La visite officielle de trois jours que doit effectuer le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, en Algérie, à partir d'hier est inscrite comme une visite essentiellement économique. A la faveur de la tenue du 1er comité intergouvernemental de haut niveau, les deux parties conviennent à « asseoir un dialogue politique régulier de très bon niveau entre les deux pays » et d'inscrire au menu un partenariat multisectoriel dans des domaines très variés. La visite officielle de trois jours que doit effectuer le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, en Algérie, à partir d'hier est inscrite comme une visite essentiellement économique. A la faveur de la tenue du 1er comité intergouvernemental de haut niveau, les deux parties conviennent à « asseoir un dialogue politique régulier de très bon niveau entre les deux pays » et d'inscrire au menu un partenariat multisectoriel dans des domaines très variés. Le Premier ministre français qui effectue une visite qualifiée « d'historique » est accompagné d'une importante délégation dont les ministres de l'Intérieur, Manuel Valls, du Commerce extérieur, Nicole Bricq, du Redressement productif, Arnaud Montebourg, de l'Education, Vincent Peillon et de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso. Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, sera représenté à l'occasion par son délégué aux Affaires européennes, Thierry Repentin. D'autres ministres à l'instar de celui délégué chargé de la Ville, François Lamy, le ministre délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, et celle chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui, seront également du voyage, aux côtés de nombreux parlementaires et entrepreneurs, conduits par le président du Medef International, Jean Burelle. Ce nombre impressionnant d'officiels et d'hommes d'affaires montre à « quel point la relation franco-algérienne est diversifiée et concerne tous les domaines de la vie en société » indique une source diplomatique française. La visite est une opportunité d'entretien avec le Premier ministre algérien Sellal et qui sera ponctuée par la signature de plusieurs accords dont on annonce une douzaine entre de grandes entreprises françaises et leurs homologues algériennes. Dans des secteurs de prédilection comme le transport, les services, l'agro-alimentaire, la pharmacie et la construction, le partenariat sera mis en valeur avec une approche équilibrée de gagnant-gagnant. Le Premier ministre français aura dans sa visite d'Oran à constater de visu le projet d'implantation de l'usine Renault, tout comme il inspectera le tramway d'Oran et se rendra dans la cimenterie Lafarge. Dans cette optique, les autres projets inscrits à terme bénéficieront d'un appui politique comme celui de l'implantation d'une grande usine de production de médicaments à Sidi Abdellah qui sera réalisée par le groupe Sanofi. Les secteurs ne sont pas en reste puisque l'opportunité sera accordée à la formation professionnelle avec un accord de partenariat devant inclure une école algérienne, une autre française, un ministère algérien et une entreprise française (Schneider Electronics) qui sera signé à l'occasion, dans le cadre d'un Institut de formation pour les métiers de l'électricité. Dans le domaine de l'éducation, un accord prévoit une assistance pédagogique dans ce domaine. Le Premier ministre français qui effectue une visite qualifiée « d'historique » est accompagné d'une importante délégation dont les ministres de l'Intérieur, Manuel Valls, du Commerce extérieur, Nicole Bricq, du Redressement productif, Arnaud Montebourg, de l'Education, Vincent Peillon et de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso. Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, sera représenté à l'occasion par son délégué aux Affaires européennes, Thierry Repentin. D'autres ministres à l'instar de celui délégué chargé de la Ville, François Lamy, le ministre délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, et celle chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui, seront également du voyage, aux côtés de nombreux parlementaires et entrepreneurs, conduits par le président du Medef International, Jean Burelle. Ce nombre impressionnant d'officiels et d'hommes d'affaires montre à « quel point la relation franco-algérienne est diversifiée et concerne tous les domaines de la vie en société » indique une source diplomatique française. La visite est une opportunité d'entretien avec le Premier ministre algérien Sellal et qui sera ponctuée par la signature de plusieurs accords dont on annonce une douzaine entre de grandes entreprises françaises et leurs homologues algériennes. Dans des secteurs de prédilection comme le transport, les services, l'agro-alimentaire, la pharmacie et la construction, le partenariat sera mis en valeur avec une approche équilibrée de gagnant-gagnant. Le Premier ministre français aura dans sa visite d'Oran à constater de visu le projet d'implantation de l'usine Renault, tout comme il inspectera le tramway d'Oran et se rendra dans la cimenterie Lafarge. Dans cette optique, les autres projets inscrits à terme bénéficieront d'un appui politique comme celui de l'implantation d'une grande usine de production de médicaments à Sidi Abdellah qui sera réalisée par le groupe Sanofi. Les secteurs ne sont pas en reste puisque l'opportunité sera accordée à la formation professionnelle avec un accord de partenariat devant inclure une école algérienne, une autre française, un ministère algérien et une entreprise française (Schneider Electronics) qui sera signé à l'occasion, dans le cadre d'un Institut de formation pour les métiers de l'électricité. Dans le domaine de l'éducation, un accord prévoit une assistance pédagogique dans ce domaine.