Avec l'entame du mois de février, les choses sérieuses semblent bel et bien avoir déjà commencé. Il est vrai que deux mois et demi seulement nous séparent de la date du 17 avril. Autant dire que tous les acteurs de la scène nationale sont aux ultimes préparatifs avant d'entamer le dernier virage, celui de la campagne électorale, avant le jour «J». Avec l'entame du mois de février, les choses sérieuses semblent bel et bien avoir déjà commencé. Il est vrai que deux mois et demi seulement nous séparent de la date du 17 avril. Autant dire que tous les acteurs de la scène nationale sont aux ultimes préparatifs avant d'entamer le dernier virage, celui de la campagne électorale, avant le jour «J». Les choses devraient aller s'accélérant dans les prochains jours avec, notamment, l'annonce officielle de la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour laquelle le décor semble planté. Il n' y a qu'à voir, en effet, la fièvre qui s'est emparée des partisans d'un quatrième mandat pour le président de la République, pour s'en rendre compte. Les partis autant que les associations, plus que jamais certains de la candidature du chef de l'Etat, sont passés à une nouvelle phase. Le FLN, le RND, le parti TAJ, le MPA l'UGTA, l'UNFA et bien d'autres partis politiques encore ainsi que des organisations satellites ont décrété l'alerte générale ou plutôt la mobilisation générale de leurs troupes en perspective de la collecte des signatures d'abord au profit de leur candidat favori et de la campagne électorale par la suite. Le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, indique que son parti est déjà prêt pour la campagne électorale en faveur du candidat du parti, Abdelaziz Bouteflika qui est « le garant de la stabilité du pays ». Le secrétaire général du FLN a réuni avant-hier le bureau politique pour, justement, entamer les préparatifs de la campagne électorale. Mieux, Saadani a déclaré à la presse que son parti a déjà entamé la collecte des signatures pour le candidat Bouteflika. Le parti TAJ en a fait de même puisque, selon son président, Amar Ghoul, «nous en sommes à la phase de collecte de signatures pour Bouteflika». Cette collecte des signatures est très intriguante dans la mesure où le ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaïz, a indiqué clairement « Bouteflika n'a présenté aucune demande de candidature ». Qui dit vrai ? En outre, le bureau politique du FLN a passé en revue les sorties effectuées par ses membres dans 40 wilayas du pays où ils ont procédé à la mise en place des commissions électorales de wilayas. Le RND n'est pas en reste puisque son secrétariat national s'est réuni avant-hier afin d'élaborer le plan de la campagne électorale pour la présidentielle. De l'autre côté, c'est-à-dire dans le camp de l'opposition, les appels au boycott du scrutin du 17 avril se multiplient.Le parti de Abdelkader Merbah vient ainsi de rejoindre le RCD et le MSP et la liste est encore ouverte puisque il est certain que d'autres partis politiques vont leur emboîter le pas. Ces partis considèrent que les conditions d'une élection libre et transparente ne sont pas réunies. Ils promettent donc de mener campagne contre la participation au rendez-vous du 17 avril. Le candidat à la candidature, Sofiane Djilali, président du parti Jil Djadid, est d'ores et déjà dans tous ses états.Cet opposant notoire à un quatrième mandat pour Bouteflika a, en effet, déjà saisi la commission de supervision des élections présidentielles. Il accuse les ministres Amar Ghoul et Amara Benyounes d'utiliser les moyens de l'Etat pour faire campagne en faveur de leur favori, le président Bouteflika. L'ancien ministre de la Communication, Abdelaziz Rahabi, vient de son côté de rendre publique sa position. Sans surprise aucune, il déclare son soutien au candidat Ali Benflis. Ce dernier s'est quelque peu éclipsé de la scène après avoir annoncé, le 19 janvier dernier, sa candidature officielle à l'élection présidentielle. Au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'échéance électorale il est évident que la situation ira en se clarifiant. Les choses devraient aller s'accélérant dans les prochains jours avec, notamment, l'annonce officielle de la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour laquelle le décor semble planté. Il n' y a qu'à voir, en effet, la fièvre qui s'est emparée des partisans d'un quatrième mandat pour le président de la République, pour s'en rendre compte. Les partis autant que les associations, plus que jamais certains de la candidature du chef de l'Etat, sont passés à une nouvelle phase. Le FLN, le RND, le parti TAJ, le MPA l'UGTA, l'UNFA et bien d'autres partis politiques encore ainsi que des organisations satellites ont décrété l'alerte générale ou plutôt la mobilisation générale de leurs troupes en perspective de la collecte des signatures d'abord au profit de leur candidat favori et de la campagne électorale par la suite. Le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, indique que son parti est déjà prêt pour la campagne électorale en faveur du candidat du parti, Abdelaziz Bouteflika qui est « le garant de la stabilité du pays ». Le secrétaire général du FLN a réuni avant-hier le bureau politique pour, justement, entamer les préparatifs de la campagne électorale. Mieux, Saadani a déclaré à la presse que son parti a déjà entamé la collecte des signatures pour le candidat Bouteflika. Le parti TAJ en a fait de même puisque, selon son président, Amar Ghoul, «nous en sommes à la phase de collecte de signatures pour Bouteflika». Cette collecte des signatures est très intriguante dans la mesure où le ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaïz, a indiqué clairement « Bouteflika n'a présenté aucune demande de candidature ». Qui dit vrai ? En outre, le bureau politique du FLN a passé en revue les sorties effectuées par ses membres dans 40 wilayas du pays où ils ont procédé à la mise en place des commissions électorales de wilayas. Le RND n'est pas en reste puisque son secrétariat national s'est réuni avant-hier afin d'élaborer le plan de la campagne électorale pour la présidentielle. De l'autre côté, c'est-à-dire dans le camp de l'opposition, les appels au boycott du scrutin du 17 avril se multiplient.Le parti de Abdelkader Merbah vient ainsi de rejoindre le RCD et le MSP et la liste est encore ouverte puisque il est certain que d'autres partis politiques vont leur emboîter le pas. Ces partis considèrent que les conditions d'une élection libre et transparente ne sont pas réunies. Ils promettent donc de mener campagne contre la participation au rendez-vous du 17 avril. Le candidat à la candidature, Sofiane Djilali, président du parti Jil Djadid, est d'ores et déjà dans tous ses états.Cet opposant notoire à un quatrième mandat pour Bouteflika a, en effet, déjà saisi la commission de supervision des élections présidentielles. Il accuse les ministres Amar Ghoul et Amara Benyounes d'utiliser les moyens de l'Etat pour faire campagne en faveur de leur favori, le président Bouteflika. L'ancien ministre de la Communication, Abdelaziz Rahabi, vient de son côté de rendre publique sa position. Sans surprise aucune, il déclare son soutien au candidat Ali Benflis. Ce dernier s'est quelque peu éclipsé de la scène après avoir annoncé, le 19 janvier dernier, sa candidature officielle à l'élection présidentielle. Au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'échéance électorale il est évident que la situation ira en se clarifiant.