L'étape de Sétif n'a pas dérogé à la règle. De ses périples effectués dans le pays profond, le Premier ministre saisit l'occasion pour mettre les points sur les "i" ou répondre à certaines voix. L'étape de Sétif n'a pas dérogé à la règle. De ses périples effectués dans le pays profond, le Premier ministre saisit l'occasion pour mettre les points sur les "i" ou répondre à certaines voix. Hier, à la faveur de sa rencontre avec les représentants de la société civile de la wilaya des Hauts-Plateaux il a insisté sur la "cohésion et la solidarité" gouvernementale et a critiqué assez sèchement "les intermédiaires politiques", allusions aux déclarations de Amar Saïdani le secrétaire général du FLN et certains hommes politiques qui font une fixation sur les intentions du chef de l'Etat de briguer un quatrième mandat. Il dira à tout ce beau monde, qu'"il y a des institutions respectables" et que en définitive que la dernière parole revient au peuple souverain qui décidera et qui choisira l'homme qui sera apte à le gouverner. Il s'en est pris également à ceux qui attendaient "une révolution en Algérie". "Oui, dit-il, il y a une révolution en Algérie, mais une révolution technologie, économique et culturelle" et se dit "satisfait" de sa halte à l'université Ferhat-Abbas de Sétif, étant convaincu que "c'est là que se joue l'avenir de l'Algérie". Il exhorte les responsables à se départir de certaines mentalités. "Il est impensable qu'un investisseur attende des années pour avoir une réponse pour un dossier d'investissement", regrette-t-il et s'interroge. "Comment voulez-vous investir et créer des postes d'emploi avec ce genre de situation", tonne-t-il. Il prévient ces responsable qu'il ne veut plus entendre parler de ce genre d'obstacles et surtout que ces mêmes responsables n'invoquent plus le "en haut et va voir en haut". Il n'y a en haut que "Dieu le Tout- Puissant", lâche-t-il. "Si un investisseur a droit, il faut lui donner", exige-t-il. Il exhorte également à se départir de cette mentalité qui dit qu'un riche est un voleur et que le pauvre est un incapable et se dit convaincu que "l'Algérie est capable de miracles" et appelle les Sétifiens à engager le "second souffle" pour le développement de la wilaya. Auparavant et dès la première heure de la matiné, le Premier ministre avait entamé sa visite dans la capitale des Haut-Plateaux. Importante a été la visite de travail, effectuée, hier, du Premier ministre Abdelmalek Sellal à Sétif. La premiere halte du Premier ministre a donné le ton de ce que sera cette visite dans cette wilaya qui connaît un dynamisme certain, tant sur le volet économique qu'industriel. A l'université Ferhas-Abbas, Abdelmalek Sellal a assisté à un cours sur le thème des « Nouvelles technologies ». Un thème qui parle de nanotechnologie et qui a été l'occasion pour le Premier ministe d'évoquer longuement le domaine de la connaissance, du savoir et des resources humaines. « La force des sociétés c'est la technologie » a-t-il asséné, assurant que « c'est elle qui construit le pays, tant sur les plans économique, social que civilisationnel » Il souligne dans ce cadre que « c'est l'unique voie, il n'y a pas d'autre ». Il note cependant qu'« il y a quelques insuffisances dans les sciences liées à la technologie ». Il est convaincu que l'avenir de l'Algérie est lié à la maîtrise de la technologie. En réponse à une question sur l'insuffisance de l'offre en poste d'emploi pour les jeunes dilômés de l'université, Abdelmalek Sellal considère que c'est « une problématique » (25% de diplômés sont au chômage), mais il y a obligation pour l'université de se metre au diapason du marché de l'emploi du fait de la mondialisation de l'économie. Il reconnaît que l'économie nationale souffre de nombreuse insuffisances et qu'elle n'est pas au niveau souhaité, faible production et exportation à très faible niveau. Il assure que le monde a changé, « il est devenu celui de la vitesse ». « Il n'y a pas d'autres issue », prévient-il et il évoque la sécurité alimentaire du pays en recourant à la nanoalimentaire qui offre la quantité et la qualité. Il juge que sur le plan technologie nous ne pouvons concurrencer les pays avancés dans ce domaine, mais dit-il « il nous faut travailler pour nous rapprocher de leur niveau ». Il exhorte les jeunes diplômés à être eux-mêmes des créateurs de richesses. « Le diplômé doit être créateur de richesses », a-t-il souligné, notant que « c'est lui l'incubateur, un start-up » et assure que « l'Etat accompagnera le plus loin possible les créateurs de richesses ». Il dit être convaincu que le gouvernement développera la base industrielle du pays et annonce que le gouvernement apportera toute l'aide pour les investissseurs dans la technologie. « Les nouvelles technologies, c'est le meilleur investissement pour l'Algérie », a-t-il déclaré soulignant le rôle de l'universite dans la formation des ressources humaines. Selon Abdelmalek Sellal « tous les experts en économie le disent, le pays +qui maîtrise la technologie assure son avenir ». Il assure que l'Algérie est dans la bonne direction. « Il est temps de passer à une autre étape et de penser à faire appel à des compétences étrangères et de nouer des partenariats avec les instituts et universités qui peuvent donner une plus-value dans le cadre des recherches et applications ». Il prône les échanges avec ces instituts et universités et assure que c'est la seule solution pour le pays. Le Premier ministrte fait de la formation des ressources humaines une priorité et assure que c'est l'unique solution pour rejoindre les