C'est sans surprise aucune que Abdelkader Bensalah a été plébiscité comme secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND). C'était hier lors du premier jour des travaux du quatrième congrès de ce parti politique qui s'est tenu à l'hôtel El Aurassi, à Alger en présence de nombreux invités et de quelques anciennes figures du parti dont le général Mohamed Betchine. C'est sans surprise aucune que Abdelkader Bensalah a été plébiscité comme secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND). C'était hier lors du premier jour des travaux du quatrième congrès de ce parti politique qui s'est tenu à l'hôtel El Aurassi, à Alger en présence de nombreux invités et de quelques anciennes figures du parti dont le général Mohamed Betchine. En effet, et alors que l'élection du secrétaire général était prévue dans l'après- midi, les congressistes n'ont pas attendu longtemps pour confirmer ce qui était déjà un secret de Polichinelle puisque Bensalah était pratiquement assuré de succéder à l'ancien secrétaire général , Ahmed Ouyahia. « Je vous propose de plébisciter Abdelkader Bensalah au poste de secrétaire général », a lancé à l'adresse des congressistes le rapporteur de la commission de validation des mandats. Toute la salle, debout, a alors fortement applaudi cette proposition donnant ainsi son aval à la proposition. Abdelkader Bensalah, qui assurait l'intérim suite à la démission d'Ahmed Ouyahia au tout début du mois de janvier dernier, est désormais secrétaire général de plein droit. « Ce plébiscite n'est pas en opposition avec les textes du parti », dira Nouara Djaafar, porte-parole du congrès,lors d'un point de presse puisque , devait elle ajouter, « les congressistes ont le choix entre cette manière ou l'élection ».L'intronisation de Bensalah à la tête du RND était fort attendue. Il n'avait, en effet, aucun concurrent. Les poids lourds du parti ont « abdiqué » depuis longtemps après avoir fait montre de quelques velléités, certains d'entre-eux à tout le moins, laissant ainsi la voie libre à Abdelkader Bensalah. Ce plébiscite est intervenu quelques instants après la fin de l'allocution d'ouverture des travaux, prononcée par Bensalah devant les 1419 congressistes, parmi lesquels on a remarqué une forte présence féminine. En effet, selon les chiffres fournis par Nouara Djaafar, lors de son point de presse, il y avait 395 femmes délégués, soit 25% de l'ensemble des congressistes. Dans son discours, qui a duré un peu plus d'une heure, Bensalah a de nouveau apporté le soutien du parti au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le RND « saisit cette occasion pour confirmer sa position par rapport au frère président Abdelaziz Bouteflika" et déclare qu'"il était, il est et il restera à ses côtés et il est prêt pour poursuivre la marche qu'il a choisie et a respectée depuis 1999». Un soutien clair et franc même si Bensalah n'a pas prononcé le terme quatrième mandat dans son discours. C'était suffisant pour que certains trouvent à épiloguer en allant chacun de ses hypothèses quant à ce «soutien timide». Interpellée, Nouara Djaafar a indiqué que le terme de quatrième mandat est « inapproprié, puisque c'est d'un nouveau mandat qu'il s'agit et sur ce plan, Bensalah a été clair. Nous sommes pour la continuité ». En clair, le RND est pour un quatrième mandat. A ce propos, Bensalah dira que « notre choix est fondé s sur la consolidation de la sécurité et de la stabilité.. ». Bensalah,, cela dit , n'a pas fait allusion à la question de la révision de la Constitution. Il a par contre rendu un vibrant hommage à quelques personnalités qui ont participé à la création du RND et dont certaines ne sont plus de ce monde. Il a été question de Abdelhak Benhamouda, Cheikh Zidane El Mokhfi et Boutouigua. Tous ces noms ont été salués par la salle. Mais il est incontestable que la palme de l'applaudimètre revient à Ahmed Ouyahia, qui a brillé par son, absence lors de ce congrès. A l'évocation de son nom par Bensalah, la salle s'est levée comme un seul homme pour lui rendre un vibrant hommage. Il faut