Le président de la République est de retour. Il a en effet regagné Alger avant-hier jeudi. Plus tôt que prévu, puisque ce retour était officiellement annoncé pour vendredi. Le président de la République est de retour. Il a en effet regagné Alger avant-hier jeudi. Plus tôt que prévu, puisque ce retour était officiellement annoncé pour vendredi. Le communiqué de la présidence de la République, de mardi dernier, annonçant la nouvelle hospitalisation , depuis la veille, du chef de l'Etat dans l'hôpital parisien du Val-de-Grâce, a clairement indiqué que ce séjour dans cet établissement hospitalier pour « une visite médicale routinière de contrôle », entamée lundi, « prendra fin le vendredi ». Il est, dès lors, évident que ce retour plus tôt que prévu, intervenu dans le milieu de l'après-midi de jeudi, constitue un sérieux indice quant à l'amélioration de l'état de santé du président Bouteflika. Ce que d'ailleurs n'a pas manqué de mettre en exergue le communiqué de la présidence de la République rendu public dans l'après-midi d'avant-hier jeudi. Les examens et contrôles effectués ayant montré « une nette amélioration de l'état de santé du président Bouteflika, l'équipe médicale a autorisé le chef de l'Etat à rentrer en Algérie 24 heures avant le délai prévu », a en effet indiqué ledit communiqué. Cela met fin en tous cas à toutes les spéculations suscitées par ce nouveau séjour du chef de l'Etat à l'hôpital du Val-de-Grâce. Des spéculations qui portaient notamment sur une prétendue détérioration de l'état de santé du président et qui ont totalement fait l'impasse sur les assurances quant à l'objectif réel de cette nouvelle courte hospitalisation. « Aucune procédure d'urgence n'a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l'institution nationale (française) des Invalides à Paris » a indiqué le communiqué de la présidence de la République du mardi 14 janvier, avant de préciser que l'état général du président de la République s'améliore « sûrement et de façon progressive ». C'est donc effectivement « pour parachever son bilan de santé, initié à Alger », comme indiqué par le même communiqué que le président a séjourné à l'hôpital de Val-de-Grâce. Mais qu'à cela ne tienne, le retour du chef de l'Etat annonce le début effectif du processus devant conduire à la tenue de l'élection présidentielle du mois d'avril prochain. La date officielle de la tenue du scrutin est déjà connue. Ce sera le jeudi17 avril. Le corps électoral est convoqué pour ce jour-là car le président de la République a signé, hier vendredi, le décret portant convocation du corps électoral. Une signature qui intervient donc moins de 24 heures après son retour de France. Maintenant les candidats, les partis politiques ainsi que l'opinion publique sont bel et bien fixés : cette échéance électorale aura bel et bien lieu. A trois mois donc de la date du 17 avril le suspense demeure total sur les ambitions du président par rapport à cette élection alors qu'il n'a jamais laissé transparaître la moindre information sur la question. Va-t-il, oui ou non, être candidat pour un quatrième mandat ? Le président Bouteflika ne devrait pas tarder à lever définitivement le voile sur son intention car le temps qui lui est imparti, conformément à la législation, se rétrécit. Mais la « nette amélioration » de son état de santé suite aux examens et contrôles effectués à l'hôpital du Val-de-Grâce constitue, incontestablement, un sérieux indice qui viendrait donner de l'épaisseur à l'hypothèse de sa probablecandidature pour succéder à lui- même. En somme, de Paris, comme l'avancent d'ores et déjà de nombreux analystes, « le président a ramené un certificat de validité » attestant de sa capacité à assumer la mission de président de la République. Si tel serait le cas, le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, aura eu raison sur toute la ligne. En effet, plus que les autres partisans du quatrième mandat pour le président Bouteflika, Saïdani a été le seul à avoir fait preuve de constance et d'assurance. Il n'a cessé de soutenir mordicus que le président « Bouteflika sera bel et bien candidat à l'élection présidentielle ». Mieux encore, le secrétaire général du FLN, inébranlable dans ses