« Je serais candidat du Front El Moustakbal à la présidentielle de 2014 ». La question de la participation du parti Front El Moustakbal à la prochaine élection présidentielle mais il aura été le premier à faire cette déclaration à l'issue de son congrès extraordianire, autant dire dans les règles de l'art. « Je serais candidat du Front El Moustakbal à la présidentielle de 2014 ». La question de la participation du parti Front El Moustakbal à la prochaine élection présidentielle mais il aura été le premier à faire cette déclaration à l'issue de son congrès extraordianire, autant dire dans les règles de l'art. Le président du parti, Abdelaziz Belaïd a annoncé, hier, sa candidature à cette échéance électorale majeure, après que les congressistes du Front El Moustakbal, l'ont plébiscité pour représenter le FM à cette important évènement politique. C'est dans une salle pleine à craquer que les travaux du congrès extraordinaire du Front El Moustaqbal ont débuté avec la participation de 1252 délégués de 47 wilayas et la présence de personnalités nationales et étrangères. Il s'agit notamment de la France, du Canada et de l'Allemagne. Lors d'une allocution prononcée à l'ouverture du congrès, le président du parti, Abdelaziz Belaid a affirmé que sa formation, fondée en 2012, "adopte une ligne réaliste loin des promesses politiciennes". Il a salué "les réalisations" de son parti qui a fait l'expérience des législatives en mai 2012 et celle des élections locales à l'automne de la même année où il a fait une percée notable. Par ailleurs, l'intervenant a souligné que le congrès examinera, deux jours durant, une série de "propositions" pour enrichir le programme du parti concernant "les volets politique, social, économique et culturel". Au plan international, le président du Front El-Moustaqbal a réaffirmé le "soutien" de sa formation politique au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et au droit du peuple palestinien à la liberté et à l'instauration d'un Etat palestinien avec sa capitale El-Qods. Moins d'un an après avoir été élu à diriger le parti FM, Abdelaziz Belaid, la cinquantaine à peine entamée est désigné par le congrès à porter l'étendard du parti à la la lourde responsabilité de briguer la magistrature suprême du pays. Un atout pour le président du FM : sa jeunesse et un long parcours politique partisan et au service de la jeunesse. Abdelaziz Belaïd est un ancien député du Front de libération nationale (FLN), durant deux mandats, soit de 1997 à 2002 et de 2002 à 2007, membre du comité central, secrétaire général de l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA) avant d'occuper le poste de secrétaire général de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA). Le parti est parmi les dix-sept nouvelles formations politiques agréées juste avant les législatives de mai 2012. Le jeune parti a participé aux dernières législatives, remportant deux sièges à l'Assemblée populaire nationale. Abdelaziz Belaïd avait levé, récemment, un coin du voile sur les intentions du parti à propos de la présidentielle d'avril 2014. Dans un discours tenu à M'sila, lors d'une assemblée générale de wilaya, le président du Front El Mostakbal a confié que «le parti ne sera pas un comité de soutien, ni pour le candidat du pouvoir ni pour celui de l'opposition». «Le parti du Front El-Moustaqbal est pour une politique propre, loin de toutes fourberies ou de faux-semblants», a-t-il déclaré devant les militants de son parti. S'agissant de la révision de la Constitution, Abdelaziz Bélaïd a dénoncé l'utilisation du texte à des fins personnelles. Il dénonce aussi le fait que la Constitution a été amendée à trois reprises au cours des dernières années pour des «raisons conjoncturelles». Abdelaziz Belaid, plaide «pour que la majorité des Algériens puisse participer librement à l'élaboration de ce texte». Du programme politique du parti qui avait été énoncé à l'issue de son congrès constitutif, l'accent a été mis sur "les fondements du FM qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République ». En outre le texte insiste, sur la nécessité de renforcer les rangs du parti, à travers "le dialogue et la vulgarisation des ses objectifs qui consistent en la lutte contre la corruption sous toutes ses formes, la sauvegarde de la souveraineté nationale et le rejet de toute intervention étrangère qu'elle qu'en soit sa nature". Il est souligné que "Le Front El Moustakbal rejette la violence, l'extrémisme, le régionalisme et le favoritisme. Il milite pour la consécration des valeurs citoyennes et du sens civique au sein de la société", est-il souligné dans la résolution. Le FM, lit-on aussi dans la résolution finale du congrès