Le président du parti El Karama, Mohamed Benhamou, a appelé, vendredi, à Tizi-Ouzou, la classe politique à s'unir "autour d'un pacte patriotique pour préserver l'Algérie". Le président du parti El Karama, Mohamed Benhamou, a appelé, vendredi, à Tizi-Ouzou, la classe politique à s'unir "autour d'un pacte patriotique pour préserver l'Algérie". Animant un meeting à la maison de la culture en présence des militants de son parti et de représentants locaux d'autres partis politiques, M. Benhamou a ajouté que "l'objectif de ce pacte est de faire prévaloir l'intérêt de la patrie avant toute autre considération personnelle". "L'Algérie va connaître un tournant difficile et la classe politique doit constituer une force pour préserver la paix et la stabilité du pays qui est l'un des rares sur le continent africain à jouir de stabilité et de sérénité", a t-il souligné. Rappelant la position "centriste" de son parti, M. Benhamou a dénoncé ce qu'il a appelé "les tentatives de déstabilisation de l'Algérie, menées par certains courants politiques dits de l'opposition". "Le parti El Karama est contre ceux qui plaident pour une coupure avec la génération de Novembre 1954", a ajouté par ailleurs M.Benhamou jugeant qu'"on ne peut pas effacer ou nier le passé pour recommencer à zéro, cela engendrerait une politique d'exclusion avec pour corollaire l'affrontement et la violence ", dira t-il. "Le système ne doit pas changer, il faut plutôt changer les mentalités, en passant de la légitimité historique à celle des institutions", a ajouté le président du parti El Karama, en soulignant qu'"il ya des lignes rouges qu'il ne faut pas dépasser notamment lorsqu'il s'agit de l'Armée nationale populaire (ANP) et des autres corps constitués, qui veillent à la sécurité et à la stabilité du pays et protègent ses frontières". Abordant la prochaine élection présidentielle, M. Benhamou, a indiqué que son parti plaide "pour le respect des échéances et sa tenue dans les délais prévus", en relevant , concernant un nouveau mandat pour le président de la République, que "M. Abdelaziz Bouteflika, qui a réussi à instaurer la paix et la stabilité, la réconciliation nationale, et à soutenir le processus de développement, a le droit de présenter une nouvelle fois sa candidature. Il aura dans ce cas, et sans trafic, une avance d'au moins 5 millions de voix sur les autres candidats", a soutenu M. Benhamou. Animant un meeting à la maison de la culture en présence des militants de son parti et de représentants locaux d'autres partis politiques, M. Benhamou a ajouté que "l'objectif de ce pacte est de faire prévaloir l'intérêt de la patrie avant toute autre considération personnelle". "L'Algérie va connaître un tournant difficile et la classe politique doit constituer une force pour préserver la paix et la stabilité du pays qui est l'un des rares sur le continent africain à jouir de stabilité et de sérénité", a t-il souligné. Rappelant la position "centriste" de son parti, M. Benhamou a dénoncé ce qu'il a appelé "les tentatives de déstabilisation de l'Algérie, menées par certains courants politiques dits de l'opposition". "Le parti El Karama est contre ceux qui plaident pour une coupure avec la génération de Novembre 1954", a ajouté par ailleurs M.Benhamou jugeant qu'"on ne peut pas effacer ou nier le passé pour recommencer à zéro, cela engendrerait une politique d'exclusion avec pour corollaire l'affrontement et la violence ", dira t-il. "Le système ne doit pas changer, il faut plutôt changer les mentalités, en passant de la légitimité historique à celle des institutions", a ajouté le président du parti El Karama, en soulignant qu'"il ya des lignes rouges qu'il ne faut pas dépasser notamment lorsqu'il s'agit de l'Armée nationale populaire (ANP) et des autres corps constitués, qui veillent à la sécurité et à la stabilité du pays et protègent ses frontières". Abordant la prochaine élection présidentielle, M. Benhamou, a indiqué que son parti plaide "pour le respect des échéances et sa tenue dans les délais prévus", en relevant , concernant un nouveau mandat pour le président de la République, que "M. Abdelaziz Bouteflika, qui a réussi à instaurer la paix et la stabilité, la réconciliation nationale, et à soutenir le processus de développement, a le droit de présenter une nouvelle fois sa candidature. Il aura dans ce cas, et sans trafic, une avance d'au moins 5 millions de voix sur les autres candidats", a soutenu M. Benhamou.