L'activité commerciale en Algérie a évolué durant le deuxième trimestre 2013 "en dents de scie", selon une enquête d'opinion réalisée par l'Office nationale des statistiques (ONS) auprès des chefs d'entreprises. L'activité commerciale en Algérie a évolué durant le deuxième trimestre 2013 "en dents de scie", selon une enquête d'opinion réalisée par l'Office nationale des statistiques (ONS) auprès des chefs d'entreprises. Selon les commerçants grossistes et détaillants enquêtés, durant le 2e trimestre 2013, l'activité commerciale en Algérie a baissé, notamment pour les matières premières et demi produits, textiles, habillement et cuirs, ainsi que pour le commerce divers, mais la baisse reste de moindre ampleur pour les produits de droguerie, quincaillerie, appareils électroménagers et parfumerie DQAEMP, selon l'APS. En revanche, l'activité dans le commerce des combustibles et des lubrifiants et celui des machines et matériels d'équipements a augmenté, alors qu'elle était stable pour le commerce multiple, notent les professionnels touchés par l'enquête qui a concerné 533 entreprises commerciales dont 255 publiques et 278 privées. Toutefois, la plupart des détaillants et certains grossistes se plaignent des délais d'approvisionnement qui sont longs, de l'éloignement et de la dispersion des centres d'approvisionnement, ainsi que de l'indisponibilité de marchandises, en plus de la lourdeur des formalités d'acquisition de la marchandise. A cet effet, plus de 75% des commerçants grossistes et près de 70% des détaillants enquêtés ont déclaré avoir enregistré des ruptures de stocks de produits. La rupture a touché l'ensemble des activités à l'exception des textiles, habillement et chaussures et les produits agro-alimentaires. Près de 45% des grossistes et 85% des détaillants se sont approvisionnés durant le 2e trimestre 2013 auprès du secteur privé uniquement. Les plus concernés sont les textiles, habillement et cuirs et les produits de DQAEMP, les matières premières et demi produits, ainsi que les commerces multiples. L'enquête révèle que les commerçants des combustibles et lubrifiants se sont approvisionnés uniquement auprès du secteur public. Pour les prix d'acquisition des produits, plus de 14% des grossistes enquêtés jugent les prix d'acquisition des produits moins élevés, notamment ceux des combustibles et lubrifiants et des matières premières et demi produits. Cependant, plus de 32% des détaillants estiment que les prix d'acquisition des produits sont plus élevés, notamment ceux de l'agro-alimentaires, des machines et matériaux d'équipements et du commerce multiples. Plus de 95% des grossistes et 45% des détaillants ont acheté leurs marchandises de première main, à l'exception de ceux des "matières premières" et des textiles, habillement et chaussures, ainsi que du commerce multiples qui ont déclaré avoir acheté leur marchandise en deuxième ou troisième main. Le taux de satisfaction des commandes de produits est inférieur à 50% par rapport aux besoins exprimés, selon 77% des grossistes et près de 23% des détaillants, notamment ceux de l'agroalimentaires, des combustibles et lubrifiants, des machines et matériaux d'équipements. Par ailleurs, ce taux (satisfaction des commandes de produits) se situe entre 25% et 50% pour les autres activités et plus particulièrement les matières premières et demi produits ainsi que les textiles et cuirs. Les professionnels satisfaits de la qualité des produits commercialisés D'une manière générale, la majorité des commerçants grossistes et détaillants sont satisfaits de la qualité et du conditionnement des produits commercialisés sur le marché algérien, selon l'enquête. Pour 91% des grossistes et plus de 66% des détaillants, la qualité des produits commercialisés sur le marché algérien "est bonne", alors que 86% des grossistes ont de bonnes appréciations sur le conditionnement des produits, contrairement à plus de 54% des détaillants qui le jugent moyen. La demande en produits commercialisés a augmenté, selon les grossistes et détaillants. Cette amélioration a concerné le commerce des combustibles et lubrifiants, des textiles, habillement et cuirs, des machines et matériels d'équipement et à un degré moindre les appareils électroménagers. Elle est restée stable selon les commerçants de l'agro-alimentaire et du commerce multiple. Les commerçants touchés par l'enquête relèvent par contre une baisse de prix de vente des produits touchant principalement les matières premières et les demi-produits et celui des appareils électroménagers, alors que le reste des activités marque une stabilité. L'état de la trésorerie est jugé "bon" par plus de 22% des grossistes et de plus de 5% des détaillants, notamment pour l'agro-alimentaires et les combustibles et lubrifiants. Il est jugé "mauvais" par 12% des commerçants grossistes et plus de 68% des détaillants notamment ceux des textiles, habillement et cuirs et des machines et matériels d'équipements. Plus de 83% des grossistes et près de 90% des détaillants ont recouru à des crédits bancaires. Respectivement, près de 62% et 41% des concernés ont déclaré avoir eu des difficultés à les contracter, notamment ceux des machines et matériels d'équipements, des matières premières et demi-produits ainsi que du commerce divers. Malgré une