Le long métrage Invictus, dédié au héros de la lutte anti-apartheid, Nelson Mandela (1918-2003), est cette semaine à l'affiche de la Cinémathèque d'Oran dans le cadre d'un cycle de projections thématique initié par cet établissement culturel. Réalisé par Clint Eastwood cinq ans avant le décès de l'ancien président sud-africain, survenu le 5 décembre dernier, ce film, inscrit dans le registre du cinéma engagé, a été nominé aux plus prestigieuses des cérémonies comme les Oscars, les Césars et les Golden Globes. Le long métrage Invictus, dédié au héros de la lutte anti-apartheid, Nelson Mandela (1918-2003), est cette semaine à l'affiche de la Cinémathèque d'Oran dans le cadre d'un cycle de projections thématique initié par cet établissement culturel. Réalisé par Clint Eastwood cinq ans avant le décès de l'ancien président sud-africain, survenu le 5 décembre dernier, ce film, inscrit dans le registre du cinéma engagé, a été nominé aux plus prestigieuses des cérémonies comme les Oscars, les Césars et les Golden Globes. L'histoire se situe en 1994, année où Nelson Mandela fut le premier noir à être élu président de la République d'Afrique du Sud, et ce, après 27 ans passés en prison. D'après le synopsis officiel de l'oeuvre, en 1994, l'élection de Nelson Mandela (interprété par Morgan Freeman) consacre la fin d'un apartheid qui a duré 43 ans (1948-1991), mais l'Afrique du Sud reste une nation profondément divisée sur les plans racial et économique. Pour unifier le pays et donner à chaque citoyen un motif de fierté, Mandela mise sur le sport, et fait cause commune avec François Pienaar (campé par Matt Damon), le capitaine de la modeste équipe de rugby sud-africaine, les Springboks, composés de blancs. A priori, tout oppose les jeunes hommes, ils n'appartiennent pas à la même communauté. Mais ils font partie du même pays et décident d'agir ensemble. Leur pari : se présenter au Championnat du Monde de rugby à XV de 1995... Après 27 ans passés en prison, Nelson Mandela pense pouvoir ainsi lutter contre la peur et la xénophobie que ressentent les communautés d'Afrique du Sud les unes envers les autres. Il désire par-dessus tout faire renaître et vivre la "nation arc-en-ciel" qui lui est chère... Inspiré d'un mot latin signifiant "invincible", Invictus est aussi le titre du poème préféré de Mandela, de l'écrivain britannique William Ernest Henley (1849-1903), également repris dans le film de Clint Eastwood. La Cinémathèque algérienne a programmé plusieurs séances de projection à travers les salles de répertoires de différentes wilayas, dédiées à Mandela et à d'autres figures emblématiques de la lutte anticoloniale, à l'instar de Gandhi (1869-1948). L'histoire se situe en 1994, année où Nelson Mandela fut le premier noir à être élu président de la République d'Afrique du Sud, et ce, après 27 ans passés en prison. D'après le synopsis officiel de l'oeuvre, en 1994, l'élection de Nelson Mandela (interprété par Morgan Freeman) consacre la fin d'un apartheid qui a duré 43 ans (1948-1991), mais l'Afrique du Sud reste une nation profondément divisée sur les plans racial et économique. Pour unifier le pays et donner à chaque citoyen un motif de fierté, Mandela mise sur le sport, et fait cause commune avec François Pienaar (campé par Matt Damon), le capitaine de la modeste équipe de rugby sud-africaine, les Springboks, composés de blancs. A priori, tout oppose les jeunes hommes, ils n'appartiennent pas à la même communauté. Mais ils font partie du même pays et décident d'agir ensemble. Leur pari : se présenter au Championnat du Monde de rugby à XV de 1995... Après 27 ans passés en prison, Nelson Mandela pense pouvoir ainsi lutter contre la peur et la xénophobie que ressentent les communautés d'Afrique du Sud les unes envers les autres. Il désire par-dessus tout faire renaître et vivre la "nation arc-en-ciel" qui lui est chère... Inspiré d'un mot latin signifiant "invincible", Invictus est aussi le titre du poème préféré de Mandela, de l'écrivain britannique William Ernest Henley (1849-1903), également repris dans le film de Clint Eastwood. La Cinémathèque algérienne a programmé plusieurs séances de projection à travers les salles de répertoires de différentes wilayas, dédiées à Mandela et à d'autres figures emblématiques de la lutte anticoloniale, à l'instar de Gandhi (1869-1948).