Le conglomérat industriel algérien Cevital, fondé par Issad Rebrab, est, en effet, de loin le candidat le mieux disant pour reprendre le fabricant d'électroménager, connu pour ses marques Vedette, Brandt, Sauter ou encore De Dietrich, et placé en redressement judiciaire en novembre 2013 Le conglomérat industriel algérien Cevital, fondé par Issad Rebrab, est, en effet, de loin le candidat le mieux disant pour reprendre le fabricant d'électroménager, connu pour ses marques Vedette, Brandt, Sauter ou encore De Dietrich, et placé en redressement judiciaire en novembre 2013 C'est ce qu'ont appris les représentants des salariés réunis ce mercredi au siège social de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).Sur les 1.800 salariés de FagorBrandt en France, Cevital prévoit d'en reprendre 1.200. Il garderait les sites d'Orléans, Vendôme, Rueil et Cergy, le fonds de commerce français, les filiales de FagorBrandt au Royaume-Uni, en Suisse et à Singapour, ainsi que des actifs de Fagor à l'étranger, c'est ce qu'a indiqué l'administratrice judiciaire Hélène Bourbouloux. En revanche, il "condamne" les deux sites vendéens de la Roche-sur-Yon et Aizenay, souligne la CFE-CGC. Le projet de Cevital "est de construire un acteur régional de l'électroménager (Europe/Afrique du Nord/Moyen-Orient), en combinant le savoir-faire et l'expertise de FagorBrandt à celui de sa filiale électroménager existante", précise la direction. Issad Rebrab, le fondateur et P-DG de Cevital, a démarré en 1971 en prenant une participation dans une entreprise de construction métallique de quatre employés. Aujourd'hui, le groupe qu'il a constitué en compte près de 13.000. M. Rebrab est, par ailleurs, le premier Algérien entré dans le classement des milliardaires du magazine Forbes. Sa fortune est estimée à 3,2 milliards de dollars (2,4 milliards d'euros). Son groupe est présent dans une dizaine de secteurs, de l'agroalimentaire à la distribution automobile en passant par le verre, la presse, et... l'électroménager. A 69 ans, M. Rebrab n'entend pas en rester là. "Voir grand, commencer petit et aller vite", telle est sa philosophie. Son ambition : passer de 4 milliards de dollars de chiffre d'affaires actuellement à 25 milliards de dollars en 2020. Son programme inclut des acquisitions, notamment en France. C'est ce qu'ont appris les représentants des salariés réunis ce mercredi au siège social de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).Sur les 1.800 salariés de FagorBrandt en France, Cevital prévoit d'en reprendre 1.200. Il garderait les sites d'Orléans, Vendôme, Rueil et Cergy, le fonds de commerce français, les filiales de FagorBrandt au Royaume-Uni, en Suisse et à Singapour, ainsi que des actifs de Fagor à l'étranger, c'est ce qu'a indiqué l'administratrice judiciaire Hélène Bourbouloux. En revanche, il "condamne" les deux sites vendéens de la Roche-sur-Yon et Aizenay, souligne la CFE-CGC. Le projet de Cevital "est de construire un acteur régional de l'électroménager (Europe/Afrique du Nord/Moyen-Orient), en combinant le savoir-faire et l'expertise de FagorBrandt à celui de sa filiale électroménager existante", précise la direction. Issad Rebrab, le fondateur et P-DG de Cevital, a démarré en 1971 en prenant une participation dans une entreprise de construction métallique de quatre employés. Aujourd'hui, le groupe qu'il a constitué en compte près de 13.000. M. Rebrab est, par ailleurs, le premier Algérien entré dans le classement des milliardaires du magazine Forbes. Sa fortune est estimée à 3,2 milliards de dollars (2,4 milliards d'euros). Son groupe est présent dans une dizaine de secteurs, de l'agroalimentaire à la distribution automobile en passant par le verre, la presse, et... l'électroménager. A 69 ans, M. Rebrab n'entend pas en rester là. "Voir grand, commencer petit et aller vite", telle est sa philosophie. Son ambition : passer de 4 milliards de dollars de chiffre d'affaires actuellement à 25 milliards de dollars en 2020. Son programme inclut des acquisitions, notamment en France.