Lors de sa visite au stand de l'Etusa, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a exhorté les travailleurs de l'Etablissement de transport urbain et suburbain d'Alger (Etusa) à "privilégier" le dialogue, suite au mouvement de grève déclenché par les chauffeurs et receveurs de cette entreprise pour réclamer des augmentations de salaire. Lors de sa visite au stand de l'Etusa, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a exhorté les travailleurs de l'Etablissement de transport urbain et suburbain d'Alger (Etusa) à "privilégier" le dialogue, suite au mouvement de grève déclenché par les chauffeurs et receveurs de cette entreprise pour réclamer des augmentations de salaire. "Je vous encourage à privilégier le dialogue avec la direction et de ne pas recourir, à chaque fois, à la grève, qui pénalise en premier lieu les citoyens" Le Premier ministre a assuré, dans le même cadre, les travailleurs de l'Etusa du "soutien des pouvoirs publics", soulignant dans ce sens que leurs droits "seront préservés". Les chauffeurs et receveurs des bus relevant de l'Etusa avaient observé une grève de 10 jours (du 11 au 21 novembre 2013), sans préavis. Cette grève a été jugée "illégale" par le tribunal administratif de Sidi M'hamed. La principale revendication des grévistes était l'application de tous les articles de la convention collective signée et adoptée en 1997 avec effet rétroactif et le respect de ses dispositions juridiques ainsi que le rétablissement du bureau syndical pour assurer le dialogue avec le responsable de l'entreprise et le ministère de tutelle. "Je vous encourage à privilégier le dialogue avec la direction et de ne pas recourir, à chaque fois, à la grève, qui pénalise en premier lieu les citoyens" Le Premier ministre a assuré, dans le même cadre, les travailleurs de l'Etusa du "soutien des pouvoirs publics", soulignant dans ce sens que leurs droits "seront préservés". Les chauffeurs et receveurs des bus relevant de l'Etusa avaient observé une grève de 10 jours (du 11 au 21 novembre 2013), sans préavis. Cette grève a été jugée "illégale" par le tribunal administratif de Sidi M'hamed. La principale revendication des grévistes était l'application de tous les articles de la convention collective signée et adoptée en 1997 avec effet rétroactif et le respect de ses dispositions juridiques ainsi que le rétablissement du bureau syndical pour assurer le dialogue avec le responsable de l'entreprise et le ministère de tutelle.