Les gouvernements du Proche-Orient et d'Afrique du Nord (Mena) se sont engagés vendredi, lors de la clôture de la 32e Conférence régionale de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), à renforcer leur coopération pour mieux affronter les enjeux critiques de sécurité alimentaire et de gestion de l'eau dans la région. Les gouvernements du Proche-Orient et d'Afrique du Nord (Mena) se sont engagés vendredi, lors de la clôture de la 32e Conférence régionale de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), à renforcer leur coopération pour mieux affronter les enjeux critiques de sécurité alimentaire et de gestion de l'eau dans la région. Selon un communiqué publié sur le portail électronique de la FAO, le directeur général de cette organisation, José Graziano da Silva, a mis l'accent sur la nécessité de renforcer l'action intergouvernementale dans la région Mena en matière de faim et de nutrition. Le cadre adopté invite les gouvernements à unir leurs efforts pour affronter la faible croissance de la productivité grâce à des investissements supplémentaires dans la recherche et le développement, des gains d'efficacité dans les chaînes d'approvisionnement permettant de réduire l'exposition à la volatilité du marché et autres chocs, ainsi que des filets de protection et des programmes d'éducation nutritionnelle renforcés. Les gouvernements ont approuvé l'expansion à l'échelle de toute la région de l'Initiative régionale de la FAO sur la raréfaction de l'eau, qui concernait jusqu'à présent six pays pilotes. Dans le cadre de cette initiative, les pays s'attacheront à améliorer leurs pratiques de gestion de l'eau au niveau national ainsi qu'au-delà de leurs frontières pour élaborer une approche de collaboration pour la gestion de cette ressource vitale. Les disponibilités d'eau douce par habitant dans la région ont diminué de deux tiers au cours des 40 dernières années et devraient continuer à reculer de 50% durant les 35 prochaines années si l'évolution actuelle de la croissance démographique et les modes de consommation se poursuivent au même rythme, avertit la FAO. En outre, la Conférence a approuvé une autre initiative régionale visant à réduire les pertes et gaspillages alimentaires. Le Proche-Orient et l'Afrique du Nord dépendent des importations pour satisfaire plus de 50% de leurs besoins alimentaires, et pourtant un tiers de toute la nourriture produite ou importée est perdue ou gaspillée. Les pays participant à la conférence ont reconnu la nécessité de mobiliser des ressources additionnelles en faveur de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, notamment par le biais de la coopération Sud-Sud et de partenariats, ainsi que du nouveau Fonds fiduciaire de solidarité régionale de la FAO qui est en train d'être mis en place avec une contribution initiale de 2 millions de dollars du gouvernement irakien. La Conférence a vu la participation de plus de 160 délégués, dont 11 ministres, ainsi que de représentants de la société civile, du secteur privé, d'autres organismes des Nations unies et de pays en qualité d'observateurs. Selon un communiqué publié sur le portail électronique de la FAO, le directeur général de cette organisation, José Graziano da Silva, a mis l'accent sur la nécessité de renforcer l'action intergouvernementale dans la région Mena en matière de faim et de nutrition. Le cadre adopté invite les gouvernements à unir leurs efforts pour affronter la faible croissance de la productivité grâce à des investissements supplémentaires dans la recherche et le développement, des gains d'efficacité dans les chaînes d'approvisionnement permettant de réduire l'exposition à la volatilité du marché et autres chocs, ainsi que des filets de protection et des programmes d'éducation nutritionnelle renforcés. Les gouvernements ont approuvé l'expansion à l'échelle de toute la région de l'Initiative régionale de la FAO sur la raréfaction de l'eau, qui concernait jusqu'à présent six pays pilotes. Dans le cadre de cette initiative, les pays s'attacheront à améliorer leurs pratiques de gestion de l'eau au niveau national ainsi qu'au-delà de leurs frontières pour élaborer une approche de collaboration pour la gestion de cette ressource vitale. Les disponibilités d'eau douce par habitant dans la région ont diminué de deux tiers au cours des 40 dernières années et devraient continuer à reculer de 50% durant les 35 prochaines années si l'évolution actuelle de la croissance démographique et les modes de consommation se poursuivent au même rythme, avertit la FAO. En outre, la Conférence a approuvé une autre initiative régionale visant à réduire les pertes et gaspillages alimentaires. Le Proche-Orient et l'Afrique du Nord dépendent des importations pour satisfaire plus de 50% de leurs besoins alimentaires, et pourtant un tiers de toute la nourriture produite ou importée est perdue ou gaspillée. Les pays participant à la conférence ont reconnu la nécessité de mobiliser des ressources additionnelles en faveur de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, notamment par le biais de la coopération Sud-Sud et de partenariats, ainsi que du nouveau Fonds fiduciaire de solidarité régionale de la FAO qui est en train d'être mis en place avec une contribution initiale de 2 millions de dollars du gouvernement irakien. La Conférence a vu la participation de plus de 160 délégués, dont 11 ministres, ainsi que de représentants de la société civile, du secteur privé, d'autres organismes des Nations unies et de pays en qualité d'observateurs.