Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme (HCDH) a condamné vendredi les violences commises à l'encontre des journalistes en Egypte, rapportaient, hier, des médias. Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme (HCDH) a condamné vendredi les violences commises à l'encontre des journalistes en Egypte, rapportaient, hier, des médias. "Au cours des derniers mois, nous avons reçu de nombreuses informations concernant le harcèlement, la détention et la persécution des journalistes égyptiens et internationaux ainsi que des attaques violentes qui ont blessé des journalistes tentant de couvrir le troisième anniversaire de la révolution égyptienne, qui a eu lieu le week-end dernier", a fait savoir le porte-parole du HCDH, Rupert Colville, lors d'une conférence de presse à Genève. "Selon des informations non confirmées, plusieurs journalistes ont été blessés par balles réelles et avec des balles recouvertes de caoutchouc samedi dernier, tirés aussi bien par des opposants au gouvernement que par les forces de sécurité. Cela accentue davantage la situation dangereuse dans laquelle se trouvent les journalistes qui travaillent dans le pays", a-t-il déploré. "Nous exhortons les autorités égyptiennes à libérer immédiatement les journalistes détenus qui ne faisaient rien d'autre que leur travail légitime d'informer sur ce qui se passe", de manière à assurer la liberté d'expression, a-t-il souligné. "Au cours des derniers mois, nous avons reçu de nombreuses informations concernant le harcèlement, la détention et la persécution des journalistes égyptiens et internationaux ainsi que des attaques violentes qui ont blessé des journalistes tentant de couvrir le troisième anniversaire de la révolution égyptienne, qui a eu lieu le week-end dernier", a fait savoir le porte-parole du HCDH, Rupert Colville, lors d'une conférence de presse à Genève. "Selon des informations non confirmées, plusieurs journalistes ont été blessés par balles réelles et avec des balles recouvertes de caoutchouc samedi dernier, tirés aussi bien par des opposants au gouvernement que par les forces de sécurité. Cela accentue davantage la situation dangereuse dans laquelle se trouvent les journalistes qui travaillent dans le pays", a-t-il déploré. "Nous exhortons les autorités égyptiennes à libérer immédiatement les journalistes détenus qui ne faisaient rien d'autre que leur travail légitime d'informer sur ce qui se passe", de manière à assurer la liberté d'expression, a-t-il souligné.