Le ministre des transports, Amar Ghoul, a estimé lundi à Alger que la grève des travailleurs de l'Entreprise des transports urbains et suburbains d'Alger (Etusa) "était une question interne" propre à l'entreprise soulignant que son ministère avait donné des instructions en faveur de la prise en charge des revendications des protestataires à condition qu'elles soient raisonnables. Le ministre des transports, Amar Ghoul, a estimé lundi à Alger que la grève des travailleurs de l'Entreprise des transports urbains et suburbains d'Alger (Etusa) "était une question interne" propre à l'entreprise soulignant que son ministère avait donné des instructions en faveur de la prise en charge des revendications des protestataires à condition qu'elles soient raisonnables. "Cette question concerne l'entreprise et ses travailleurs et doit être reglée par le dialogue à l'intérieur de l'entreprise" a déclaré M. Ghoul en marge d'une visite d'inspection de certains projets en cours de réalisation à Alger. Le ministre a ajouté que son ministère avait donné des instructions à l'Etusa à l'effet de prendre en charge les revendications des travailleurs de l'entreprise, à condition que ces revendications soient "raisonnables et réalisables et conformes à la loi". Pour le ministre, l'Etusa "est une entreprise économique qui rémunère ses travailleurs à partir de ses revenus et il est anormal que sa masse salariale soit supérieure à ses revenus, sinon ce serait la faillite". Le ministre a insisté pour que les revendications soient conformes à la loi et soient soulevées dans le cadre du dialogue, avertissant que "la loi sera appliquée de manière stricte à l'égard de toute personne qui enfreindrait cette règle." "Cette question concerne l'entreprise et ses travailleurs et doit être reglée par le dialogue à l'intérieur de l'entreprise" a déclaré M. Ghoul en marge d'une visite d'inspection de certains projets en cours de réalisation à Alger. Le ministre a ajouté que son ministère avait donné des instructions à l'Etusa à l'effet de prendre en charge les revendications des travailleurs de l'entreprise, à condition que ces revendications soient "raisonnables et réalisables et conformes à la loi". Pour le ministre, l'Etusa "est une entreprise économique qui rémunère ses travailleurs à partir de ses revenus et il est anormal que sa masse salariale soit supérieure à ses revenus, sinon ce serait la faillite". Le ministre a insisté pour que les revendications soient conformes à la loi et soient soulevées dans le cadre du dialogue, avertissant que "la loi sera appliquée de manière stricte à l'égard de toute personne qui enfreindrait cette règle."