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La station d'épuration en phase d'essai
AIN TEMOUCHENT, Direction des ressources en eau
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 10 - 2013

La nouvelle station d'épuration des eaux usées de la ville de Aïn Temouchent est extensible à 119.000 équivalent habitant à l'horizon 2030, soit 13.500 m3/j.
La nouvelle station d'épuration des eaux usées de la ville de Aïn Temouchent est extensible à 119.000 équivalent habitant à l'horizon 2030, soit 13.500 m3/j.
A Aïn Temouchent, la nouvelle station d'épuration des eaux usées (Step) est entrée en phase d'essai, a indiqué samedi dernier le directeur des ressources en eau de la wilaya. Réalisée par une société étrangère pour un coût global de deux milliards DA, cette station d'une capacité de 80.000 équivalent habitants, soit 10.920 m3/jour, se trouve en phase d'essai sous la supervision de l'entreprise réalisatrice pour une durée de deux ans, a précisé à l'APS Mourad Hamel.
A la fin de cette phase, elle sera gérée par l'antenne locale de l'Office national d'assainissement (ONA), a ajouté le même responsable, indiquant que cette nouvelle station d'épuration des eaux usées de la ville de Aïn Temouchent est extensible à 119.000 équivalent habitant à l'horizon 2030, soit 13.500 m3/j.
Les principaux objectifs du projet sont d'intercepter et d'épurer les eaux d'origine domestiques, afin de contribuer à la préservation des ressources et la valorisation des résidus. Un traitement biologique à boues activées de la charge carbonée, azotée et phosphorée a été retenu traiter.
Les boues seront épaissies et déshydratées sur filtre à bande et lit de séchage, a expliqué à l'APS M. Hamel, ajoutant, "pour l'instant, les eaux épurées sont rejetées en mer, en attendant leur exploitation à des fins d'irrigation agricole". L'Office national d'assainissement (ONA) est déjà présent au niveau de six stations implantées à Aïn Larbâa, Emir-Abdelkader, Sidi Safi, Hassi El-Ghella, El Amria et El Malah.
Dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014 portant sur la dotation de chaque commune de la wilaya de ces moyens de protection de l'environnement, une autre station, d'un débit de rejet de 1.226 m3/jour, est en cours de réalisation à Bouzedjar. Basé sur de la boue activée à faible charge, le même process d'épuration est retenu, a indiqué le directeur des ressources en eau de la wilaya.
La capacité de cette Step passera à 1.920 et 2.640 m3, respectivement aux horizons 2020 et 2035. Occupant une superficie de 1,50 hectare, la station de Bouzedjar pourra irriguer, selon le même responsable, 140 hectares de terres agricoles de cette commune relevant de la daïra d'El Amria.
Deux Step sont, par ailleurs, en cours d'étude à Beni Saf et Sidi Benadda.L'ensemble de ces stations totaliseront un volume annuel traité de l'ordre de 13 millions de mètres cubes d'eau épurée.Cette capacité se traduira par la possibilité d'irriguer une superficie de 1.300 ha.
A Aïn Temouchent, la nouvelle station d'épuration des eaux usées (Step) est entrée en phase d'essai, a indiqué samedi dernier le directeur des ressources en eau de la wilaya. Réalisée par une société étrangère pour un coût global de deux milliards DA, cette station d'une capacité de 80.000 équivalent habitants, soit 10.920 m3/jour, se trouve en phase d'essai sous la supervision de l'entreprise réalisatrice pour une durée de deux ans, a précisé à l'APS Mourad Hamel.
A la fin de cette phase, elle sera gérée par l'antenne locale de l'Office national d'assainissement (ONA), a ajouté le même responsable, indiquant que cette nouvelle station d'épuration des eaux usées de la ville de Aïn Temouchent est extensible à 119.000 équivalent habitant à l'horizon 2030, soit 13.500 m3/j.
Les principaux objectifs du projet sont d'intercepter et d'épurer les eaux d'origine domestiques, afin de contribuer à la préservation des ressources et la valorisation des résidus. Un traitement biologique à boues activées de la charge carbonée, azotée et phosphorée a été retenu traiter.
Les boues seront épaissies et déshydratées sur filtre à bande et lit de séchage, a expliqué à l'APS M. Hamel, ajoutant, "pour l'instant, les eaux épurées sont rejetées en mer, en attendant leur exploitation à des fins d'irrigation agricole". L'Office national d'assainissement (ONA) est déjà présent au niveau de six stations implantées à Aïn Larbâa, Emir-Abdelkader, Sidi Safi, Hassi El-Ghella, El Amria et El Malah.
Dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014 portant sur la dotation de chaque commune de la wilaya de ces moyens de protection de l'environnement, une autre station, d'un débit de rejet de 1.226 m3/jour, est en cours de réalisation à Bouzedjar. Basé sur de la boue activée à faible charge, le même process d'épuration est retenu, a indiqué le directeur des ressources en eau de la wilaya.
La capacité de cette Step passera à 1.920 et 2.640 m3, respectivement aux horizons 2020 et 2035. Occupant une superficie de 1,50 hectare, la station de Bouzedjar pourra irriguer, selon le même responsable, 140 hectares de terres agricoles de cette commune relevant de la daïra d'El Amria.
Deux Step sont, par ailleurs, en cours d'étude à Beni Saf et Sidi Benadda.L'ensemble de ces stations totaliseront un volume annuel traité de l'ordre de 13 millions de mètres cubes d'eau épurée.Cette capacité se traduira par la possibilité d'irriguer une superficie de 1.300 ha.


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