A la surprise générale le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est de nouveau hospitalisé à l'hôpital du Val-de-Grâce en France. A la surprise générale le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est de nouveau hospitalisé à l'hôpital du Val-de-Grâce en France. Le chef de l'Etat, qui se trouve dans cet hôpital parisien depuis lundi, y séjournera jusqu'à demain vendredi comme annoncé par le communiqué de la présidence de la République et rapporté avant-hier par l'APS. « Aucune procédure d'urgence n'a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l'institution nationale (française) des Invalides à Paris » indique le communiqué en précisant que « c'est pour parachever son bilan de santé initié à Alger, et dans le cadre d'une visite médicale routinière de contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013 » que le président Bouteflika séjourne dans cet établissement hospitalier. Se montrant davantage rassurant sur le caractère ordinaire de cette hospitalisation, le communiqué indique que l'état général du président de la République s'améliore «sûrement» et de «façon progressive». Certes, mais cela n'a pas manqué de susciter des commentaires et des analyses sur les incidences de cette hospitalisation sur la situation politique nationale. Ce d'autant que ce nouveau séjour à l'hôpital du Val-de-Grâce intervient dans un contexte politique très particulier. Il intervient en effet à trois mois des élections présidentielles et à deux ou trois jours seulement de la convocation du corps électoral pour cet important scrutin. En effet, conformément aux délais impartis par le code électoral, la convocation du corps électoral devrait intervenir le 16 où le 17 du mois en cours, soit aujourd'hui jeudi ou demain vendredi. Le président Bouteflika, qui de par ses attributions constitutionnelles est le seul habilité à signer le décret convoquant le corps électoral, sera-t-il au rendez- vous ? Cette brûlante question est sur toutes les lèvres. A en croire le communiqué de la présidence de la République, le chef de l'Etat sera bel et bien au rendez-vous puisque ce contrôle médical routinier s'achèvera le 17 janvier, soit demain vendredi. Auquel cas d'aucuns s'interrogent d'ores et déjà sur la candidature ou non du président Bouteflika à la prochaine élection présidentielle du mois d'avril. Le président Bouteflika, qui n'a jamais levé le voile sur ses intentions, ne devrait plus laisser planer le suspense aussi longtemps. Tout concorde à dire qu'à l'issue de cette « visite médicale routinière de contrôle » il sera certainement et définitivement fixé sur son état de santé. En somme, c'est suite à ce certificat de « validité où «d'invalidité» que le président Bouteflika prendra sa décision définitive. Car la loi est claire à ce sujet. Le candidat à l'élection présidentielle est dans l'obligation de présenter un certificat médical attestant de sa bonne santé. Dans le cas où les résultats du contrôle médical s'avèrent négatifs, cela va constituer un facteur déterminant dans sa décision de ne pas briguer un quatrième mandat, ce qui ouvrirait inéluctablement la voie au début de la course entre les différents candidats qui ambitionnent d'être sur la plus haute marche du pouvoir. Cela dit, certains analystes n'écartent pas l'hypothèse d'un autre long séjour du président Bouteflika dans l'établissement hospitalier parisien. Même minime cette hypothèse est avancée. Dans ce cas là une seule alternative serait envisageable pour résoudre cette équation. La déclaration de l'état d'empêchement, conformément à l'article 88 de la Constitution, serait alors, en effet, inévitable. Le chef de l'Etat, qui se trouve dans cet hôpital parisien depuis lundi, y séjournera jusqu'à demain vendredi comme annoncé par le communiqué de la présidence de la République et rapporté avant-hier par l'APS. « Aucune procédure d'urgence n'a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l'institution nationale (française) des Invalides à Paris » indique le communiqué en précisant que « c'est pour parachever son bilan de santé initié à Alger, et dans le cadre d'une visite médicale routinière de contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013 » que le président Bouteflika séjourne dans cet établissement hospitalier. Se montrant davantage rassurant sur le caractère ordinaire de cette hospitalisation, le communiqué indique que l'état général du président de la République s'améliore «sûrement» et de «façon progressive». Certes, mais cela n'a pas manqué de susciter des commentaires et des analyses sur les incidences de cette hospitalisation sur la situation politique nationale. Ce d'autant que ce nouveau séjour à l'hôpital du Val-de-Grâce intervient dans un contexte politique très particulier. Il intervient en effet à trois mois des élections présidentielles et à deux ou trois jours seulement de la convocation du corps électoral pour cet important scrutin. En effet, conformément aux délais impartis par le code électoral, la convocation du corps électoral devrait intervenir le 16 où le 17 du mois en cours, soit aujourd'hui jeudi ou demain vendredi. Le président Bouteflika, qui de par ses attributions constitutionnelles est le seul habilité à signer le décret convoquant le corps électoral, sera-t-il au rendez- vous ? Cette brûlante question est sur toutes les lèvres. A en croire le communiqué de la présidence de la République, le chef de l'Etat sera bel et bien au rendez-vous puisque ce contrôle médical routinier s'achèvera le 17 janvier, soit demain vendredi. Auquel cas d'aucuns s'interrogent d'ores et déjà sur la candidature ou non du président Bouteflika à la prochaine élection présidentielle du mois d'avril. Le président Bouteflika, qui n'a jamais levé le voile sur ses intentions, ne devrait plus laisser planer le suspense aussi longtemps. Tout concorde à dire qu'à l'issue de cette « visite médicale routinière de contrôle » il sera certainement et définitivement fixé sur son état de santé. En somme, c'est suite à ce certificat de « validité où «d'invalidité» que le président Bouteflika prendra sa décision définitive. Car la loi est claire à ce sujet. Le candidat à l'élection présidentielle est dans l'obligation de présenter un certificat médical attestant de sa bonne santé. Dans le cas où les résultats du contrôle médical s'avèrent négatifs, cela va constituer un facteur déterminant dans sa décision de ne pas briguer un quatrième mandat, ce qui ouvrirait inéluctablement la voie au début de la course entre les différents candidats qui ambitionnent d'être sur la plus haute marche du pouvoir. Cela dit, certains analystes n'écartent pas l'hypothèse d'un autre long séjour du président Bouteflika dans l'établissement hospitalier parisien. Même minime cette hypothèse est avancée. Dans ce cas là une seule alternative serait envisageable pour résoudre cette équation. La déclaration de l'état d'empêchement, conformément à l'article 88 de la Constitution, serait alors, en effet, inévitable.