La coopération économique et les échanges commerciaux entre l'Algérie et le Mexique sont appelés à se renforcer dans les prochains mois. C'est ce qu'a déclaré l'ambassadeur du Mexique à Alger, Eduardo Roldan, il y a deux jours lors d'une tournée effectuée à Oran. En effet, le diplomate mexicain a estimé que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays pourrait largement dépasser le montant actuel caractérisant les relations économiques entre l'Algérie et le Mexique et qui est de l'ordre de 200 millions dollars. «Les relations politiques et économiques entre le Mexique et l'Algérie sont excellentes, mais la coopération entre les deux pays est appelée à se renforcer davantage dans un proche avenir», a notamment déclaré Roldan. Celui-ci s'est montré optimiste quant au développement et la promotion des investissements mexicains en Algérie, notamment dans les secteurs de la cimenterie, de l'agroalimentaire et de la minoterie. Ainsi, les hommes d'affaires mexicains et les opérateurs économiques algériens sont prêts à multiplier les rencontres afin d'examiner les opportunités de coopération et d'investissement offertes par les milieux d'affaires algériens. Rappelons qu'une dizaine d'hommes d'affaires du Mexique spécialisés dans la production des céréales (blé, maïs…), dans les produits vétérinaires et d'équipements éducatifs et scientifiques, a dernièrement rencontré des opérateurs économiques et des entrepreneurs algériens à Alger. Aussi, quatre accords de coopération dans les domaines de l'énergie, de la protection des végétaux, de l'éducation et de la circulation des personnes ont été signés en 2005, lors de la visite du président mexicain à Alger. L'ambassadeur mexicain a déploré que des produits mexicains soient commercialisés en Algérie sous un label espagnol. Il a également fait part du projet financé par l'Etat mexicain consistant à réaliser un port à Ghazaouet, destiné à l'importation et à l'exportation du ciment. Par ailleurs, le diplomate a affirmé que la coopération entre les deux pays pourrait s'étendre au secteur énergétique, étant donné que l'Algérie et le Mexique sont producteurs de pétrole. Aussi, le Mexique envisage d'importer du gaz naturel algérien. Notons que depuis la prise de fonction de Roldan à Alger, trois délégations d'hommes affaires et d'investisseurs mexicains ont effectué des visites de travail en Algérie, particulièrement à Alger, Constantine et Sétif où elles ont eu des contacts avec les opérateurs économiques algériens. Par ailleurs, l'ambassadeur du Mexique a exhorté les chefs d'entreprise algériens à intensifier la coopération avec leurs homologues mexicains, notamment en bénéficiant de la convention «Nafta» relative au commerce libre que le Mexique a ratifié avec les Etats-Unis d'Amérique et le Canada. Abordant la balance commerciale entre les deux pays que le diplomate a jugée favorable à l'Algérie, Roldan a demandé aux entrepreneurs algériens de s'impliquer davantage dans l'importation du maïs, du blé tendre et dur et du sucre du Mexique. Cependant, il a incité les opérateurs algériens à exporter vers le Mexique des produits chimiques, des engins mécaniques et industriels et des produits alimentairess. La coopération économique et les échanges commerciaux entre l'Algérie et le Mexique sont appelés à se renforcer dans les prochains mois. C'est ce qu'a déclaré l'ambassadeur du Mexique à Alger, Eduardo Roldan, il y a deux jours lors d'une tournée effectuée à Oran. En effet, le diplomate mexicain a estimé que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays pourrait largement dépasser le montant actuel caractérisant les relations économiques entre l'Algérie et le Mexique et qui est de l'ordre de 200 millions dollars. «Les relations politiques et économiques entre le Mexique et l'Algérie sont excellentes, mais la coopération entre les deux pays est appelée à se renforcer davantage dans un proche avenir», a notamment déclaré Roldan. Celui-ci s'est montré optimiste quant au développement et la promotion des investissements mexicains en Algérie, notamment dans les secteurs de la cimenterie, de l'agroalimentaire et de la minoterie. Ainsi, les hommes d'affaires mexicains et les opérateurs économiques algériens sont prêts à multiplier les rencontres afin d'examiner les opportunités de coopération et d'investissement offertes par les milieux d'affaires algériens. Rappelons qu'une dizaine d'hommes d'affaires du Mexique spécialisés dans la production des céréales (blé, maïs…), dans les produits vétérinaires et d'équipements éducatifs et scientifiques, a dernièrement rencontré des opérateurs économiques et des entrepreneurs algériens à Alger. Aussi, quatre accords de coopération dans les domaines de l'énergie, de la protection des végétaux, de l'éducation et de la circulation des personnes ont été signés en 2005, lors de la visite du président mexicain à Alger. L'ambassadeur mexicain a déploré que des produits mexicains soient commercialisés en Algérie sous un label espagnol. Il a également fait part du projet financé par l'Etat mexicain consistant à réaliser un port à Ghazaouet, destiné à l'importation et à l'exportation du ciment. Par ailleurs, le diplomate a affirmé que la coopération entre les deux pays pourrait s'étendre au secteur énergétique, étant donné que l'Algérie et le Mexique sont producteurs de pétrole. Aussi, le Mexique envisage d'importer du gaz naturel algérien. Notons que depuis la prise de fonction de Roldan à Alger, trois délégations d'hommes affaires et d'investisseurs mexicains ont effectué des visites de travail en Algérie, particulièrement à Alger, Constantine et Sétif où elles ont eu des contacts avec les opérateurs économiques algériens. Par ailleurs, l'ambassadeur du Mexique a exhorté les chefs d'entreprise algériens à intensifier la coopération avec leurs homologues mexicains, notamment en bénéficiant de la convention «Nafta» relative au commerce libre que le Mexique a ratifié avec les Etats-Unis d'Amérique et le Canada. Abordant la balance commerciale entre les deux pays que le diplomate a jugée favorable à l'Algérie, Roldan a demandé aux entrepreneurs algériens de s'impliquer davantage dans l'importation du maïs, du blé tendre et dur et du sucre du Mexique. Cependant, il a incité les opérateurs algériens à exporter vers le Mexique des produits chimiques, des engins mécaniques et industriels et des produits alimentairess.