Le commandant en chef de l'armée égyptienne, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi, a annoncé qu'il sera candidat lors de l'élection présidentielle prévue en avril en Egypte, dans un entretien publié jeudi par un journal koweïtien. Le commandant en chef de l'armée égyptienne, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi, a annoncé qu'il sera candidat lors de l'élection présidentielle prévue en avril en Egypte, dans un entretien publié jeudi par un journal koweïtien. "Je n'ai pas d'autre choix que de répondre à l'appel du peuple égyptien", déclare le général Sissi dans cette interview publiée par le quotidien koweïtien Al-Seyassah. "L'appel (du peuple) a été entendu partout et je ne le rejetterai pas", affirme-t-il, ajoutant vouloir solliciter la confiance du peuple à travers une élection libre. L'armée a demandé la semaine dernière au maréchal Sissi, 59 ans, de se présenter à la présidentielle prévue dans les trois mois. Abdel Fattah al-Sissi, qui avait déposé et fait arrêté le 3 juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi, élu démocratiquement, devrait prochainement démissionner de ses fonctions de chef de l'armée avant de devenir officiellement candidat à la présidence de la République. L'armée intervient Le nouvel homme fort de l'Egypte répète depuis lors avoir déposé Morsi pour répondre aux demandes de millions de manifestants ayant réclamé le départ de ce président qu'ils accusaient de vouloir islamiser à marche forcée la société égyptienne. Dans la foulée, l'armée égyptienne a affirmé que les propos du maréchal Abdel Fattah al-Sissi avaient été mal "interprétés" et que l'homme réserverait l'annonce de sa candidature éventuelle au seul "peuple égyptien". Son communiqué ne dément, toutefois, pas la candidature de al-Sissi. "Je n'ai pas d'autre choix que de répondre à l'appel du peuple égyptien", déclare le général Sissi dans cette interview publiée par le quotidien koweïtien Al-Seyassah. "L'appel (du peuple) a été entendu partout et je ne le rejetterai pas", affirme-t-il, ajoutant vouloir solliciter la confiance du peuple à travers une élection libre. L'armée a demandé la semaine dernière au maréchal Sissi, 59 ans, de se présenter à la présidentielle prévue dans les trois mois. Abdel Fattah al-Sissi, qui avait déposé et fait arrêté le 3 juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi, élu démocratiquement, devrait prochainement démissionner de ses fonctions de chef de l'armée avant de devenir officiellement candidat à la présidence de la République. L'armée intervient Le nouvel homme fort de l'Egypte répète depuis lors avoir déposé Morsi pour répondre aux demandes de millions de manifestants ayant réclamé le départ de ce président qu'ils accusaient de vouloir islamiser à marche forcée la société égyptienne. Dans la foulée, l'armée égyptienne a affirmé que les propos du maréchal Abdel Fattah al-Sissi avaient été mal "interprétés" et que l'homme réserverait l'annonce de sa candidature éventuelle au seul "peuple égyptien". Son communiqué ne dément, toutefois, pas la candidature de al-Sissi.