pays les plus avancés économiquement et cela dans un contexte de globalisation ou économie globale. Il se dit convaincu que la recherche en développement ) donne un plus-value sur tous les plans. Hier, à la faveur de sa rencontre avec les représentants de la société civile de la wilaya des Hauts-Plateaux il a insisté sur la "cohésion et la solidarité" gouvernementale et a critiqué assez sèchement "les intermédiaires politiques", allusions aux déclarations de Amar Saïdani le secrétaire général du FLN et certains hommes politiques qui font une fixation sur les intentions du chef de l'Etat de briguer un quatrième mandat. Il dira à tout ce beau monde, qu'"il y a des institutions respectables" et que en définitive que la dernière parole revient au peuple souverain qui décidera et qui choisira l'homme qui sera apte à le gouverner. Il s'en est pris également à ceux qui attendaient "une révolution en Algérie". "Oui, dit-il, il y a une révolution en Algérie, mais une révolution technologie, économique et culturelle" et se dit "satisfait" de sa halte à l'université Ferhat-Abbas de Sétif, étant convaincu que "c'est là que se joue l'avenir de l'Algérie". Il exhorte les responsables à se départir de certaines mentalités. "Il est impensable qu'un investisseur attende des années pour avoir une réponse pour un dossier d'investissement", regrette-t-il et s'interroge. "Comment voulez-vous investir et créer des postes d'emploi avec ce genre de situation", tonne-t-il. Il prévient ces responsable qu'il ne veut plus entendre parler de ce genre d'obstacles et surtout que ces mêmes responsables n'invoquent plus le "en haut et va voir en haut". Il n'y a en haut que "Dieu le Tout- Puissant", lâche-t-il. "Si un investisseur a droit, il faut lui donner", exige-t-il. Il exhorte également à se départir de cette mentalité qui dit qu'un riche est un voleur et que le pauvre est un incapable et se dit convaincu que "l'Algérie est capable de miracles" et appelle les Sétifiens à engager le "second souffle" pour le développement de la wilaya. Auparavant et dès la première heure de la matiné, le Premier ministre avait entamé sa visite dans la capitale des Haut-Plateaux. Importante a été la visite de travail, effectuée, hier, du Premier ministre Abdelmalek Sellal à Sétif. La premiere halte du Premier ministre a donné le ton de ce que sera cette visite dans cette wilaya qui connaît un dynamisme certain, tant sur le volet économique qu'industriel. A l'université Ferhas-Abbas, Abdelmalek Sellal a assisté à un cours sur le thème des « Nouvelles technologies ». Un thème qui parle de nanotechnologie et qui a été l'occasion pour le Premier ministe d'évoquer longuement le domaine de la connaissance, du savoir et des resources humaines. « La force des sociétés c'est la technologie » a-t-il asséné, assurant que « c'est elle qui construit le pays, tant sur les plans économique, social que civilisationnel » Il souligne dans ce cadre que « c'est l'unique voie, il n'y a pas d'autre ». Il note cependant qu'« il y a quelques insuffisances dans les sciences liées à la technologie ». Il est convaincu que l'avenir de l'Algérie est lié à la maîtrise de la technologie. En réponse à une question sur l'insuffisance de l'offre en poste d'emploi pour les jeunes dilômés de l'université, Abdelmalek Sellal considère que c'est « une problématique » (25% de diplômés sont au chômage), mais il y a obligation pour l'université de se metre au diapason du marché de l'emploi du fait de la mondialisation de l'économie. Il reconnaît que l'économie nationale souffre de nombreuse insuffisances et qu'elle n'est pas au niveau souhaité, faible production et exportation à très faible niveau. Il assure que le monde a changé, « il est devenu celui de la vitesse ». « Il n'y a pas d'autres issue », prévient-il et il évoque la sécurité alimentaire du pays en recourant à la nanoalimentaire qui offre la quantité et la qualité. Il juge que sur le plan technologie nous ne pouvons concurrencer les pays avancés dans ce domaine, mais dit-il « il nous faut travailler pour nous rapprocher de leur niveau ». Il exhorte les jeunes diplômés à être eux-mêmes des créateurs de richesses. « Le diplômé doit être créateur de richesses », a-t-il souligné, notant que « c'est lui l'incubateur, un start-up » et assure que « l'Etat accompagnera le plus loin possible les créateurs de richesses ». Il dit être convaincu que le gouvernement développera la base industrielle du pays et annonce que le gouvernement apportera toute l'aide pour les investissseurs dans la technologie. « Les nouvelles technologies, c'est le meilleur investissement pour l'Algérie », a-t-il déclaré soulignant le rôle de l'universite dans la formation des ressources humaines. Selon Abdelmalek Sellal « tous les experts en économie le disent, le pays +qui maîtrise la technologie assure son avenir ». Il assure que l'Algérie est dans la bonne direction. « Il est temps de passer à une autre étape et de penser à faire appel à des compétences étrangères et de nouer des partenariats avec les instituts et universités qui peuvent donner une plus-value dans le cadre des recherches et applications ». Il prône les échanges avec ces instituts et universités et assure que c'est la seule solution pour le pays. Le Premier ministrte fait de la formation des ressources humaines une priorité et assure que c'est l'unique solution pour rejoindre les pays les plus avancés économiquement et cela dans un contexte de globalisation ou économie globale. Il se dit convaincu que la recherche en développement ) donne un plus-value sur tous les plans.