Ce sont pas moins de 1.661.068 jeunes qui ont bénéficié de l'insertion professionnelle et de l'amélioration de leur employabilité dans le cadre du Dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP) depuis son lancement le 1er juin 2008 jusqu'au 30 avril 2013. C'était la réponse, jeudi, du Premier ministre Abdelmalek Sellal, à l'APN, lue en son nom par le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Mahmoud Khedri. Sellal a précisé que 800.000 jeunes bénéficiaient actuellement de contrats d'insertion dans le cadre du DAIP. Ce sont pas moins de 1.661.068 jeunes qui ont bénéficié de l'insertion professionnelle et de l'amélioration de leur employabilité dans le cadre du Dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP) depuis son lancement le 1er juin 2008 jusqu'au 30 avril 2013. C'était la réponse, jeudi, du Premier ministre Abdelmalek Sellal, à l'APN, lue en son nom par le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Mahmoud Khedri. Sellal a précisé que 800.000 jeunes bénéficiaient actuellement de contrats d'insertion dans le cadre du DAIP. Evoquant les emplois créés dans le cadre des contrats de travail aidés, il a souligné qu'ils «ont augmenté de 8.027 en 2009 à 41.753 en 2012 et à près de 50.000 postes de travail durant 2013».107.672 emplois ont été créés dans le cadre des contrats de travail aidés depuis leur lancement jusqu'au 30 avril dernier, a-t-il ajouté. Il a précisé, dans ce cadre, que l'Etat contribuait au salaire du bénéficiaire du contrat de travail aidé pour une période de trois ans non renouvelables à raison de 12.000 DA/mois pour les universitaires, 10.000 DA pour les techniciens supérieurs, 8.000 DA pour les diplômés de la formation et de l'enseignement professionnels et ceux justifiant d'un niveau secondaire. Cette contribution est de l'ordre de 6000 DA mensuels pour une année non renouvelable au profit des jeunes sans qualifications. Les employeurs (entreprises) bénéficieront, tel que cité dans la réponse, de «80 % de réduction du taux de cotisation à la sécurité sociale». Selon le Premier ministre, le lancement du DAIP est intervenu dans le cadre de l'"exécution du plan de travail pour la promotion de l'emploi et la résorption du chômage adopté en 2008 par le gouvernement". Il explique que le dispositif visait la «prise en charge des problèmes auxquels faisaient face les primo-demandeurs d'emploi, notamment les diplômés». Il a indiqué que le dispositif «permet également d'améliorer l'employabilité des primo-demandeurs d'emploi en leur offrant la possibilité d'acquérir une expérience à travers l'insertion professionnelle dont l'impact financier est à la charge du budget de l'Etat pour une période déterminée». Abdelmalek Sellal précise que le DAIP "concerne les universitaires, les techniciens supérieurs diplômés des établissements nationaux de formation professionnelle et les jeunes justifiant d'un niveau secondaire de l'éducation nationale et des centres de formation ou ayant suivi un stage d'apprentissage ainsi que les jeunes sans formation ni qualification". Concernant la catégorie des jeunes (16-20 ans), le Premier ministre a rappelé l' «organisation de sessions de formation qualifiante dans les spécialités accusant un déficit sur le marché de l'emploi et ce dans le cadre de la convention signée entre le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale et celui de la Formation». Les jeunes qui suivent cette formation perçoivent durant la session un pécule de 3000 DA/mois, a-t-il dit. Concernant la durée des contrats, M. Sellal a indiqué que "les amendements introduits en 2011 dans le décret exécutif régissant le dispositif d'aide à l'insertion professionnelle, en vertu du décret exécutif N° 11-105 du 06 mars 2011, concernaient la réinsertion et la possibilité de renouveler les contrats dans le secteur administratif (3 ans renouvelables) et dans le secteur économique (une année renouvelable)". Evoquant les emplois créés dans le cadre des contrats de travail aidés, il a souligné qu'ils «ont augmenté de 8.027 en 2009 à 41.753 en 2012 et à près de 50.000 postes de travail durant 2013».107.672 emplois ont été créés dans le cadre des contrats de travail aidés depuis leur lancement jusqu'au 30 avril dernier, a-t-il ajouté. Il a précisé, dans ce cadre, que l'Etat contribuait au salaire du bénéficiaire du contrat de travail aidé pour une période de trois ans non renouvelables à raison de 12.000 DA/mois pour les universitaires, 10.000 DA pour les techniciens supérieurs, 8.000 DA pour les diplômés de la formation et de l'enseignement professionnels et ceux justifiant d'un niveau secondaire. Cette contribution est de l'ordre de 6000 DA mensuels pour une année non renouvelable au profit des jeunes sans qualifications. Les employeurs (entreprises) bénéficieront, tel que cité dans la réponse, de «80 % de réduction du taux de cotisation à la sécurité sociale». Selon le Premier ministre, le lancement du DAIP est intervenu dans le cadre de l'"exécution du plan de travail pour la promotion de l'emploi et la résorption du chômage adopté en 2008 par le gouvernement". Il explique que le dispositif visait la «prise en charge des problèmes auxquels faisaient face les primo-demandeurs d'emploi, notamment les diplômés». Il a indiqué que le dispositif «permet également d'améliorer l'employabilité des primo-demandeurs d'emploi en leur offrant la possibilité d'acquérir une expérience à travers l'insertion professionnelle dont l'impact financier est à la charge du budget de l'Etat pour une période déterminée». Abdelmalek Sellal précise que le DAIP "concerne les universitaires, les techniciens supérieurs diplômés des établissements nationaux de formation professionnelle et les jeunes justifiant d'un niveau secondaire de l'éducation nationale et des centres de formation ou ayant suivi un stage d'apprentissage ainsi que les jeunes sans formation ni qualification". Concernant la catégorie des jeunes (16-20 ans), le Premier ministre a rappelé l' «organisation de sessions de formation qualifiante dans les spécialités accusant un déficit sur le marché de l'emploi et ce dans le cadre de la convention signée entre le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale et celui de la Formation». Les jeunes qui suivent cette formation perçoivent durant la session un pécule de 3000 DA/mois, a-t-il dit. Concernant la durée des contrats, M. Sellal a indiqué que "les amendements introduits en 2011 dans le décret exécutif régissant le dispositif d'aide à l'insertion professionnelle, en vertu du décret exécutif N° 11-105 du 06 mars 2011, concernaient la réinsertion et la possibilité de renouveler les contrats dans le secteur administratif (3 ans renouvelables) et dans le secteur économique (une année renouvelable)".