toute la période. La Zone euro fait référence à la composition actuelle de la Zone euro (17 pays) pour toute la période. Le FMI a publié une déclaration de censure et a appelé l'Argentine à adopter des mesures correctives afin de remédier aux problèmes de qualité des données de l'IPC officiel. En l'absence d'une mesure alternative unique et étant donné le faible poids de l'Argentine dans l'agrégat du G20, les données officielles de l'Argentine ont été incluses dans l'agrégat du G20 (toute déclaration erronée 10 points de pourcentage, par exemple, aura seulement une incidence d'environ 0.1 point de pourcentage sur l'agrégat du G20). De plus, en l'absence de donnée pour l'Arabie saoudite pour la période la plus récente, celle-ci a été imputée en utilisant la moyenne pondérée de la variation en pourcentage par rapport à la période précédente de l'ensemble des membres du G20 pour lesquels l'IPC est disponible. Dans le cas de l'Australie, les trois valeurs mensuelles au sein d'un trimestre ont été fixées comme égales à la valeur du trimestre. La publication de l'indice des prix à la consommation (IPC) du G20 marque la seconde publication d'un agrégat statistique du G20 et fait suite à la première publication, le 14 mars 2012, de la croissance trimestrielle du PIB du G20. La publication des agrégats du G20 contribue à la mise en œuvre du Data Gaps Initiative – un ensemble de 20 recommandations approuvées par les Ministres des Finances du G20 et les Gouverneurs des Banques centrales visant à améliorer les statistiques. Ce processus est coordonné par le Groupe inter-agences de statistiques économiques et financières (IAG): la Banque centrale européenne, la Banque des règlements internationaux, la Banque mondiale, Eurostat, le Fonds monétaire international (présidence), les Nations unies et l'OCDE.