La presse internationale, arabe et étrangère, a largement commenté l'extradition de Rafik Khalifa vers Alger. En titrant presque tous sur un même titre, la presse internationale a rappelé le plus grand scandale financier de l'histoire de l'Algérie en posant, par contre, beaucoup de questions sur le prochain procès, très attendu, de Khalifa devant la justice algérienne. La presse internationale, arabe et étrangère, a largement commenté l'extradition de Rafik Khalifa vers Alger. En titrant presque tous sur un même titre, la presse internationale a rappelé le plus grand scandale financier de l'histoire de l'Algérie en posant, par contre, beaucoup de questions sur le prochain procès, très attendu, de Khalifa devant la justice algérienne. La presse française à l'instar des autres quotidiens étrangers a beaucoup commenté sur la livraison de l'ex-golden boy vers Alger. Le quotidien français Le Monde est revenu, hier, sur l'extradition de Rafik Khalifa en titrant : «L'ex-magnat algérien Khalifa remis aux autorités algériennes ». Pour Le Monde, l'ex-magnat algérien Rafik Khalifa est poursuivi par la justice en France et en Algérie pour banqueroute et détournements de fonds et réfugié depuis 2007 au Royaume-Uni. Le même journal français ajoute que Khalifa a été remis mardi 24 décembre aux autorités algériennes suite à la finalisation de toutes les procédures de son extradition. Une délégation algérienne s'était déplacée dimanche dans la capitale anglaise, souligne Le Monde en indiquant que Londres avait annoncé le 16 décembre son intention d'extrader Khalifa, 47 ans, d'ici à la fin du mois, après qu'il eut épuisé tous ses recours au Royaume-Uni. L'échange s'est donc fait « conformément aux procédures légales et aux dispositions de la convention judiciaire » entre l'Algérie et le Royaume-Uni, a précisé le même journal. « KHALIFA, GOLDEN BOY DE L'ALGERIE DES ANNEES 1990», titre de son côté le quotidien français Le Figaro. Fils d'ancien ministre, Rafik Khalifa avait symbolisé la réussite individuelle en Algérie à la fin des années 1990 en édifiant un empire économique, dont une banque, une chaîne de télévision et une compagnie aérienne. L'empire Khalifa, employant 20 000 salariés en Algérie et en Europe, était présenté comme la nouvelle vitrine du régime algérien, qui sortait d'une décennie de guerre civile pour s'ouvrir à l'économie de marché, rappelle le même quotidien. Parrainé par de puissants protecteurs, Khalifa, alors jeune pharmacien, était devenu un flamboyant milliardaire, dont les soirées cannoises attiraient les stars internationales, souligne toujours Le Figaro. Mais le « golden boy » a fait faillite en 2003 et a été condamné par contumace en 2007 en Algérie à la prison à vie pour détournements de fonds et usages de faux. Entre-temps, il s'était réfugié à Londres. Le procès en appel, qui devait débuter le 2 avril dernier à Blida (au sud-ouest d'Alger), a été reporté en raison de l'absence d'accusés. Egalement poursuivi en France pour banqueroute et détournements de fonds, il avait été arrêté par la justice britannique en 2007 à la suite d'un mandat européen délivré par la France. Mais, grâce à plusieurs appels, il avait pu rester en territoire britannique. De son côté, la presse arabe s'est intéressée à l'extradition d'Abdelmouméne Rafik Khalifa vers Alger après un marathon des procédures judiciaire livrées par la justice algérienne. Pour sa part le quotidien saoudien parant à Londres El Qods El Arabi a indiqué que l'ex-milliardaire Khalifa ayant bâtît un empire durant les années 90 a été livré aux autorités algériennes. « Khalifa avait investi dans la télé, les locations de véhicules de luxe, l'aviation, la banque et dans l'immobilier avant que son empire ne chute après un grand scandale financier dont il est accusé », commente le quotidien El Qods El Arabi. De son côté, le quotidien égyptien El Ahram a comparé l'affaire Khalifa à celle des entreprises égyptiennes qui sont accusées dans les scandales des recrutements