Le problème de la circulation automobile et les encombrements engendrés vont être soumis à un conseil de gouvernement. Des mesures urgentes seront annoncées. Le ministre des Transports, Amar Ghoul, a confirmé que cette réunion va débattre des solutions qui seront prises pour décongestionner la capitale. Le problème de la circulation automobile et les encombrements engendrés vont être soumis à un conseil de gouvernement. Des mesures urgentes seront annoncées. Le ministre des Transports, Amar Ghoul, a confirmé que cette réunion va débattre des solutions qui seront prises pour décongestionner la capitale. Avec un nombre impressionnant de véhicules qui circulent à Alger, les embouteillages sont devenus intolérables. Il y aurait selon des statistiques près de 1 million d'automobiles qui circulent à Alger et plusieurs milliers qui empruntent les voies menant de la périphérie vers le centre-ville. Une situation qui se traduit par des embouteillages créant des points noirs dans presque toutes les voies de déplacement. Malgré les nouvelles infrastructures (ponts, pénétrantes, routes d'évitement, chaussées élargies) qui ont été opérationnelles depuis une dizaine d'années, les voies restent toujours saturées pour la circulation. Avec la particularité de la multiplication des points d'accès des rocades Sud et Est de l'entrée de la capitale. Pour prévenir contre les désordres, les services de sécurité (DGSN et Gendarmerie nationale) ont multiplié des points de contrôles pour réguler les bouchons devenus insupportables à la longue. Quels que soient les tronçons, les files de voitures se suivent et avancent à pas de tortue malgré les dispositifs visant à rendre fluides certains axes routiers. Dans une intervention récente à l'APN, le ministre des Transports a déploré que les infrastructures routières à Alger ne soient plus en mesure d'accueillir le nombre de plus en plus important de véhicules. 70 à 75% des véhicules qui accèdent à la capitale ne transportent qu'un seul passager tandis que 400.000 voitures sont utilisées quotidiennement pour "des motifs injustifiés". Il y a également l'autre problème qui est celui du déplacement abondant des camions dont le ministère signale qu'il existe 1000 véhicules de poids lourds qui entrent quotidiennement au port d'Alger. Face à un tel «chaos», il devient urgent selon Amar Ghoul de trouver des solutions pour y remédier. «Un conseil interministériel se tiendra prochainement et adoptera des mesures d'urgence et d'autres à mettre en œuvre sur les long et moyen termes pour régler le problème». L'un des aspects majeurs qui va entrer en jeu est la «réorganisation des transports en commun (transport ferroviaire, métro, tramway, téléphérique)». Seconde mesure est celle de « réguler les horaires de déplacement et de corriger tous les points noirs ». Des automobilistes suggèrent de supprimer des barrages de police dans certains endroits à l'image de celui qui est placé dans la cité des Bananiers, paralysant pendant des heures la circulation. Même si l'une des mesures a été prise il y a quelques années pour interdire la circulation des voitures d'occasion, il reste que d'autres démarches seront adoptées prochainement. Il s'agit d'accélérer la réalisation de l'extension de la ligne de métro et tramway dans plusieurs villes et la voix ferrée Birtouta-Zeralda, les téléphériques Oued Koriche-Bouzaréah, Bab-El-Oued-Zeghara, la réalisation de 7 parkings dans les banlieues d'Alger et la mise en place d'une signalisation routière lumineuse au niveau de 500 points à Alger. Avec un nombre impressionnant de véhicules qui circulent à Alger, les embouteillages sont devenus intolérables. Il y aurait selon des statistiques près de 1 million d'automobiles qui circulent à Alger et plusieurs milliers qui empruntent les voies menant de la périphérie vers le centre-ville. Une situation qui se traduit par des embouteillages créant des points noirs dans presque toutes les voies de déplacement. Malgré les nouvelles infrastructures (ponts, pénétrantes, routes d'évitement, chaussées élargies) qui ont été opérationnelles depuis une dizaine d'années, les voies restent toujours saturées pour la circulation. Avec la particularité de la multiplication des points d'accès des rocades Sud et Est de l'entrée de la capitale. Pour prévenir contre les désordres, les services de sécurité (DGSN et Gendarmerie nationale) ont multiplié des points de contrôles pour réguler les bouchons devenus insupportables à la longue. Quels que soient les tronçons, les files de voitures se suivent et avancent à pas de tortue malgré les dispositifs visant à rendre fluides certains axes routiers. Dans une intervention récente à l'APN, le ministre des Transports a déploré que les infrastructures routières à Alger ne soient plus en mesure d'accueillir le nombre de plus en plus important de véhicules. 70 à 75% des véhicules qui accèdent à la capitale ne transportent qu'un seul passager tandis que 400.000 voitures sont utilisées quotidiennement pour "des motifs injustifiés". Il y a également l'autre problème qui est celui du déplacement abondant des camions dont le ministère signale qu'il existe 1000 véhicules de poids lourds qui entrent quotidiennement au port d'Alger. Face à un tel «chaos», il devient urgent selon Amar Ghoul de trouver des solutions pour y remédier. «Un conseil interministériel se tiendra prochainement et adoptera des mesures d'urgence et d'autres à mettre en œuvre sur les long et moyen termes pour régler le problème». L'un des aspects majeurs qui va entrer en jeu est la «réorganisation des transports en commun (transport ferroviaire, métro, tramway, téléphérique)». Seconde mesure est celle de « réguler les horaires de déplacement et de corriger tous les points noirs ». Des automobilistes suggèrent de supprimer des barrages de police dans certains endroits à l'image de celui qui est placé dans la cité des Bananiers, paralysant pendant des heures la circulation. Même si l'une des mesures a été prise il y a quelques années pour interdire la circulation des voitures d'occasion, il reste que d'autres démarches seront adoptées prochainement. Il s'agit d'accélérer la réalisation de l'extension de la ligne de métro et tramway dans plusieurs villes et la voix ferrée Birtouta-Zeralda, les téléphériques Oued Koriche-Bouzaréah, Bab-El-Oued-Zeghara, la réalisation de 7 parkings dans les banlieues d'Alger et la mise en place d'une signalisation routière lumineuse au niveau de 500 points à Alger.