Trois dangereux ressortissants africains, dont une femme d'affaires résidant en Grande-Bretagne, sont activement recherchés par les gendarmes enquêteurs de la section de recherches du Groupement d'Alger suite à une grosse affaire d'escroquerie qui visait un homme d'affaires algérien d'Alger où il est propriétaire d'une société spécialisée dans l'installation de centrales électriques et téléphoniques. Trois dangereux ressortissants africains, dont une femme d'affaires résidant en Grande-Bretagne, sont activement recherchés par les gendarmes enquêteurs de la section de recherches du Groupement d'Alger suite à une grosse affaire d'escroquerie qui visait un homme d'affaires algérien d'Alger où il est propriétaire d'une société spécialisée dans l'installation de centrales électriques et téléphoniques. Ce dangereux réseau africain vient d'être démantelé suite à une plainte déposée, il y a quelques semaines par un homme d'affaires algérien qui détient une société spécialisée dans les installations de centrales téléphoniques et électriques. Ce dernier a fait l'objet d'une grosse affaire d'escroquerie orchestrée par quatre dangereux malfrats, où figurent une femme d'affaires d'origine malienne, deux autres Maliens résidant à Alger et un receleur algérien qui jouait le rôle d'intermédiaire au sein du réseau criminel. L'homme d'affaires algérien, résidant à Alger, a été contacté par le receleur algérien avant que ce dernier n'établisse un contact direct avec les deux escrocs maliens qui se faisaient passer pour les fils d'une riche femme malienne résidant en Grande-Bretagne. Alléché par cette relation d' «affaires», le propriétaire de la société est très vite entré en contact avec la Malienne qui se faisait passer, elle, pour l'épouse d'un vice-Président d'un pays africain. Le contact entre l'homme d'affaires algérien et les quatre escrocs du réseau est tellement allé très vite que la victime a été contrainte de passer à un partenariat « gagnant-gagnant » avec les trois Maliens. Ces derniers lui ont proposé, en fait, de signer un accord pour créer une société mixte, de lancer des investissements en Algérie, tandis que la «mère» du réseau, la femme malienne a promis à l'homme d'affaires algérien d'un rendez-vous à Alger pour signer le partenariat. Le contact entre le propriétaire de la société et la Malienne a eu lieu via les réseaux sociaux sur le Net. L'affaire remonte au 11 juillet 2013, expliquent les enquêteurs de la Gendarmerie nationale, lorsque la victime avait reçu une lettre postale à son domicile, de la part d'une femme se disant résidante en Angleterre, lui proposant un partenariat, en s'engageant à verser la somme de quatre millions cinq cent mille (4.500.000) euros représentant sa part dans le capital d'investissement. Alléché par cette offre, et après avoir entrepris des contacts téléphoniques et électroniques avec cette femme escroc, il a été convenu d'une rencontre entre les deux fils présumés de la sus-citée et l'intéressé pour enclencher les préparatifs, en attendant l'arrivée de cette femme en Algérie pour sceller l'accord. Suite à quoi, la victime a remis aux deux ressortissants africains, un montant de cinq mille deux cent (5.200) euros et un autre de sept millions cinq cent mille (7.500.000.00) DA. Les gendarmes enquêteurs ont identifié l'un des deux escrocs, dont la victime a reconnu la photo. Les vérifications auprès de la police des frontières du passage du suspect ont permis d'établir que l'intéressé a quitté l'Algérie via le poste frontalier d'In Guezzam, avant le dépôt de la plainte. Il a été établi, aussi, que l'intéressé se trouve actuellement dans d'un pays africain et utilise un numéro de téléphone à l'indicatif de ce pays pour appeler la victime. Durant cette enquête menée par les gendarmes, un complice de nationalité algérienne a été placé sous mandat de dépôt, après que les investigations menées ont démontré son rôle de receleur et sa contribution par la mise de son compte CCP à disposition des escrocs. Présenté hier devant le procureur de la République près de tribunal d'El Harrach, il a été placé sous mandat de dépôt. Ce dangereux réseau africain vient d'être démantelé suite à une plainte déposée, il y a quelques semaines par un homme d'affaires algérien qui détient une société spécialisée dans les installations de centrales téléphoniques et électriques. Ce dernier a fait l'objet d'une grosse affaire d'escroquerie orchestrée par quatre dangereux malfrats, où figurent une femme d'affaires d'origine malienne, deux autres Maliens résidant à Alger et un receleur algérien qui jouait le rôle d'intermédiaire au sein du réseau criminel. L'homme d'affaires algérien, résidant à Alger, a été contacté par le receleur algérien avant que ce dernier n'établisse un contact direct avec les deux escrocs maliens qui se faisaient passer pour les fils d'une riche femme malienne résidant en Grande-Bretagne. Alléché par cette relation d' «affaires», le propriétaire de la société est très vite entré en contact avec la Malienne qui se faisait passer, elle, pour l'épouse d'un vice-Président d'un pays africain. Le contact entre l'homme d'affaires algérien et les quatre escrocs du réseau est tellement allé très vite que la victime a été contrainte de passer à un partenariat « gagnant-gagnant » avec les trois Maliens. Ces derniers lui ont proposé, en fait, de signer un accord pour créer une société mixte, de lancer des investissements en Algérie, tandis que la «mère» du réseau, la femme malienne a promis à l'homme d'affaires algérien d'un rendez-vous à Alger pour signer le partenariat. Le contact entre le propriétaire de la société et la Malienne a eu lieu via les réseaux sociaux sur le Net. L'affaire remonte au 11 juillet 2013, expliquent les enquêteurs de la Gendarmerie nationale, lorsque la victime avait reçu une lettre postale à son domicile, de la part d'une femme se disant résidante en Angleterre, lui proposant un partenariat, en s'engageant à verser la somme de quatre millions cinq cent mille (4.500.000) euros représentant sa part dans le capital d'investissement. Alléché par cette offre, et après avoir entrepris des contacts téléphoniques et électroniques avec cette femme escroc, il a été convenu d'une rencontre entre les deux fils présumés de la sus-citée et l'intéressé pour enclencher les préparatifs, en attendant l'arrivée de cette femme en Algérie pour sceller l'accord. Suite à quoi, la victime a remis aux deux ressortissants africains, un montant de cinq mille deux cent (5.200) euros et un autre de sept millions cinq cent mille (7.500.000.00) DA. Les gendarmes enquêteurs ont identifié l'un des deux escrocs, dont la victime a reconnu la photo. Les vérifications auprès de la police des frontières du passage du suspect ont permis d'établir que l'intéressé a quitté l'Algérie via le poste frontalier d'In Guezzam, avant le dépôt de la plainte. Il a été établi, aussi, que l'intéressé se trouve actuellement dans d'un pays africain et utilise un numéro de téléphone à l'indicatif de ce pays pour appeler la victime. Durant cette enquête menée par les gendarmes, un complice de nationalité algérienne a été placé sous mandat de dépôt, après que les investigations menées ont démontré son rôle de receleur et sa contribution par la mise de son compte CCP à disposition des escrocs. Présenté hier devant le procureur de la République près de tribunal d'El Harrach, il a été placé sous mandat de dépôt.