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Bénéficier d'une couverture sociale et de l'intégration et du système de retraite Projet d'unification des contrats d'aide à l'insertion professionnelle et du travail aidé
Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed Benmeradi, a annoncé un projet d'unification des contrats du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle et du travail aidé en un seul contrat appelé "contrat de première embauche". Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed Benmeradi, a annoncé un projet d'unification des contrats du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle et du travail aidé en un seul contrat appelé "contrat de première embauche". En réponse à la question d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN) lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que les contrats du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle et celui du travail aidé seront unifiés en un seul contrat permettant ainsi aux jeunes de bénéficier d'une couverture sociale et de l'intégration des années de travail dans le système de retraite. Le dispositif d'aide à l'insertion professionnelle a été lancé le 1er juin 2008 dans le cadre de l'application de la politique de promotion de l'emploi et de lutte contre le chômage au profit des primo-demandeurs d'emplois âgés entre 18 et 35 ans, rappelle-t-on. Ce dispositif vise notamment le soutien à l'insertion professionnelle des jeunes demandeurs d'emploi et l'encouragement des mesures visant la promotion de l'emploi des jeunes à travers notamment le financement de programmes de formation dans les métiers qui font défaut sur le marché du travail. Ce contrat appelé "contrat de première embauche", a ajouté le ministre, bénéficiera d'une aide de l'Etat sur une durée de 3 ans non renouvelables, et ce, par une contribution directe dans le salaire de poste. L'Etat contribuera dans le cadre de ce contrat dans le salaire de poste à raison de 15.000 DA pour les universitaires, 10.000 DA pour les techniciens supérieurs, 8.000 DA pour les diplômés de la formation professionnelle et 6.000 DA pour les personnes sans qualification, a précisé le ministre. L'employeur prendra en charge la différence résultant de la contribution directe de l'Etat et le salaire de poste et bénéficiera en contrepartie de la déduction d'une somme égale de l'impôt sur le bénéfice de la société, a affirmé le ministre. Le dispositif d'aide à l'insertion professionnelle, a poursuivi le ministre, a eu "des résultats positifs", en favorisant la création de 1.300.000 million d'emplois entre 2010 et 2013. Mais des "insuffisances" ont également été enregistrés au niveau de ce dispositif, a souligné Benmeradi qui a précisé que le taux d'insertion professionnelle dans le marché du travail n'a pas dépassé 10% comparativement au nombre global des jeunes intégrés dans le cadre de ce dispositif. Pour Benmeradi, le ministère œuvre en coordination avec les secteurs et instances concernés à mettre en œuvre un ensemble de mesures dont l'introduction de nouvelles formes de recrutement, l'amélioration de l'emploi de jeunes demandeurs d'emploi et l'incitation à l'esprit d'initiative et d'entrepreneuriat. Le ministre a enfin indiqué que la problématique de l'emploi et de la lutte contre le chômage réside dans une approche économique qui prend principalement appui sur l'encouragement de l'investissement générateur d'emploi dans le secteur économique. En réponse à la question d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN) lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que les contrats du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle et celui du travail aidé seront unifiés en un seul contrat permettant ainsi aux jeunes de bénéficier d'une couverture sociale et de l'intégration des années de travail dans le système de retraite. Le dispositif d'aide à l'insertion professionnelle a été lancé le 1er juin 2008 dans le cadre de l'application de la politique de promotion de l'emploi et de lutte contre le chômage au profit des primo-demandeurs d'emplois âgés entre 18 et 35 ans, rappelle-t-on. Ce dispositif vise notamment le soutien à l'insertion professionnelle des jeunes demandeurs d'emploi et l'encouragement des mesures visant la promotion de l'emploi des jeunes à travers notamment le financement de programmes de formation dans les métiers qui font défaut sur le marché du travail. Ce contrat appelé "contrat de première embauche", a ajouté le ministre, bénéficiera d'une aide de l'Etat sur une durée de 3 ans non renouvelables, et ce, par une contribution directe dans le salaire de poste. L'Etat contribuera dans le cadre de ce contrat dans le salaire de poste à raison de 15.000 DA pour les universitaires, 10.000 DA pour les techniciens supérieurs, 8.000 DA pour les diplômés de la formation professionnelle et 6.000 DA pour les personnes sans qualification, a précisé le ministre. L'employeur prendra en charge la différence résultant de la contribution directe de l'Etat et le salaire de poste et bénéficiera en contrepartie de la déduction d'une somme égale de l'impôt sur le bénéfice de la société, a affirmé le ministre. Le dispositif d'aide à l'insertion professionnelle, a poursuivi le ministre, a eu "des résultats positifs", en favorisant la création de 1.300.000 million d'emplois entre 2010 et 2013. Mais des "insuffisances" ont également été enregistrés au niveau de ce dispositif, a souligné Benmeradi qui a précisé que le taux d'insertion professionnelle dans le marché du travail n'a pas dépassé 10% comparativement au nombre global des jeunes intégrés dans le cadre de ce dispositif. Pour Benmeradi, le ministère œuvre en coordination avec les secteurs et instances concernés à mettre en œuvre un ensemble de mesures dont l'introduction de nouvelles formes de recrutement, l'amélioration de l'emploi de jeunes demandeurs d'emploi et l'incitation à l'esprit d'initiative et d'entrepreneuriat. Le ministre a enfin indiqué que la problématique de l'emploi et de la lutte contre le chômage réside dans une approche économique qui prend principalement appui sur l'encouragement de l'investissement générateur d'emploi dans le secteur économique.