constitutif, milite pour "la promotion de l'action politique, la consécration de la justice sociale et la traduction sur le terrain du principe de l'alternance au pouvoir". Vaste programme qui sera traduit sur le terrain si le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, accède à la magistrature suprême. Le président du parti, Abdelaziz Belaïd a annoncé, hier, sa candidature à cette échéance électorale majeure, après que les congressistes du Front El Moustakbal, l'ont plébiscité pour représenter le FM à cette important évènement politique. C'est dans une salle pleine à craquer que les travaux du congrès extraordinaire du Front El Moustaqbal ont débuté avec la participation de 1252 délégués de 47 wilayas et la présence de personnalités nationales et étrangères. Il s'agit notamment de la France, du Canada et de l'Allemagne. Lors d'une allocution prononcée à l'ouverture du congrès, le président du parti, Abdelaziz Belaid a affirmé que sa formation, fondée en 2012, "adopte une ligne réaliste loin des promesses politiciennes". Il a salué "les réalisations" de son parti qui a fait l'expérience des législatives en mai 2012 et celle des élections locales à l'automne de la même année où il a fait une percée notable. Par ailleurs, l'intervenant a souligné que le congrès examinera, deux jours durant, une série de "propositions" pour enrichir le programme du parti concernant "les volets politique, social, économique et culturel". Au plan international, le président du Front El-Moustaqbal a réaffirmé le "soutien" de sa formation politique au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et au droit du peuple palestinien à la liberté et à l'instauration d'un Etat palestinien avec sa capitale El-Qods. Moins d'un an après avoir été élu à diriger le parti FM, Abdelaziz Belaid, la cinquantaine à peine entamée est désigné par le congrès à porter l'étendard du parti à la la lourde responsabilité de briguer la magistrature suprême du pays. Un atout pour le président du FM : sa jeunesse et un long parcours politique partisan et au service de la jeunesse. Abdelaziz Belaïd est un ancien député du Front de libération nationale (FLN), durant deux mandats, soit de 1997 à 2002 et de 2002 à 2007, membre du comité central, secrétaire général de l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA) avant d'occuper le poste de secrétaire général de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA). Le parti est parmi les dix-sept nouvelles formations politiques agréées juste avant les législatives de mai 2012. Le jeune parti a participé aux dernières législatives, remportant deux sièges à l'Assemblée populaire nationale. Abdelaziz Belaïd avait levé, récemment, un coin du voile sur les intentions du parti à propos de la présidentielle d'avril 2014. Dans un discours tenu à M'sila, lors d'une assemblée générale de wilaya, le président du Front El Mostakbal a confié que «le parti ne sera pas un comité de soutien, ni pour le candidat du pouvoir ni pour celui de l'opposition». «Le parti du Front El-Moustaqbal est pour une politique propre, loin de toutes fourberies ou de faux-semblants», a-t-il déclaré devant les militants de son parti. S'agissant de la révision de la Constitution, Abdelaziz Bélaïd a dénoncé l'utilisation du texte à des fins personnelles. Il dénonce aussi le fait que la Constitution a été amendée à trois reprises au cours des dernières années pour des «raisons conjoncturelles». Abdelaziz Belaid, plaide «pour que la majorité des Algériens puisse participer librement à l'élaboration de ce texte». Du programme politique du parti qui avait été énoncé à l'issue de son congrès constitutif, l'accent a été mis sur "les fondements du FM qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République ». En outre le texte insiste, sur la nécessité de renforcer les rangs du parti, à travers "le dialogue et la vulgarisation des ses objectifs qui consistent en la lutte contre la corruption sous toutes ses formes, la sauvegarde de la souveraineté nationale et le rejet de toute intervention étrangère qu'elle qu'en soit sa nature". Il est souligné que "Le Front El Moustakbal rejette la violence, l'extrémisme, le régionalisme et le favoritisme. Il milite pour la consécration des valeurs citoyennes et du sens civique au sein de la société", est-il souligné dans la résolution. Le FM, lit-on aussi dans la résolution finale du congrès constitutif, milite pour "la promotion de l'action politique, la consécration de la justice sociale et la traduction sur le terrain du principe de l'alternance au pouvoir". Vaste programme qui sera traduit sur le terrain si le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, accède à la magistrature suprême.