Les bijoux traditionnels algériens sont à l'honneur depuis jeudi dernier, à l'occasion d'une grande exposition organisée par le palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen. Cette exposition thématique fait suite, selon Arris Tahar, à une série d'expositions thématiques initiée depuis quelques mois par le palais de la culture, portant sur le patrimoine national et local, notamment sur la chedda tlemcenienne, le haik et autres produits traditionnels qui font partie de l'héritage patrimonial. Les bijoux traditionnels algériens sont à l'honneur depuis jeudi dernier, à l'occasion d'une grande exposition organisée par le palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen. Cette exposition thématique fait suite, selon Arris Tahar, à une série d'expositions thématiques initiée depuis quelques mois par le palais de la culture, portant sur le patrimoine national et local, notamment sur la chedda tlemcenienne, le haik et autres produits traditionnels qui font partie de l'héritage patrimonial. Placée sous le slogan "Bijoux traditionnels, identité et perspective d'avenir", cette manifestation fera l'historique de la fabrication des bijoux traditionnels qui remontent à des époques lointaines et qui mettent en valeur, chacune, des civilisations qui se sont succédé en Algérie. Des bijoux en argent utilisés par les populations rurales en Kabylie et émaillés dans les nuances bleu foncé, vert ou jaune sont inspirés de la culture andalouse pour donner une marque spécifique aux bijoux amazighs, alors que la période turque a imprimé un goût de luxe aux artisans des cités comme Tlemcen, Alger et Constantine qui utilisaient l'or pour fabriquer leurs bijoux, alors que ceux des régions du Sud, plus sobres, se remarquent par leur beauté et leur authenticité à l'instar des parures portées par les femmes targuies, a-t-on expliqué. Première du genre, l'exposition, qui durera jusqu'au 9 novembre, vise à promouvoir l'artisanat traditionnel qui constitue un pan important du patrimoine tant national que local. Les visiteurs, qui seront nombreux, notamment la gente féminine, auront tout le temps pour découvrir des bijoux comme le "zerrouf" fabriqué en or et cerné de pierres précieuses, "el djbin" (couronne), "el djowhar" (collier de perles), "el khorsa" (anneaux en or) ou encore "el hazama" (ceinture), ainsi que d'autres bijoux traditionnels qui feront certainement beaucoup d'effet de par leur beauté et leur originalité. Placée sous le slogan "Bijoux traditionnels, identité et perspective d'avenir", cette manifestation fera l'historique de la fabrication des bijoux traditionnels qui remontent à des époques lointaines et qui mettent en valeur, chacune, des civilisations qui se sont succédé en Algérie. Des bijoux en argent utilisés par les populations rurales en Kabylie et émaillés dans les nuances bleu foncé, vert ou jaune sont inspirés de la culture andalouse pour donner une marque spécifique aux bijoux amazighs, alors que la période turque a imprimé un goût de luxe aux artisans des cités comme Tlemcen, Alger et Constantine qui utilisaient l'or pour fabriquer leurs bijoux, alors que ceux des régions du Sud, plus sobres, se remarquent par leur beauté et leur authenticité à l'instar des parures portées par les femmes targuies, a-t-on expliqué. Première du genre, l'exposition, qui durera jusqu'au 9 novembre, vise à promouvoir l'artisanat traditionnel qui constitue un pan important du patrimoine tant national que local. Les visiteurs, qui seront nombreux, notamment la gente féminine, auront tout le temps pour découvrir des bijoux comme le "zerrouf" fabriqué en or et cerné de pierres précieuses, "el djbin" (couronne), "el djowhar" (collier de perles), "el khorsa" (anneaux en or) ou encore "el hazama" (ceinture), ainsi que d'autres bijoux traditionnels qui feront certainement beaucoup d'effet de par leur beauté et leur originalité.