Contrairement à ce qui a été rapporté par les médias le président de laRépublique, Abdelaziz Bouteflika, n'a pas encore retiré les formulaires de souscription à la candidature pour l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Contrairement à ce qui a été rapporté par les médias le président de laRépublique, Abdelaziz Bouteflika, n'a pas encore retiré les formulaires de souscription à la candidature pour l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Cette information n'a pas été confirmée ni par le Premier ministre, Abdemalek Sellal, ni par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, hier, en marge de la clôture de la session d'automne du Parlement. Ainsi si le Premier ministre est resté évasif ; ce n'était pas le cas du ministre de l'Intérieur qui a été on ne peut plus clair lorsque la question lui a été posée par les journalistes. Tayeb Belaïz a en effet totalement infirmé cette information. «S on Excellence le président de la République n'a présenté aucune lettre au ministre de l'Intérieur souhaitant à travers elle être candidat à l'élection présidentielle », a indiqué Belaïz. Une réponse qui sonne comme un démenti aux informations selon lesquelles le chef de l'Etat a d'ores et déjà retiré, par le biais d'une personne dûment mandatée à cette fin, les formulaires de souscription de candidature auprès du ministère de l'Intérieur. Une information qui a pris beaucoup d'épaisseur lorsque le président du parti Tajamoua Amal El-Djazair (TAJ), Amar Ghoul, l'a implicitement confirmée. « Nous avons dépassé le stade de la candidature pour passer à celle de la collecte des signatures au profit du Président Bouteflika » a, en effet déclaré Ghoul avant-hier en marge d'une rencontre ayant regroupé 26 partis politiques qui ont crée un groupe politique dénommé « le groupe de la loyauté et de la stabilité ». Un groupe qui fait du soutien à un quatrième mandat pour le président Bouteflika son leitmotiv. Le comble c'est que Amar Ghoul n'a pas reculé d'un iota. Hier, en effet, il a persisté et signé. « Nous sommes passés de la phase de candidature à celle de la collecte des signatures au profit du président Bouteflika », a-t-il martelé hier, en marge de la clôture de la session d'automne du Parlement. Il était juste à quelques mètres du ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaïz, qui, lui, soutenait le contraire. Entre ces deux sons de cloche discordants le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est lui resté sur la réserve ne laissant rien transparaître. Interpellé sur la même question Sellal est resté évasif se limitant juste à dire qu'« il reste encore du temps pour les candidats ». Le Premier ministre n'a pas tort puisque les candidats à la candidature ont jusqu'au 4 mars prochain pour déposer leurs dossiers auprès de l'institution habilitée, à savoir le Conseil constitutionnel. Mais même s'il est resté évasif, ne voulant ni confirmer les propos de Tayeb Belaïz, ni infirmer ceux de Amar Ghoul, Abdelmalek Sellal n'en a pas moins fait clairement fait montre de sa préférence pour la continuité, c'est à dire pour un quatrième mandat pour le président Bouteflika. « L'Algérie a besoin de stabilité et les Algériens cherchent la stabilité et connaissent bien leurs intérêts», a notamment déclaré Sellal ajoutant que «nous préparons l'élection présidentielle dans le calme et la transparence ». Le Premier ministre a quelque peu égratigné les partis qui ont appelé au boycott de l'élection présidentielle s en estimant que « les Algériens connaissent bien leurs intérêts ». Cette information n'a pas été confirmée ni par le Premier ministre, Abdemalek Sellal, ni par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, hier, en marge de la clôture de la session d'automne du Parlement. Ainsi si le Premier ministre est resté évasif ; ce n'était pas le cas du ministre de l'Intérieur qui a été on ne peut plus clair lorsque la question lui a été posée par les journalistes. Tayeb Belaïz a en effet totalement infirmé cette information. «S on Excellence le président de la République n'a présenté aucune lettre au ministre de l'Intérieur souhaitant à travers elle être candidat à l'élection présidentielle », a indiqué Belaïz. Une réponse qui sonne comme un démenti aux informations selon lesquelles le chef de l'Etat a d'ores et déjà retiré, par le biais d'une personne dûment mandatée à cette fin, les formulaires de souscription de candidature auprès du ministère de l'Intérieur. Une information qui a pris beaucoup d'épaisseur lorsque le président du parti Tajamoua Amal El-Djazair (TAJ), Amar Ghoul, l'a implicitement confirmée. « Nous avons dépassé le stade de la candidature pour passer à celle de la collecte des signatures au profit du Président Bouteflika » a, en effet déclaré Ghoul avant-hier en marge d'une rencontre ayant regroupé 26 partis politiques qui ont crée un groupe politique dénommé « le groupe de la loyauté et de la stabilité ». Un groupe qui fait du soutien à un quatrième mandat pour le président Bouteflika son leitmotiv. Le comble c'est que Amar Ghoul n'a pas reculé d'un iota. Hier, en effet, il a persisté et signé. « Nous sommes passés de la phase de candidature à celle de la collecte des signatures au profit du président Bouteflika », a-t-il martelé hier, en marge de la clôture de la session d'automne du Parlement. Il était juste à quelques mètres du ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaïz, qui, lui, soutenait le contraire. Entre ces deux sons de cloche discordants le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est lui resté sur la réserve ne laissant rien transparaître. Interpellé sur la même question Sellal est resté évasif se limitant juste à dire qu'« il reste encore du temps pour les candidats ». Le Premier ministre n'a pas tort puisque les candidats à la candidature ont jusqu'au 4 mars prochain pour déposer leurs dossiers auprès de l'institution habilitée, à savoir le Conseil constitutionnel. Mais même s'il est resté évasif, ne voulant ni confirmer les propos de Tayeb Belaïz, ni infirmer ceux de Amar Ghoul, Abdelmalek Sellal n'en a pas moins fait clairement fait montre de sa préférence pour la continuité, c'est à dire pour un quatrième mandat pour le président Bouteflika. « L'Algérie a besoin de stabilité et les Algériens cherchent la stabilité et connaissent bien leurs intérêts», a notamment déclaré Sellal ajoutant que «nous préparons l'élection présidentielle dans le calme et la transparence ». Le Premier ministre a quelque peu égratigné les partis qui ont appelé au boycott de l'élection présidentielle s en estimant que « les Algériens connaissent bien leurs intérêts ».