D'intenses efforts sont entrepris dans la commune d'El-Kasdir (Naâma) pour protéger les zones de pacage et lutter contre le phénomène de désertification, a indiqué l'antenne du Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS). D'intenses efforts sont entrepris dans la commune d'El-Kasdir (Naâma) pour protéger les zones de pacage et lutter contre le phénomène de désertification, a indiqué l'antenne du Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS). Ce programme, financé par le HCDS et le fonds de lutte contre la désertification, vise, entre autres objectifs, la protection des zones steppiques et la régénération du couvert végétal sur près de 51.000 hectares dans cette région, à la satisfaction des éleveurs. Cette région contribue à l'approvisionnement du marché national avec une production annuelle de près de 7.000 quintaux de viandes rouges, grâce à sa richesse animalière constituée, notamment, de 290.000 ovins et 3.983 bovins en transhumance sur une zone pastorale de plus de 512.000 hectares. Située à 124 km au nord-ouest du chef-lieu de wilaya de Naâma, cette commune frontalière s'est vue accorder un financement de 12 millions de dinars pour la réalisation d'une série d'opérations allant dans le sens de la lutte contre la désertification et la préservation du couvert végétal. Ces opérations portent sur le développement des cultures fourragères, la lutte contre l'ensablement, la réalisation, au niveau de cinq communes steppiques, la mobilisation de l'eau d'irrigation et l'équipement de puits pastoraux, précise le HCDS. Composée de plusieurs localités enclavées, dont Attig- Mohamed, Abdelmoula, Sidi-Belkacem et Baghdadi-Baghdad, cette commune a également bénéficié d'un ambitieux projet consistant en la plantation d'une superficie de 85 hectares en oliviers, un arbre adapté aux conditions naturelles de la région et un moyen de lutte contre la désertification. Ces actions de lutte contre la désertification interviennent suite à la dégradation des aires pastorales, du fait de l'ensablement qui a touché 20% de la surface de la commune et la vague de sécheresse qui a sévi ces trois dernières décennies ainsi que d'autres facteurs, dont le surpâturage et le déboisement anarchique. Le HCDS estime pour cela nécessaire la mise en place de mécanismes susceptibles de freiner ce phénomène qui a causé une salinisation des sols et de dégradation de l'écosystème de la région. Ce programme, financé par le HCDS et le fonds de lutte contre la désertification, vise, entre autres objectifs, la protection des zones steppiques et la régénération du couvert végétal sur près de 51.000 hectares dans cette région, à la satisfaction des éleveurs. Cette région contribue à l'approvisionnement du marché national avec une production annuelle de près de 7.000 quintaux de viandes rouges, grâce à sa richesse animalière constituée, notamment, de 290.000 ovins et 3.983 bovins en transhumance sur une zone pastorale de plus de 512.000 hectares. Située à 124 km au nord-ouest du chef-lieu de wilaya de Naâma, cette commune frontalière s'est vue accorder un financement de 12 millions de dinars pour la réalisation d'une série d'opérations allant dans le sens de la lutte contre la désertification et la préservation du couvert végétal. Ces opérations portent sur le développement des cultures fourragères, la lutte contre l'ensablement, la réalisation, au niveau de cinq communes steppiques, la mobilisation de l'eau d'irrigation et l'équipement de puits pastoraux, précise le HCDS. Composée de plusieurs localités enclavées, dont Attig- Mohamed, Abdelmoula, Sidi-Belkacem et Baghdadi-Baghdad, cette commune a également bénéficié d'un ambitieux projet consistant en la plantation d'une superficie de 85 hectares en oliviers, un arbre adapté aux conditions naturelles de la région et un moyen de lutte contre la désertification. Ces actions de lutte contre la désertification interviennent suite à la dégradation des aires pastorales, du fait de l'ensablement qui a touché 20% de la surface de la commune et la vague de sécheresse qui a sévi ces trois dernières décennies ainsi que d'autres facteurs, dont le surpâturage et le déboisement anarchique. Le HCDS estime pour cela nécessaire la mise en place de mécanismes susceptibles de freiner ce phénomène qui a causé une salinisation des sols et de dégradation de l'écosystème de la région.