C'est la deuxième intervention du président de la République en l'espace de quelques jours sur la polémique concernant le rôle du Département du renseignement et de la sécurité (DRS). C'est la deuxième intervention du président de la République en l'espace de quelques jours sur la polémique concernant le rôle du Département du renseignement et de la sécurité (DRS). L'occasion s'y prêtait. L'Algérie célébrait, hier, la commémoration de la journée nationale du Chahid. Le président Abdelaziz Bouteflika, dans un message lu à la télévision et à la radio nationale a tenu à préciser que, « ce message s'adresse aux uns et aux autres avec toute la franchise que me dictent la Constitution et la fidélité aux sacrifices des Chouhada ». Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a affirmé que « le Département du renseignement et de la sécurité, en tant que partie intégrante de l'Armée nationale populaire, doit continuer à exécuter ses missions et attributions ». Pour le chef de l'Etat, « nul n'est en droit d'attenter aux fondements de l'édifice républicain ni aux acquis. Nul n'est en droit, quelles que soient ses responsabilités, de se placer au dessus des dispositions de la Constitution et des lois de la République ». Dans ce contexte, Abdelaziz Bouteflika a affirmé que « nul n'est en droit de régler ses comptes personnels avec les autres au détriment des intérêts suprêmes de la nation tant à l'intérieur qu'à l'extérieur », précisant que « l'heure n'est plus à l'insulte et aux invectives », appelant à la nécessité de « se concentrer sur ce qu'il y a de mieux pour notre nation ». Le président de la République poursuit et souligne que « ces quelques rappels ont pour objectif de réaffirmer clairement que, contrairement aux allégations et aux spéculations rapportées par voie de presse au préjudice de la stabilité de l'Etat et de l'Armée nationale populaire, le Département du renseignement et de la sécurité reste pleinement mobilisé pour la bonne exécution des missions qui lui incombent, à l'instar des autres composantes de l'Armée nationale populaire ». Il est à rappeler qu'au lendemain du crash de l'avion militaire survenu sur le mont Fertas à Oum El Bouaghi qui a fait 76 morts et 1 survivant, le chef de l'Etat dans un message de condoléances adressé à l'ANP et aux familles des victimes de la catastrophe aérienne a affirmé, sur un même ton et employant presque les mêmes termes a affirmé que nul n'est en droit de s'en prendre à l'Armée nationale populaire (ANP) et aux autres institutions constitutionnelles. « Nul n'est en droit, quelles que soient ses responsabilités, de s'en prendre à l'Armée nationale populaire ni aux autres institutions constitutionnelles » du pays, a tenu à souligner le chef de l'Etat. Stigmatisant l'escalade verbale des uns et des autres, Abdelaziz Bouteflika a relevé que «nous sommes certes habitués à des dépassements émanant de certains milieux à l'approche de chaque échéance mais, cette fois-ci, l'acharnement a pris une ampleur telle que notre pays n'a jamais connue depuis l'indépendance allant jusqu'à tenter de porter atteinte à l'unité de l'Armée nationale populaire ainsi qu'à la stabilité du pays et à son image dans le concert des nations » . Seize jours après les déclarations de Amar Saâdani à TSA , qui ont provoqué un véritable séisme dans le pays, une véritable polémique s'est installée sur le rôle du puissant Département du Renseignement et de la Sécurité dans la vie politique du pays. Tout à commencé lorsque cette attaque frontale a été lancée par, Amar Saadani, secrétaire général, très contesté du vieux parti, contre le tout puissant patron du renseignement, le général Toufik. Dans une interview sur le site électronique, Amar Saadani appelle le général Mohamed Mediène - chef du DRS - à démissionner en raison de ses échecs dans plusieurs affaires de sécurité intérieure. La diatribe du chef de file du FLN contre le chef du DRS avait atteint des proportions inattendues et accablaient le général Mohamed Médiane. « Au lieu de s'occuper de la sécurité du pays, le DRS s'occupe des affaires des partis, de la justice et de la presse", accuse encore le patron du parti présidentiel. Amar Saadani (SG du FLN) jette un pavé dans la mare, il demande au général Mohamed Mediène (Directeur du DRS) de démissionner de son poste. Des déclarations qui ont soulevé une vague d'indignation dans le pays et des graves accusations contre le SG du FLN qui est soupçonné de « rouler » pour certaines parties hostiles aux intérêts du pays. L'occasion s'y prêtait. L'Algérie célébrait, hier, la commémoration de la journée nationale du Chahid. Le président Abdelaziz Bouteflika, dans un message lu à la télévision et à la radio nationale a tenu à préciser que, « ce message s'adresse aux uns et aux autres avec toute la franchise que me dictent la Constitution et la fidélité aux sacrifices des Chouhada ». Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a affirmé que « le Département du renseignement et de la sécurité, en tant que partie intégrante de l'Armée nationale populaire, doit continuer à exécuter ses missions et attributions ». Pour le chef de l'Etat, « nul n'est en droit d'attenter aux fondements de l'édifice républicain ni aux acquis. Nul n'est en droit, quelles que soient ses responsabilités, de se placer au dessus des dispositions de la Constitution et des lois de la République ». Dans ce contexte, Abdelaziz Bouteflika a affirmé que « nul n'est en droit de régler ses comptes personnels avec les autres au détriment des intérêts suprêmes de la nation tant à l'intérieur qu'à l'extérieur », précisant que « l'heure n'est plus à l'insulte et aux invectives », appelant à la nécessité de « se concentrer sur ce qu'il y a de mieux pour notre nation ». Le président de la République poursuit et souligne que « ces quelques rappels ont pour objectif de réaffirmer clairement que, contrairement aux allégations et aux spéculations rapportées par voie de presse au préjudice de la stabilité de l'Etat et de l'Armée nationale populaire, le Département du renseignement et de la sécurité reste pleinement mobilisé pour la bonne exécution des missions qui lui incombent, à l'instar des autres composantes de l'Armée nationale populaire ». Il est à rappeler qu'au lendemain du crash de l'avion militaire survenu sur le mont Fertas à Oum El Bouaghi qui a fait 76 morts et 1 survivant, le chef de l'Etat dans un message de condoléances adressé à l'ANP et aux familles des victimes de la catastrophe aérienne a affirmé, sur un même ton et employant presque les mêmes termes a affirmé que nul n'est en droit de s'en prendre à l'Armée nationale populaire (ANP) et aux autres institutions constitutionnelles. « Nul n'est en droit, quelles que soient ses responsabilités, de s'en prendre à l'Armée nationale populaire ni aux autres institutions constitutionnelles » du pays, a tenu à souligner le chef de l'Etat. Stigmatisant l'escalade verbale des uns et des autres, Abdelaziz Bouteflika a relevé que «nous sommes certes habitués à des dépassements émanant de certains milieux à l'approche de chaque échéance mais, cette fois-ci, l'acharnement a pris une ampleur telle que notre pays n'a jamais connue depuis l'indépendance allant jusqu'à tenter de porter atteinte à l'unité de l'Armée nationale populaire ainsi qu'à la stabilité du pays et à son image dans le concert des nations » . Seize jours après les déclarations de Amar Saâdani à TSA , qui ont provoqué un véritable séisme dans le pays, une véritable polémique s'est installée sur le rôle du puissant Département du Renseignement et de la Sécurité dans la vie politique du pays. Tout à commencé lorsque cette attaque frontale a été lancée par, Amar Saadani, secrétaire général, très contesté du vieux parti, contre le tout puissant patron du renseignement, le général Toufik. Dans une interview sur le site électronique, Amar Saadani appelle le général Mohamed Mediène - chef du DRS - à démissionner en raison de ses échecs dans plusieurs affaires de sécurité intérieure. La diatribe du chef de file du FLN contre le chef du DRS avait atteint des proportions inattendues et accablaient le général Mohamed Médiane. « Au lieu de s'occuper de la sécurité du pays, le DRS s'occupe des affaires des partis, de la justice et de la presse", accuse encore le patron du parti présidentiel. Amar Saadani (SG du FLN) jette un pavé dans la mare, il demande au général Mohamed Mediène (Directeur du DRS) de démissionner de son poste. Des déclarations qui ont soulevé une vague d'indignation dans le pays et des graves accusations contre le SG du FLN qui est soupçonné de « rouler » pour certaines parties hostiles aux intérêts du pays.