fictifs. Le premier quotidien à grand tirage en Egypte a beaucoup commenté sur l'extradition de Khalifa vers l'Algérie et sur les accusations qui sont portées à son encontre en expliquant que ces accusations sont similaires à celles portées contre certaines sociétés égyptiennes qui sont poursuivies pour de grosses affaires de détournements des deniers publics en Egypte. La presse française à l'instar des autres quotidiens étrangers a beaucoup commenté sur la livraison de l'ex-golden boy vers Alger. Le quotidien français Le Monde est revenu, hier, sur l'extradition de Rafik Khalifa en titrant : «L'ex-magnat algérien Khalifa remis aux autorités algériennes ». Pour Le Monde, l'ex-magnat algérien Rafik Khalifa est poursuivi par la justice en France et en Algérie pour banqueroute et détournements de fonds et réfugié depuis 2007 au Royaume-Uni. Le même journal français ajoute que Khalifa a été remis mardi 24 décembre aux autorités algériennes suite à la finalisation de toutes les procédures de son extradition. Une délégation algérienne s'était déplacée dimanche dans la capitale anglaise, souligne Le Monde en indiquant que Londres avait annoncé le 16 décembre son intention d'extrader Khalifa, 47 ans, d'ici à la fin du mois, après qu'il eut épuisé tous ses recours au Royaume-Uni. L'échange s'est donc fait « conformément aux procédures légales et aux dispositions de la convention judiciaire » entre l'Algérie et le Royaume-Uni, a précisé le même journal. « KHALIFA, GOLDEN BOY DE L'ALGERIE DES ANNEES 1990», titre de son côté le quotidien français Le Figaro. Fils d'ancien ministre, Rafik Khalifa avait symbolisé la réussite individuelle en Algérie à la fin des années 1990 en édifiant un empire économique, dont une banque, une chaîne de télévision et une compagnie aérienne. L'empire Khalifa, employant 20 000 salariés en Algérie et en Europe, était présenté comme la nouvelle vitrine du régime algérien, qui sortait d'une décennie de guerre civile pour s'ouvrir à l'économie de marché, rappelle le même quotidien. Parrainé par de puissants protecteurs, Khalifa, alors jeune pharmacien, était devenu un flamboyant milliardaire, dont les soirées cannoises attiraient les stars internationales, souligne toujours Le Figaro. Mais le « golden boy » a fait faillite en 2003 et a été condamné par contumace en 2007 en Algérie à la prison à vie pour détournements de fonds et usages de faux. Entre-temps, il s'était réfugié à Londres. Le procès en appel, qui devait débuter le 2 avril dernier à Blida (au sud-ouest d'Alger), a été reporté en raison de l'absence d'accusés. Egalement poursuivi en France pour banqueroute et détournements de fonds, il avait été arrêté par la justice britannique en 2007 à la suite d'un mandat européen délivré par la France. Mais, grâce à plusieurs appels, il avait pu rester en territoire britannique. De son côté, la presse arabe s'est intéressée à l'extradition d'Abdelmouméne Rafik Khalifa vers Alger après un marathon des procédures judiciaire livrées par la justice algérienne. Pour sa part le quotidien saoudien parant à Londres El Qods El Arabi a indiqué que l'ex-milliardaire Khalifa ayant bâtît un empire durant les années 90 a été livré aux autorités algériennes. « Khalifa avait investi dans la télé, les locations de véhicules de luxe, l'aviation, la banque et dans l'immobilier avant que son empire ne chute après un grand scandale financier dont il est accusé », commente le quotidien El Qods El Arabi. De son côté, le quotidien égyptien El Ahram a comparé l'affaire Khalifa à celle des entreprises égyptiennes qui sont accusées dans les scandales des recrutements fictifs. Le premier quotidien à grand tirage en Egypte a beaucoup commenté sur l'extradition de Khalifa vers l'Algérie et sur les accusations qui sont portées à son encontre en expliquant que ces accusations sont similaires à celles portées contre certaines sociétés égyptiennes qui sont poursuivies pour de grosses affaires de détournements des deniers publics en Egypte.