Des rencontres d'affaires entre des opérateurs économiques algériens du forum des chefs d'entreprises et des industriels et entrepreneurs mexicains ont eu lieu, hier, au siège du FCE. Des rencontres d'affaires entre des opérateurs économiques algériens du forum des chefs d'entreprises et des industriels et entrepreneurs mexicains ont eu lieu, hier, au siège du FCE. En effet, une délégation économique mexicaine composée essentiellement d'entreprises relevant des secteurs du bâtiment, de la pharmacie et de l'agro-industrie a eu des négociations avec des chefs d'entreprise du secteur privé en vue de rechercher des opportunités de coopération et de partenariat gagnant-gagnant mutuellement avantageuses. Des rencontres business to business ont caractérisé les discussions entre les délégations des deux pays durant la journée d'hier alors que les investisseurs et industriels mexicains séjourneront à Alger jusqu'à demain dans le but de visiter des infrastructures et s'enquérir du climat d'affaires et des possibilités d'investissement afin de concevoir des projets de développement. Les autorités mexicaines ont décidé de renforcer leurs relations économiques avec l'Algérie en diversifiant et en améliorant les échanges commerciaux, sachant que des rapports économiques et commerciaux existent déjà depuis quelques années dans le secteur automobile où les fabricants mexicains souhaitent une forme de partenariat durable. Tandis que les échanges commerciaux entre l'Algérie et le Mexique s'élèvent à plus de 200 millions dollars en 2012 contre plus de 307 millions dollars en 2011 bien que ces statistiques soient en régression (800 millions dollars en 2008), suivant les chiffres des Douanes algériennes, les autorités mexicaines envisagent de multiplier ces montants durant les cinq années à venir. Sous l'impulsion de l'ambassadeur du Mexique à Alger, Juan José Gonzalez Mijares, une réunion de la commission mixte est prévue à Alger au cours du second semestre 2014 avec les responsables algériens concernés pour ausculter l'état d'avancement de la coopération bilatérale et dénicher des créneaux susceptibles d'engendrer des projets de partenariat communs, hors hydrocarbures, en ce sens que l'Algérie exporte vers le Mexique principalement le gaz naturel, tout en important essentiellement des produits alimentaires, tels que le blé et les légumes secs. En effet, une délégation économique mexicaine composée essentiellement d'entreprises relevant des secteurs du bâtiment, de la pharmacie et de l'agro-industrie a eu des négociations avec des chefs d'entreprise du secteur privé en vue de rechercher des opportunités de coopération et de partenariat gagnant-gagnant mutuellement avantageuses. Des rencontres business to business ont caractérisé les discussions entre les délégations des deux pays durant la journée d'hier alors que les investisseurs et industriels mexicains séjourneront à Alger jusqu'à demain dans le but de visiter des infrastructures et s'enquérir du climat d'affaires et des possibilités d'investissement afin de concevoir des projets de développement. Les autorités mexicaines ont décidé de renforcer leurs relations économiques avec l'Algérie en diversifiant et en améliorant les échanges commerciaux, sachant que des rapports économiques et commerciaux existent déjà depuis quelques années dans le secteur automobile où les fabricants mexicains souhaitent une forme de partenariat durable. Tandis que les échanges commerciaux entre l'Algérie et le Mexique s'élèvent à plus de 200 millions dollars en 2012 contre plus de 307 millions dollars en 2011 bien que ces statistiques soient en régression (800 millions dollars en 2008), suivant les chiffres des Douanes algériennes, les autorités mexicaines envisagent de multiplier ces montants durant les cinq années à venir. Sous l'impulsion de l'ambassadeur du Mexique à Alger, Juan José Gonzalez Mijares, une réunion de la commission mixte est prévue à Alger au cours du second semestre 2014 avec les responsables algériens concernés pour ausculter l'état d'avancement de la coopération bilatérale et dénicher des créneaux susceptibles d'engendrer des projets de partenariat communs, hors hydrocarbures, en ce sens que l'Algérie exporte vers le Mexique principalement le gaz naturel, tout en important essentiellement des produits alimentaires, tels que le blé et les légumes secs.