La conférence africaine sur l'économie verte se tiendra à Oran les 22 et 23 février et sera sanctionnée par des propositions et des recommandations en vue de favoriser la transition vers une économie plus respectueuse de l'environnement, a-t-on appris vendredi auprès du ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. La conférence africaine sur l'économie verte se tiendra à Oran les 22 et 23 février et sera sanctionnée par des propositions et des recommandations en vue de favoriser la transition vers une économie plus respectueuse de l'environnement, a-t-on appris vendredi auprès du ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. Cette conférence ministérielle, qui se tiendra en présence de Abdelmalek Sellal, "constitue une opportunité pour faire des propositions et des recommandations à même de favoriser la transition vers une économie verte basée sur les priorités nationales du développement durable", explique le ministère dans une note de présentation de la rencontre. L'objectif de cette démarche est d'identifier les axes de coopération internationale et régionale, y compris Sud-Sud et intra-africaine, d'échanger les pratiques et expériences réussies et évaluer les besoins du continent en termes d'apport financier, technologique et de formation de la ressource humaine. La même source indique aussi que "l'économie verte constitue l'une des voies à la réalisation du développement durable avec ses trois dimensions économique, environnementale et sociale" axée, entre autres, sur les priorités nationales en matière de santé, d'éducation, d'accès au logement et à l'eau potable. Les pays africains, souligne-t-on, "disposent d'un fort potentiel de croissance économique reposant sur l'abondance de ses ressources naturelles et humaines mais qu'ils font face à des besoins immenses en matière d'infrastructures et de services socio-économiques. Leurs partenaires du Nord se doivent d'honorer leurs engagements en matière de financement et de transfert de technologie et d'expertise". La réduction des émissions de gaz à effet de serre ne doit pas pénaliser le développement du continent et nécessite un apport substantiel en financement, en transfert de technologies et en renforcement des capacités. Le document du ministère avertit qu'en "l'absence de mesures urgentes et efficaces, l'Afrique perdrait une partie importante de ses terres arables à l'horizon 2025. (...) Des mesures efficaces doivent être prises pour lutter contre la désertification, la dégradation des terres et les effets de la sécheresse". Il est prévu une allocution de la ministre de l'Aménagement du territoire, Dalila Boudjemaâ, celle d'un haut responsable de l'Union africaine et enfin Achim Steiner, directeur exécutif du Plan des Nations unies pour l'environnement aux côtés d' Arnold Schwarzenegger, président d'honneur du R20. Cette conférence ministérielle, qui se tiendra en présence de Abdelmalek Sellal, "constitue une opportunité pour faire des propositions et des recommandations à même de favoriser la transition vers une économie verte basée sur les priorités nationales du développement durable", explique le ministère dans une note de présentation de la rencontre. L'objectif de cette démarche est d'identifier les axes de coopération internationale et régionale, y compris Sud-Sud et intra-africaine, d'échanger les pratiques et expériences réussies et évaluer les besoins du continent en termes d'apport financier, technologique et de formation de la ressource humaine. La même source indique aussi que "l'économie verte constitue l'une des voies à la réalisation du développement durable avec ses trois dimensions économique, environnementale et sociale" axée, entre autres, sur les priorités nationales en matière de santé, d'éducation, d'accès au logement et à l'eau potable. Les pays africains, souligne-t-on, "disposent d'un fort potentiel de croissance économique reposant sur l'abondance de ses ressources naturelles et humaines mais qu'ils font face à des besoins immenses en matière d'infrastructures et de services socio-économiques. Leurs partenaires du Nord se doivent d'honorer leurs engagements en matière de financement et de transfert de technologie et d'expertise". La réduction des émissions de gaz à effet de serre ne doit pas pénaliser le développement du continent et nécessite un apport substantiel en financement, en transfert de technologies et en renforcement des capacités. Le document du ministère avertit qu'en "l'absence de mesures urgentes et efficaces, l'Afrique perdrait une partie importante de ses terres arables à l'horizon 2025. (...) Des mesures efficaces doivent être prises pour lutter contre la désertification, la dégradation des terres et les effets de la sécheresse". Il est prévu une allocution de la ministre de l'Aménagement du territoire, Dalila Boudjemaâ, celle d'un haut responsable de l'Union africaine et enfin Achim Steiner, directeur exécutif du Plan des Nations unies pour l'environnement aux côtés d' Arnold Schwarzenegger, président d'honneur du R20.