Au titre du programme de logements sociaux participatifs (LSP), la wilaya d'Aïn-Temouchent enregistre un reste à réaliser de 957 logements, a annoncé le directeur local du logement et des équipements publics (Dlep). Au titre du programme de logements sociaux participatifs (LSP), la wilaya d'Aïn-Temouchent enregistre un reste à réaliser de 957 logements, a annoncé le directeur local du logement et des équipements publics (Dlep). Inscrit à l'intitulé de la wilaya d'Aïn- Témouchent au titre du quinquennal 2005-2009, ce programme porte au total sur la réalisation de 7.010 unités à travers la wilaya, dont 6.053 ont été réalisés, a précisé, à l'APS, Bahar Mohamed. La majorité des 957 logements à réaliser est en cours de réalisation, mais enregistre un faible taux d'avancement pour "non renforcement des chantiers de réalisation", "absence de listes de bénéficiaires", ou encore "absence de contrat de vente sur plan ou VSP". Une partie de ce reste à réaliser se trouve soit à l'arrêt soit non encore lancée, a indiqué, à l'APS, le même responsable, précisant que ce reste à réaliser concerne 17 promoteurs sur 60 qui ont pris en charge le programme LSP au niveau de la wilaya d'Aïn-Témouchent. Certains ont exploité "des vides dans la réglementation du LSP", a encore souligné M. Bahar à l'APS. Les citoyens souscripteurs de ce programme ont leur part de responsabilité dans cette situation en versant leur apport aux promoteurs sans signer, devant un notaire, le contrat de vente sur plan. "Ces souscripteurs ont également versé leur apport sans même s'assurer qu'ils figurent sur la liste des bénéficiaires dressée par la Caisse nationale du logement (CNL)", a-t-il déclaré dans ce sens. Cette situation a été exploitée par certains promoteurs "escrocs" qui ont accepté des apports de souscripteurs bien plus que ne leur permet le programme, à l'instar de celui qui vient d'être condamné par le tribunal d'Aïn-Témouchent à cinq ans de prison ferme et 100.000 DA d'amende, outre le dédommagement des victimes. Selon l'APS, ce dernier a encaissé l'argent de 400 souscripteurs pour un programme de 70 logements seulement. Pour le même chef d'inculpation, quatre autres promoteurs sont en prison, a ajouté M. Bahar, soulignant que la Dlep se constitue "partie civile" dans ce genre de procès pour le dédommagement des souscripteurs. Inscrit à l'intitulé de la wilaya d'Aïn- Témouchent au titre du quinquennal 2005-2009, ce programme porte au total sur la réalisation de 7.010 unités à travers la wilaya, dont 6.053 ont été réalisés, a précisé, à l'APS, Bahar Mohamed. La majorité des 957 logements à réaliser est en cours de réalisation, mais enregistre un faible taux d'avancement pour "non renforcement des chantiers de réalisation", "absence de listes de bénéficiaires", ou encore "absence de contrat de vente sur plan ou VSP". Une partie de ce reste à réaliser se trouve soit à l'arrêt soit non encore lancée, a indiqué, à l'APS, le même responsable, précisant que ce reste à réaliser concerne 17 promoteurs sur 60 qui ont pris en charge le programme LSP au niveau de la wilaya d'Aïn-Témouchent. Certains ont exploité "des vides dans la réglementation du LSP", a encore souligné M. Bahar à l'APS. Les citoyens souscripteurs de ce programme ont leur part de responsabilité dans cette situation en versant leur apport aux promoteurs sans signer, devant un notaire, le contrat de vente sur plan. "Ces souscripteurs ont également versé leur apport sans même s'assurer qu'ils figurent sur la liste des bénéficiaires dressée par la Caisse nationale du logement (CNL)", a-t-il déclaré dans ce sens. Cette situation a été exploitée par certains promoteurs "escrocs" qui ont accepté des apports de souscripteurs bien plus que ne leur permet le programme, à l'instar de celui qui vient d'être condamné par le tribunal d'Aïn-Témouchent à cinq ans de prison ferme et 100.000 DA d'amende, outre le dédommagement des victimes. Selon l'APS, ce dernier a encaissé l'argent de 400 souscripteurs pour un programme de 70 logements seulement. Pour le même chef d'inculpation, quatre autres promoteurs sont en prison, a ajouté M. Bahar, soulignant que la Dlep se constitue "partie civile" dans ce genre de procès pour le dédommagement des souscripteurs.