convictions, balaye d'un revers de la main, toutes les autres options. Car pour lui « il n'y aura pas de plan B puisque le président Bouteflika est le seul candidat du FLN ». Le communiqué de la présidence de la République, de mardi dernier, annonçant la nouvelle hospitalisation , depuis la veille, du chef de l'Etat dans l'hôpital parisien du Val-de-Grâce, a clairement indiqué que ce séjour dans cet établissement hospitalier pour « une visite médicale routinière de contrôle », entamée lundi, « prendra fin le vendredi ». Il est, dès lors, évident que ce retour plus tôt que prévu, intervenu dans le milieu de l'après-midi de jeudi, constitue un sérieux indice quant à l'amélioration de l'état de santé du président Bouteflika. Ce que d'ailleurs n'a pas manqué de mettre en exergue le communiqué de la présidence de la République rendu public dans l'après-midi d'avant-hier jeudi. Les examens et contrôles effectués ayant montré « une nette amélioration de l'état de santé du président Bouteflika, l'équipe médicale a autorisé le chef de l'Etat à rentrer en Algérie 24 heures avant le délai prévu », a en effet indiqué ledit communiqué. Cela met fin en tous cas à toutes les spéculations suscitées par ce nouveau séjour du chef de l'Etat à l'hôpital du Val-de-Grâce. Des spéculations qui portaient notamment sur une prétendue détérioration de l'état de santé du président et qui ont totalement fait l'impasse sur les assurances quant à l'objectif réel de cette nouvelle courte hospitalisation. « Aucune procédure d'urgence n'a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l'institution nationale (française) des Invalides à Paris » a indiqué le communiqué de la présidence de la République du mardi 14 janvier, avant de préciser que l'état général du président de la République s'améliore « sûrement et de façon progressive ». C'est donc effectivement « pour parachever son bilan de santé, initié à Alger », comme indiqué par le même communiqué que le président a séjourné à l'hôpital de Val-de-Grâce. Mais qu'à cela ne tienne, le retour du chef de l'Etat annonce le début effectif du processus devant conduire à la tenue de l'élection présidentielle du mois d'avril prochain. La date officielle de la tenue du scrutin est déjà connue. Ce sera le jeudi17 avril. Le corps électoral est convoqué pour ce jour-là car le président de la République a signé, hier vendredi, le décret portant convocation du corps électoral. Une signature qui intervient donc moins de 24 heures après son retour de France. Maintenant les candidats, les partis politiques ainsi que l'opinion publique sont bel et bien fixés : cette échéance électorale aura bel et bien lieu. A trois mois donc de la date du 17 avril le suspense demeure total sur les ambitions du président par rapport à cette élection alors qu'il n'a jamais laissé transparaître la moindre information sur la question. Va-t-il, oui ou non, être candidat pour un quatrième mandat ? Le président Bouteflika ne devrait pas tarder à lever définitivement le voile sur son intention car le temps qui lui est imparti, conformément à la législation, se rétrécit. Mais la « nette amélioration » de son état de santé suite aux examens et contrôles effectués à l'hôpital du Val-de-Grâce constitue, incontestablement, un sérieux indice qui viendrait donner de l'épaisseur à l'hypothèse de sa probablecandidature pour succéder à lui- même. En somme, de Paris, comme l'avancent d'ores et déjà de nombreux analystes, « le président a ramené un certificat de validité » attestant de sa capacité à assumer la mission de président de la République. Si tel serait le cas, le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, aura eu raison sur toute la ligne. En effet, plus que les autres partisans du quatrième mandat pour le président Bouteflika, Saïdani a été le seul à avoir fait preuve de constance et d'assurance. Il n'a cessé de soutenir mordicus que le président « Bouteflika sera bel et bien candidat à l'élection présidentielle ». Mieux encore, le secrétaire général du FLN, inébranlable dans ses convictions, balaye d'un revers de la main, toutes les autres options. Car pour lui « il n'y aura pas de plan B puisque le président Bouteflika est le seul candidat du FLN ».