L'Algérie bénéficie d'un crédit de confiance envers les Etats-Unis dans le cadre de la lutte antiterroriste. C'est la thèse défendue par Amanda Dory, secrétaire-adjointe chargée des affaires africaines au niveau du ministère de la Défense américain. Elle a appelé, jeudi dernier, dans une audition au Sénat à élargir la coopération militaire et le renseignement avec l'Algérie. L'Algérie bénéficie d'un crédit de confiance envers les Etats-Unis dans le cadre de la lutte antiterroriste. C'est la thèse défendue par Amanda Dory, secrétaire-adjointe chargée des affaires africaines au niveau du ministère de la Défense américain. Elle a appelé, jeudi dernier, dans une audition au Sénat à élargir la coopération militaire et le renseignement avec l'Algérie. C'est l'approche que défend actuellement le pentagone envers ses partenaires pour renforcer la coopération sécuritaire avec un pays qu'il considère comme « pivot » de la stratégie de la lutte antiterroriste dans la région. La haute responsable au Pentagone a fait part que « le gouvernement algérien est également intéressé à acquérir du matériel américain dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. A cette fin, le département américain de la Défense s'emploie à fournir à l'Algérie l'équipement et la formation pour renforcer ses capacités de défense ». Une option qui devrait probablement prendre forme grâce à la coopération militaire entre les Etats-Unis et l'Algérie qui s'est également développée à travers le programme militaire international de formation et d'entraînement (IMET) pour renforcer « la professionnalisation et la modernisation des forces armées de l'Algérie ». Outre le partage du renseignement, les américains envisagent sérieusement de maintenir un cap « pour élargir le rôle de l'Algérie de leader régional » particulièrement dans la région du Sahel où les actions de l'Aqmi et ses alliés sont en train de redoubler de férocité. C'est d'ailleurs Richard Shmierer, secrétaire-adjoint du Proche-Orient au Pentagone qui a soutenu les propos de Mme Dory lors de son intervention au Sénat en appuyant, selon ces dires « une relation bilatérale solide, caractérisée par leurs intérêts communs à combattre le terrorisme et à assurer une plus grande stabilité dans la région ». Dans cette situation, les responsables militaires américains sont conscients de l'enjeu sécuritaire dans une région où la plupart des pays n'ont ni la logistique ni l'expérience militaire de l'ANP. De plus, la vision du Pentagone, qui n'est pas certes dénuée d'intérêts dans le Sahel, estime nécessaire de « former et collaborer avec les armées et les forces policières les moins expérimentées dans la région afin d'assurer une plus grande stabilité dans le Sahel et le Maghreb ». D'autant que la circulation des armes depuis la Libye aggravent le climat sécuritaire dans une région qui reste minée par la multiplication des groupes terroristes de tout acabit. C'est en effet le constat que font les deux responsables du département de Défense américain réitérant ce qu'avaient considéré leurs prédécesseurs. Mme Dory assure que « l'Algérie constituait le pilier du dispositif de lutte contre le terrorisme en Afrique du nord », estimant ainsi que « l'armée algérienne assure avec succès la protection des frontières sud pour empêcher des incursions terroristes ». C'est ce qui l'a amené à livrer son point de vue sur l'opération de Tiguentourine en janvier dernier qui « a mis en lumière les menaces transnationales croissantes dans la région ». C'est cette démonstration de force assure cette responsable qui fait que « l'armée algérienne continue à mener avec succès les opérations d'interception sur les frontières Sud algériennes » contre Aqmi et ses groupes affiliés. C'est l'approche que défend actuellement le pentagone envers ses partenaires pour renforcer la coopération sécuritaire avec un pays qu'il considère comme « pivot » de la stratégie de la lutte antiterroriste dans la région. La haute responsable au Pentagone a fait part que « le gouvernement algérien est également intéressé à acquérir du matériel américain dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. A cette fin, le département américain de la Défense s'emploie à fournir à l'Algérie l'équipement et la formation pour renforcer ses capacités de défense ». Une option qui devrait probablement prendre forme grâce à la coopération militaire entre les Etats-Unis et l'Algérie qui s'est également développée à travers le programme militaire international de formation et d'entraînement (IMET) pour renforcer « la professionnalisation et la modernisation des forces armées de l'Algérie ». Outre le partage du renseignement, les américains envisagent sérieusement de maintenir un cap « pour élargir le rôle de l'Algérie de leader régional » particulièrement dans la région du Sahel où les actions de l'Aqmi et ses alliés sont en train de redoubler de férocité. C'est d'ailleurs Richard Shmierer, secrétaire-adjoint du Proche-Orient au Pentagone qui a soutenu les propos de Mme Dory lors de son intervention au Sénat en appuyant, selon ces dires « une relation bilatérale solide, caractérisée par leurs intérêts communs à combattre le terrorisme et à assurer une plus grande stabilité dans la région ». Dans cette situation, les responsables militaires américains sont conscients de l'enjeu sécuritaire dans une région où la plupart des pays n'ont ni la logistique ni l'expérience militaire de l'ANP. De plus, la vision du Pentagone, qui n'est pas certes dénuée d'intérêts dans le Sahel, estime nécessaire de « former et collaborer avec les armées et les forces policières les moins expérimentées dans la région afin d'assurer une plus grande stabilité dans le Sahel et le Maghreb ». D'autant que la circulation des armes depuis la Libye aggravent le climat sécuritaire dans une région qui reste minée par la multiplication des groupes terroristes de tout acabit. C'est en effet le constat que font les deux responsables du département de Défense américain réitérant ce qu'avaient considéré leurs prédécesseurs. Mme Dory assure que « l'Algérie constituait le pilier du dispositif de lutte contre le terrorisme en Afrique du nord », estimant ainsi que « l'armée algérienne assure avec succès la protection des frontières sud pour empêcher des incursions terroristes ». C'est ce qui l'a amené à livrer son point de vue sur l'opération de Tiguentourine en janvier dernier qui « a mis en lumière les menaces transnationales croissantes dans la région ». C'est cette démonstration de force assure cette responsable qui fait que « l'armée algérienne continue à mener avec succès les opérations d'interception sur les frontières Sud algériennes » contre Aqmi et ses groupes affiliés.