L'Orchestre symphonique national (OSN) a entamé sa feuille de route de la nouvelle année 2014 samedi dernier à l'auditorium de la Radio nationale par un concert, avec le chanteur Samir Toumi, dirigé par le maestro Rachid Saouli. L'Orchestre symphonique national (OSN) a entamé sa feuille de route de la nouvelle année 2014 samedi dernier à l'auditorium de la Radio nationale par un concert, avec le chanteur Samir Toumi, dirigé par le maestro Rachid Saouli. Convaincu que le pouvoir de la musique classique réside essentiellement dans sa capacité à unir les traditions du passé et les rêves du futur, tout en enchantant le public grâce à des moments forts en émotion, l'Orchestre symphonique national, fidèle à ce principe, propose un programme très riche et varié, qui consiste à donner d'abord le ton avec des pièces composées par de grands noms de la musique symphonique, telles que Ruslan et Ludmila et La valse fantaisie de M. I Glinka, le 1er mouvement de l'Inachevée de F. Schubert, Barcarole des contes d'Hoffman de J. Offenback, Adagio de T. Albinoni et La marche de Radelski de J. Strauss, ensuite, l'assistance de l'auditorium Aïssa- Messaoudi a pu apprécier, dans un retour aux sources, la voix limpide de Samir Toumi interprétant des chansons du patrimoine algérien et andalou dont Rit El Riadh, Rim Ramatni, Taht El Yasamine, Lamouni Li Gharou Menni, Welfi ya Malek et Achqi wa Gh'rami. Manel Gherbi, invitée à chanter avec Samir Toumi Ya Chems, a brillé de maîtrise et de savoir- faire, face à un public qui a eu du répondant, applaudissant chaleureusement les duettistes et l'ensemble des instrumentistes qui ont su allier le lyrisme des mots à la pureté des sonorités dans l'intense plaisir des sens. "C'est une très belle expérience que de se faire accompagner par un orchestre symphonique, notre musique recèle d'innombrables richesses tant sur le plan harmonique que rythmique, ses mélodies s'ouvrent sur des distributions musicales intelligentes et très recherchées", a déclaré Samir Toumi. Lors de la deuxième partie du récital, donnant des sonorités autochtones, la mandole, le banjo, la derbouka et le tar ont renforcé l'OSN, composé d'une soixantaine de musiciens, à l'œuvre d'un récital plein par un choix de programme judicieux et une bonne qualité d'interprétation. Pour son directeur, Abdelkader Bouazara, ces concerts "s'inscrivent dans la continuité et l'ambition de renforcer la connaissance et l'intérêt porté par nos concitoyens à la musique universelle, ils représentent, aussi, une occasion de vulgariser cet art dans la vie culturelle de nos citoyens". Mieux, cet art savant est élargi à notre patrimoine musical. L'ambition est de pouvoir transformer nos chants traditionnels sous forme de musique symphonique. Ecrits sur partitions et joués par de grands orchestres, ces chants traditionnels acquièrent leur statut d'universel. Le directeur de l'OSN, nous a aussi confié "la programmation, le 13 février, du prochain concert de l'OSN sous la direction du chef d'orchestre français, Thomas Dubienko, accompagné au violon par son compatriote, le soliste Alain Arias". Convaincu que le pouvoir de la musique classique réside essentiellement dans sa capacité à unir les traditions du passé et les rêves du futur, tout en enchantant le public grâce à des moments forts en émotion, l'Orchestre symphonique national, fidèle à ce principe, propose un programme très riche et varié, qui consiste à donner d'abord le ton avec des pièces composées par de grands noms de la musique symphonique, telles que Ruslan et Ludmila et La valse fantaisie de M. I Glinka, le 1er mouvement de l'Inachevée de F. Schubert, Barcarole des contes d'Hoffman de J. Offenback, Adagio de T. Albinoni et La marche de Radelski de J. Strauss, ensuite, l'assistance de l'auditorium Aïssa- Messaoudi a pu apprécier, dans un retour aux sources, la voix limpide de Samir Toumi interprétant des chansons du patrimoine algérien et andalou dont Rit El Riadh, Rim Ramatni, Taht El Yasamine, Lamouni Li Gharou Menni, Welfi ya Malek et Achqi wa Gh'rami. Manel Gherbi, invitée à chanter avec Samir Toumi Ya Chems, a brillé de maîtrise et de savoir- faire, face à un public qui a eu du répondant, applaudissant chaleureusement les duettistes et l'ensemble des instrumentistes qui ont su allier le lyrisme des mots à la pureté des sonorités dans l'intense plaisir des sens. "C'est une très belle expérience que de se faire accompagner par un orchestre symphonique, notre musique recèle d'innombrables richesses tant sur le plan harmonique que rythmique, ses mélodies s'ouvrent sur des distributions musicales intelligentes et très recherchées", a déclaré Samir Toumi. Lors de la deuxième partie du récital, donnant des sonorités autochtones, la mandole, le banjo, la derbouka et le tar ont renforcé l'OSN, composé d'une soixantaine de musiciens, à l'œuvre d'un récital plein par un choix de programme judicieux et une bonne qualité d'interprétation. Pour son directeur, Abdelkader Bouazara, ces concerts "s'inscrivent dans la continuité et l'ambition de renforcer la connaissance et l'intérêt porté par nos concitoyens à la musique universelle, ils représentent, aussi, une occasion de vulgariser cet art dans la vie culturelle de nos citoyens". Mieux, cet art savant est élargi à notre patrimoine musical. L'ambition est de pouvoir transformer nos chants traditionnels sous forme de musique symphonique. Ecrits sur partitions et joués par de grands orchestres, ces chants traditionnels acquièrent leur statut d'universel. Le directeur de l'OSN, nous a aussi confié "la programmation, le 13 février, du prochain concert de l'OSN sous la direction du chef d'orchestre français, Thomas Dubienko, accompagné au violon par son compatriote, le soliste Alain Arias".