Le film La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche a reçu le prix Louis-Delluc 2013. Palme d'or du dernier Festival de Cannes 2013, La vie d'Adèle raconte la rencontre et l'éveil au désir de deux adolescentes. Le prix Louis-Delluc 2013, considéré comme le Goncourt du cinéma, qui récompense le meilleur film français de l'année, a été attribué mardi 17 décembre au film La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche. Le film La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche a reçu le prix Louis-Delluc 2013. Palme d'or du dernier Festival de Cannes 2013, La vie d'Adèle raconte la rencontre et l'éveil au désir de deux adolescentes. Le prix Louis-Delluc 2013, considéré comme le Goncourt du cinéma, qui récompense le meilleur film français de l'année, a été attribué mardi 17 décembre au film La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche. Déjà Palme d'or du Festival de Cannes en 2013, La vie d'Adèle raconte la rencontre et l'éveil au désir de deux adolescentes, interprétées par Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux. "C'est un metteur en scène qui a un talent rare pour recréer la vérité, c'est l'esprit français, c'est la tradition depuis Jean Renoir jusqu'à Kechiche en passant par Pialat", a commenté Gilles Jacob, le président du jury, également président du Festival de Cannes, après avoir annoncé le nom du lauréat. Sept autres films étaient en lice cette année : "9 mois ferme" d'Albert Dupontel, L'inconnu du lac d'Alain Guiraudie, Camille Claudel 1915 de Bruno Dumont, Elle s'en va d'Emmanuelle Bercot avec Catherine Deneuve, Jimmy P. (Psychothérapie d'un Indien des Plaines) d'Arnaud Desplechin, Mon âme par toi guérie de François Dupeyron, et Le passé, d'Asghar Farhadi, qui a valu à Bérénice Bejo le prix d'interprétation du Festival de Cannes. Créé en 1937, le prix doit son nom à Louis Delluc, cinéaste et écrivain, mort à 33 ans en 1924 et considéré comme "le père spirituel de la critique cinématographique". Abdellatif Kechiche avait déjà reçu ce prix en 2007 pour La graine et le mulet. Déjà Palme d'or du Festival de Cannes en 2013, La vie d'Adèle raconte la rencontre et l'éveil au désir de deux adolescentes, interprétées par Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux. "C'est un metteur en scène qui a un talent rare pour recréer la vérité, c'est l'esprit français, c'est la tradition depuis Jean Renoir jusqu'à Kechiche en passant par Pialat", a commenté Gilles Jacob, le président du jury, également président du Festival de Cannes, après avoir annoncé le nom du lauréat. Sept autres films étaient en lice cette année : "9 mois ferme" d'Albert Dupontel, L'inconnu du lac d'Alain Guiraudie, Camille Claudel 1915 de Bruno Dumont, Elle s'en va d'Emmanuelle Bercot avec Catherine Deneuve, Jimmy P. (Psychothérapie d'un Indien des Plaines) d'Arnaud Desplechin, Mon âme par toi guérie de François Dupeyron, et Le passé, d'Asghar Farhadi, qui a valu à Bérénice Bejo le prix d'interprétation du Festival de Cannes. Créé en 1937, le prix doit son nom à Louis Delluc, cinéaste et écrivain, mort à 33 ans en 1924 et considéré comme "le père spirituel de la critique cinématographique". Abdellatif Kechiche avait déjà reçu ce prix en 2007 pour La graine et le mulet.