abstention de plus de la moitié des enquêtés, les grossistes prévoient une baisse de leur activité, contrairement aux détaillants qui eux, prévoient une hausse de l'activité et une stabilité de leurs prix de vente. Selon les commerçants grossistes et détaillants enquêtés, durant le 2e trimestre 2013, l'activité commerciale en Algérie a baissé, notamment pour les matières premières et demi produits, textiles, habillement et cuirs, ainsi que pour le commerce divers, mais la baisse reste de moindre ampleur pour les produits de droguerie, quincaillerie, appareils électroménagers et parfumerie DQAEMP, selon l'APS. En revanche, l'activité dans le commerce des combustibles et des lubrifiants et celui des machines et matériels d'équipements a augmenté, alors qu'elle était stable pour le commerce multiple, notent les professionnels touchés par l'enquête qui a concerné 533 entreprises commerciales dont 255 publiques et 278 privées. Toutefois, la plupart des détaillants et certains grossistes se plaignent des délais d'approvisionnement qui sont longs, de l'éloignement et de la dispersion des centres d'approvisionnement, ainsi que de l'indisponibilité de marchandises, en plus de la lourdeur des formalités d'acquisition de la marchandise. A cet effet, plus de 75% des commerçants grossistes et près de 70% des détaillants enquêtés ont déclaré avoir enregistré des ruptures de stocks de produits. La rupture a touché l'ensemble des activités à l'exception des textiles, habillement et chaussures et les produits agro-alimentaires. Près de 45% des grossistes et 85% des détaillants se sont approvisionnés durant le 2e trimestre 2013 auprès du secteur privé uniquement. Les plus concernés sont les textiles, habillement et cuirs et les produits de DQAEMP, les matières premières et demi produits, ainsi que les commerces multiples. L'enquête révèle que les commerçants des combustibles et lubrifiants se sont approvisionnés uniquement auprès du secteur public. Pour les prix d'acquisition des produits, plus de 14% des grossistes enquêtés jugent les prix d'acquisition des produits moins élevés, notamment ceux des combustibles et lubrifiants et des matières premières et demi produits. Cependant, plus de 32% des détaillants estiment que les prix d'acquisition des produits sont plus élevés, notamment ceux de l'agro-alimentaires, des machines et matériaux d'équipements et du commerce multiples. Plus de 95% des grossistes et 45% des détaillants ont acheté leurs marchandises de première main, à l'exception de ceux des "matières premières" et des textiles, habillement et chaussures, ainsi que du commerce multiples qui ont déclaré avoir acheté leur marchandise en deuxième ou troisième main. Le taux de satisfaction des commandes de produits est inférieur à 50% par rapport aux besoins exprimés, selon 77% des grossistes et près de 23% des détaillants, notamment ceux de l'agroalimentaires, des combustibles et lubrifiants, des machines et matériaux d'équipements. Par ailleurs, ce taux (satisfaction des commandes de produits) se situe entre 25% et 50% pour les autres activités et plus particulièrement les matières premières et demi produits ainsi que les textiles et cuirs. Les professionnels satisfaits de la qualité des produits commercialisés D'une manière générale, la majorité des commerçants grossistes et détaillants sont satisfaits de la qualité et du conditionnement des produits commercialisés sur le marché algérien, selon l'enquête. Pour 91% des grossistes et plus de 66% des détaillants, la qualité des produits commercialisés sur le marché algérien "est bonne", alors que 86% des grossistes ont de bonnes appréciations sur le conditionnement des produits, contrairement à plus de 54% des détaillants qui le jugent moyen. La demande en produits commercialisés a augmenté, selon les grossistes et détaillants. Cette amélioration a concerné le commerce des combustibles et lubrifiants, des textiles, habillement et cuirs, des machines et matériels d'équipement et à un degré moindre les appareils électroménagers. Elle est restée stable selon les commerçants de l'agro-alimentaire et du commerce multiple. Les commerçants touchés par l'enquête relèvent par contre une baisse de prix de vente des produits touchant principalement les matières premières et les demi-produits et celui des appareils électroménagers, alors que le reste des activités marque une stabilité. L'état de la trésorerie est jugé "bon" par plus de 22% des grossistes et de plus de 5% des détaillants, notamment pour l'agro-alimentaires et les combustibles et lubrifiants. Il est jugé "mauvais" par 12% des commerçants grossistes et plus de 68% des détaillants notamment ceux des textiles, habillement et cuirs et des machines et matériels d'équipements. Plus de 83% des grossistes et près de 90% des détaillants ont recouru à des crédits bancaires. Respectivement, près de 62% et 41% des concernés ont déclaré avoir eu des difficultés à les contracter, notamment ceux des machines et matériels d'équipements, des matières premières et demi-produits ainsi que du commerce divers. Malgré une abstention de plus de la moitié des enquêtés, les grossistes prévoient une baisse de leur activité, contrairement aux détaillants qui eux, prévoient une hausse de l'activité et une stabilité de leurs prix de vente.