préciser que l'absence d' Ouyahia est justifiée puisque il est en mission en Mauritanie pour superviser à la tête d'une délégation de l'Union africaine le déroulement des élections législatives. Notons que le congrès achèvera ses travaux aujourd'hui. Les élections des membres du Conseil national, qui sont le véritable enjeu de ce congrès, ont eu lieu hier en début de soirée. En effet, et alors que l'élection du secrétaire général était prévue dans l'après- midi, les congressistes n'ont pas attendu longtemps pour confirmer ce qui était déjà un secret de Polichinelle puisque Bensalah était pratiquement assuré de succéder à l'ancien secrétaire général , Ahmed Ouyahia. « Je vous propose de plébisciter Abdelkader Bensalah au poste de secrétaire général », a lancé à l'adresse des congressistes le rapporteur de la commission de validation des mandats. Toute la salle, debout, a alors fortement applaudi cette proposition donnant ainsi son aval à la proposition. Abdelkader Bensalah, qui assurait l'intérim suite à la démission d'Ahmed Ouyahia au tout début du mois de janvier dernier, est désormais secrétaire général de plein droit. « Ce plébiscite n'est pas en opposition avec les textes du parti », dira Nouara Djaafar, porte-parole du congrès,lors d'un point de presse puisque , devait elle ajouter, « les congressistes ont le choix entre cette manière ou l'élection ».L'intronisation de Bensalah à la tête du RND était fort attendue. Il n'avait, en effet, aucun concurrent. Les poids lourds du parti ont « abdiqué » depuis longtemps après avoir fait montre de quelques velléités, certains d'entre-eux à tout le moins, laissant ainsi la voie libre à Abdelkader Bensalah. Ce plébiscite est intervenu quelques instants après la fin de l'allocution d'ouverture des travaux, prononcée par Bensalah devant les 1419 congressistes, parmi lesquels on a remarqué une forte présence féminine. En effet, selon les chiffres fournis par Nouara Djaafar, lors de son point de presse, il y avait 395 femmes délégués, soit 25% de l'ensemble des congressistes. Dans son discours, qui a duré un peu plus d'une heure, Bensalah a de nouveau apporté le soutien du parti au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le RND « saisit cette occasion pour confirmer sa position par rapport au frère président Abdelaziz Bouteflika" et déclare qu'"il était, il est et il restera à ses côtés et il est prêt pour poursuivre la marche qu'il a choisie et a respectée depuis 1999». Un soutien clair et franc même si Bensalah n'a pas prononcé le terme quatrième mandat dans son discours. C'était suffisant pour que certains trouvent à épiloguer en allant chacun de ses hypothèses quant à ce «soutien timide». Interpellée, Nouara Djaafar a indiqué que le terme de quatrième mandat est « inapproprié, puisque c'est d'un nouveau mandat qu'il s'agit et sur ce plan, Bensalah a été clair. Nous sommes pour la continuité ». En clair, le RND est pour un quatrième mandat. A ce propos, Bensalah dira que « notre choix est fondé s sur la consolidation de la sécurité et de la stabilité.. ». Bensalah,, cela dit , n'a pas fait allusion à la question de la révision de la Constitution. Il a par contre rendu un vibrant hommage à quelques personnalités qui ont participé à la création du RND et dont certaines ne sont plus de ce monde. Il a été question de Abdelhak Benhamouda, Cheikh Zidane El Mokhfi et Boutouigua. Tous ces noms ont été salués par la salle. Mais il est incontestable que la palme de l'applaudimètre revient à Ahmed Ouyahia, qui a brillé par son, absence lors de ce congrès. A l'évocation de son nom par Bensalah, la salle s'est levée comme un seul homme pour lui rendre un vibrant hommage. Il faut préciser que l'absence d' Ouyahia est justifiée puisque il est en mission en Mauritanie pour superviser à la tête d'une délégation de l'Union africaine le déroulement des élections législatives. Notons que le congrès achèvera ses travaux aujourd'hui. Les élections des membres du Conseil national, qui sont le véritable enjeu de ce congrès, ont eu lieu hier en début de soirée.