Le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, a indiqué lundi à Alger que le rattrapage des cours perdus, suite à la grève, se fera en deux jours et demi des vacances de mois de novembre prévus la semaine prochaine. Le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, a indiqué lundi à Alger que le rattrapage des cours perdus, suite à la grève, se fera en deux jours et demi des vacances de mois de novembre prévus la semaine prochaine. Dans une déclaration à la presse en marge d'un séminaire sur la gestion des ressources humaines, le ministre a souligné que les cours de rattrapage, suite à la grève suivie dans certains établissements éducatifs, seront dispensés en deux jours et demi lors des vacances de l'automne prévues la semaine prochaine et se poursuiveront les samedis ou mardis après midi. S'il y a nécessité, les cours de rattrapage seront dispensés également pendant la première semaine des vacances d'hiver prévus au mois de décembre prochain, a ajouté le ministre. Les cours de rattrapage, se feront en fonction des retards cumulés dans chaque établissement scolaire, a indiqué le ministre. Dans le même contexte, le ministre a annoncé la mise en place d'un calendrier de rencontres avec le partenaire social, dans le cadre de la consolidation du dialogue et de l'écoute afin d'examiner les préoccupations des enseignants contenues dans la plateforme de revendications. Certaines revendications sont "objectives" et concernent le secteur de l'éducation, mais il y a d'autres qui "touchent plusieurs secteurs, qui nécessitent ainsi une consultation du gouvernement pour leur examen", a indiqué le ministre. Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) et l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), sont parmi les syndicats que le ministère avait reçu dans le cadre de ces rencontres. En réponse à une question sur la retraite, le ministre a indiqué que les travailleurs administratifs et les enseignants du secteur sont obligés de partir à la retraite, conformément à la loi mais, a-t-il ajouté, le ministère de l'éducation ne permet pas le départ de l'enseignant à la retraite au cours de l'année scolaire. Il existe une dérogation qui lui permettrait de terminer l'année scolaire, dans l'intérêt de l'élève. Dans une déclaration à la presse en marge d'un séminaire sur la gestion des ressources humaines, le ministre a souligné que les cours de rattrapage, suite à la grève suivie dans certains établissements éducatifs, seront dispensés en deux jours et demi lors des vacances de l'automne prévues la semaine prochaine et se poursuiveront les samedis ou mardis après midi. S'il y a nécessité, les cours de rattrapage seront dispensés également pendant la première semaine des vacances d'hiver prévus au mois de décembre prochain, a ajouté le ministre. Les cours de rattrapage, se feront en fonction des retards cumulés dans chaque établissement scolaire, a indiqué le ministre. Dans le même contexte, le ministre a annoncé la mise en place d'un calendrier de rencontres avec le partenaire social, dans le cadre de la consolidation du dialogue et de l'écoute afin d'examiner les préoccupations des enseignants contenues dans la plateforme de revendications. Certaines revendications sont "objectives" et concernent le secteur de l'éducation, mais il y a d'autres qui "touchent plusieurs secteurs, qui nécessitent ainsi une consultation du gouvernement pour leur examen", a indiqué le ministre. Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) et l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), sont parmi les syndicats que le ministère avait reçu dans le cadre de ces rencontres. En réponse à une question sur la retraite, le ministre a indiqué que les travailleurs administratifs et les enseignants du secteur sont obligés de partir à la retraite, conformément à la loi mais, a-t-il ajouté, le ministère de l'éducation ne permet pas le départ de l'enseignant à la retraite au cours de l'année scolaire. Il existe une dérogation qui lui permettrait de terminer l'année scolaire, dans l'intérêt de l'élève.