Les groupes islamistes ont tenté en vain de briser le verrou autour de Damas, et des affrontements avaient lieu dans le secteur de Marj al-Sultan. Les groupes islamistes ont tenté en vain de briser le verrou autour de Damas, et des affrontements avaient lieu dans le secteur de Marj al-Sultan. Après avoir repris, le 19 novembre, Qara, les forces gouvernementales se sont emparées d'une nouvelle localité de la région de Qalamoun, celle de Deir Attiya, où vit une importante communauté chrétienne, a rapporté la télévision d'Etat syrienne. Cette nouvelle victoire de l'armée permettra d'asphyxier les rebelles positionnés autour de la capitale et dans le centre du pays. En marquant des points sur le terrain Bachar Al-Assad veut arriver en position de force à la conférence de paix Genève 2. L'armée cherche à reprendre la région montagneuse de Qalamoun où se trouvent des dépôts d'armes et qui constitue actuellement la base arrière des insurgés. Cela pour encercler la capitale et commander l'accès à l'autoroute Damas-Homs. Selon un responsable de la sécurité, l'autoroute n'a pas été encore rouverte en raison de la présence de tireurs embusqués. L'Observatoire syrien des droits humains (OSDH) a indiqué que l'armée avait pris la quasi-totalité de la ville en chassant les djihadistes de l'Etat islamique d'Irak et du Levant (EIIL) et d'autres rebelles qui s'y trouvaient. Selon une source de sécurité, l'armée est aussi entrée à Nabak, une autre localité de Qalamoun, située à 70 kilomètres au nord de Damas. L'armée cherche à neutraliser les rebelles présents autour de Damas, notamment dans la région arboricole de la Ghouta orientale, en les privant d'armes et de munitions venant de Jordanie ou du Liban. Les régions septentrionale et orientale sont aux mains de la rébellion ou de combattants kurdes. Ces derniers jours, les rebelles ont tenté en vain de briser le verrou autour de Damas, et des affrontements avaient lieu dans le secteur de Marj al-Sultan. Par ailleurs, une volée d'obus, tirée vraisemblablement par les rebelles, est tombée dans le centre de Damas, tuant un Syrien et en blessant neuf autres dans l'enceinte même de l'ambassade de Russie, principal allié du régime. Dans le sud d'Alep, des barils d'explosifs lancés d'hélicoptères ont causé la mort de cinq civils et fait plus de vingt blessés, tandis qu'à Tal Hafer, dans la même province, un autre raid aérien a tué trois femmes et trois enfants. Les combats continuaient de faire rage sur d'autres fronts, malgré un appel de l'Iran et de la Turquie à un cessez-le-feu avant la tenue de la conférence de paix annoncée pour le 22 janvier par l'Organisation des Nations unies, qui cherche à mettre fin à la guerre qui a fait des milliers de morts et l'exode des habitants de villes et villages. Après avoir repris, le 19 novembre, Qara, les forces gouvernementales se sont emparées d'une nouvelle localité de la région de Qalamoun, celle de Deir Attiya, où vit une importante communauté chrétienne, a rapporté la télévision d'Etat syrienne. Cette nouvelle victoire de l'armée permettra d'asphyxier les rebelles positionnés autour de la capitale et dans le centre du pays. En marquant des points sur le terrain Bachar Al-Assad veut arriver en position de force à la conférence de paix Genève 2. L'armée cherche à reprendre la région montagneuse de Qalamoun où se trouvent des dépôts d'armes et qui constitue actuellement la base arrière des insurgés. Cela pour encercler la capitale et commander l'accès à l'autoroute Damas-Homs. Selon un responsable de la sécurité, l'autoroute n'a pas été encore rouverte en raison de la présence de tireurs embusqués. L'Observatoire syrien des droits humains (OSDH) a indiqué que l'armée avait pris la quasi-totalité de la ville en chassant les djihadistes de l'Etat islamique d'Irak et du Levant (EIIL) et d'autres rebelles qui s'y trouvaient. Selon une source de sécurité, l'armée est aussi entrée à Nabak, une autre localité de Qalamoun, située à 70 kilomètres au nord de Damas. L'armée cherche à neutraliser les rebelles présents autour de Damas, notamment dans la région arboricole de la Ghouta orientale, en les privant d'armes et de munitions venant de Jordanie ou du Liban. Les régions septentrionale et orientale sont aux mains de la rébellion ou de combattants kurdes. Ces derniers jours, les rebelles ont tenté en vain de briser le verrou autour de Damas, et des affrontements avaient lieu dans le secteur de Marj al-Sultan. Par ailleurs, une volée d'obus, tirée vraisemblablement par les rebelles, est tombée dans le centre de Damas, tuant un Syrien et en blessant neuf autres dans l'enceinte même de l'ambassade de Russie, principal allié du régime. Dans le sud d'Alep, des barils d'explosifs lancés d'hélicoptères ont causé la mort de cinq civils et fait plus de vingt blessés, tandis qu'à Tal Hafer, dans la même province, un autre raid aérien a tué trois femmes et trois enfants. Les combats continuaient de faire rage sur d'autres fronts, malgré un appel de l'Iran et de la Turquie à un cessez-le-feu avant la tenue de la conférence de paix annoncée pour le 22 janvier par l'Organisation des Nations unies, qui cherche à mettre fin à la guerre qui a fait des milliers de morts et l'exode des habitants de villes et villages.