Le secrétaire général des Nation unies, Ban Ki-moon, se rendra lundi prochain à Montreux, la ville suisse qui accueillera le 22 janvier la Conférence internationale sur la paix en Syrie, dite Genève II, selon l'Onu "Lundi 20 janvier, le secrétaire général quittera New York pour se rendre dans la ville suisse de Montreux où il réunira la conférence de Genève sur la Syrie", indique un communiqué de l'Onu. Le secrétaire général des Nation unies, Ban Ki-moon, se rendra lundi prochain à Montreux, la ville suisse qui accueillera le 22 janvier la Conférence internationale sur la paix en Syrie, dite Genève II, selon l'Onu "Lundi 20 janvier, le secrétaire général quittera New York pour se rendre dans la ville suisse de Montreux où il réunira la conférence de Genève sur la Syrie", indique un communiqué de l'Onu. Selon M. Ban, cette conférence offre une occasion exceptionnelle de mettre un terme aux violences en Syrie. Le chef de l'Onu espère que le règlement du conflit syrien se déroulera conformément au communiqué de Genève du 30 juin 2012 et que les participants à cette conférence créeront un gouvernement de transition reconnu par toutes les parties au conflit. La conférence de paix Genève II vise à trouver une solution politique au conflit syrien qui dure depuis près de trois ans et a fait plus de 130.000 morts, selon une ONG syrienne. Cette réunion doit reprendre les grandes lignes d'un accord international sur une transition politique, signé le 30 juin 2012 mais jamais appliqué. Selon M. Ban, cette conférence offre une occasion exceptionnelle de mettre un terme aux violences en Syrie. Le chef de l'Onu espère que le règlement du conflit syrien se déroulera conformément au communiqué de Genève du 30 juin 2012 et que les participants à cette conférence créeront un gouvernement de transition reconnu par toutes les parties au conflit. La conférence de paix Genève II vise à trouver une solution politique au conflit syrien qui dure depuis près de trois ans et a fait plus de 130.000 morts, selon une ONG syrienne. Cette réunion doit reprendre les grandes lignes d'un accord international sur une transition politique, signé le 30 juin 2012 mais jamais appliqué.