Le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, maintient le cap à propos de l'élection présidentielle d'avril 2014. Il pèse de tout son poids afin que le vieux parti se mobilise pour soutenir la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, maintient le cap à propos de l'élection présidentielle d'avril 2014. Il pèse de tout son poids afin que le vieux parti se mobilise pour soutenir la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Une candidature qu'il a lui-même annoncée il y a quelques jours dans un entretien accordé à un journal électronique. "Oui le président Bouteflika sera candidat" a déclaré Saïdani sur un ton péremptoire. "Nous soutenons Abdelaziz Bouteflika et nous lui demandons de briguer un quatrième mandat pour poursuivre et réaliser plus de progrès et de développement à notre pays" ont souligné les 54 mouhafadh du FLN avant de demander aussi au chef de l'Etat de présenter dans les plus brefs délais le projet de révision constitutionnelle. Cet appel des mouhafadh du FLN est consigné dans un communiqué rendu public hier, à l'issue d'une réunion avec le secrétaire général du parti, Amar Saïdani. "C'est une réunion organique interne où on a évoqué les dernières conférences régionales, la question des structures du parti et celle aussi relative aux adhésions" dira Saïdani en marge de ce rendez-vous. Le chef de file du FLN a, néanmoins, levé le voile sur les véritables raisons de cette réunion avec les mouhafadh lorsque il a précisé que "nous préparons la prochaine campagne électorale et, à cet effet, il est impératif de mobiliser l'ensemble des élus". Il dira cependant que la prochaine étape sera celle de la révision constitutionnelle. Interpellé sur les éventuelles candidatures de certaines personnalités, Saïdani répondra que "les élections sont ouvertes à tous". Par ces propos Saidani confirme que l'appareil du FLN est mis en marche afin d'être fin prêt le jour "J". Depuis son arrivée à la tête du FLN, le 31 août dernier, Amar Saïdani semble avoir pour rôle de faire campagne en faveur d'un quatrième mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika. Il se démène dans ce sens comme le prouve la multiplication de ses rencontres avec les partis politiques et les organisations de la société civile, notamment les ex-organisations de masse comme l'UGTA, l'UNPA, l'ONM ou L'Onec. Mais Saïdani n'a pas réussi, pour le moment, à créer une nouvelle alliance présidentielle puisque, à l'exception du parti TAJ de Amar Ghoul, aucune autre formation politique n'a adhéré. Et là on pense au RND et au MPA de Amara Benyounes. Deux partis qui, pourtant, ne font pas mystère de leur soutien à un quatrième mandat pour le président Bouteflika. Cela dit, Amar Saïdani veut aussi renforcer sa mainmise sur le FLN. Ce d'autant qu'il s'apprête à réunir le comité central du FLN, le 16 novembre prochain. Une réunion au cours de laquelle Saïdani soumettra la liste des membres du bureau politique aux membres du comité central. Les mouhafadh, qui sont pratiquement tous membres du comité central, ont d'ailleurs apporté leur soutien à Saïdani au moment où ce dernier fait toujours face à une forte opposition d'une partie du comité central. En effet, les détracteurs du nouveau secrétaire général, qui ne reconnaissent pas son autorité, puisqu'ils considèrent qu'il est illégitime, ont annoncé leur intention de boycotter la session du comité central. Une candidature qu'il a lui-même annoncée il y a quelques jours dans un entretien accordé à un journal électronique. "Oui le président Bouteflika sera candidat" a déclaré Saïdani sur un ton péremptoire. "Nous soutenons Abdelaziz Bouteflika et nous lui demandons de briguer un quatrième mandat pour poursuivre et réaliser plus de progrès et de développement à notre pays" ont souligné les 54 mouhafadh du FLN avant de demander aussi au chef de l'Etat de présenter dans les plus brefs délais le projet de révision constitutionnelle. Cet appel des mouhafadh du FLN est consigné dans un communiqué rendu public hier, à l'issue d'une réunion avec le secrétaire général du parti, Amar Saïdani. "C'est une réunion organique interne où on a évoqué les dernières conférences régionales, la question des structures du parti et celle aussi relative aux adhésions" dira Saïdani en marge de ce rendez-vous. Le chef de file du FLN a, néanmoins, levé le voile sur les véritables raisons de cette réunion avec les mouhafadh lorsque il a précisé que "nous préparons la prochaine campagne électorale et, à cet effet, il est impératif de mobiliser l'ensemble des élus". Il dira cependant que la prochaine étape sera celle de la révision constitutionnelle. Interpellé sur les éventuelles candidatures de certaines personnalités, Saïdani répondra que "les élections sont ouvertes à tous". Par ces propos Saidani confirme que l'appareil du FLN est mis en marche afin d'être fin prêt le jour "J". Depuis son arrivée à la tête du FLN, le 31 août dernier, Amar Saïdani semble avoir pour rôle de faire campagne en faveur d'un quatrième mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika. Il se démène dans ce sens comme le prouve la multiplication de ses rencontres avec les partis politiques et les organisations de la société civile, notamment les ex-organisations de masse comme l'UGTA, l'UNPA, l'ONM ou L'Onec. Mais Saïdani n'a pas réussi, pour le moment, à créer une nouvelle alliance présidentielle puisque, à l'exception du parti TAJ de Amar Ghoul, aucune autre formation politique n'a adhéré. Et là on pense au RND et au MPA de Amara Benyounes. Deux partis qui, pourtant, ne font pas mystère de leur soutien à un quatrième mandat pour le président Bouteflika. Cela dit, Amar Saïdani veut aussi renforcer sa mainmise sur le FLN. Ce d'autant qu'il s'apprête à réunir le comité central du FLN, le 16 novembre prochain. Une réunion au cours de laquelle Saïdani soumettra la liste des membres du bureau politique aux membres du comité central. Les mouhafadh, qui sont pratiquement tous membres du comité central, ont d'ailleurs apporté leur soutien à Saïdani au moment où ce dernier fait toujours face à une forte opposition d'une partie du comité central. En effet, les détracteurs du nouveau secrétaire général, qui ne reconnaissent pas son autorité, puisqu'ils considèrent qu'il est illégitime, ont annoncé leur intention de boycotter la session du comité central.