Le Premier ministre passe à l'offensive en cette veille de l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Le Premier ministre passe à l'offensive en cette veille de l'élection présidentielle du 17 avril prochain. L'Etat algérien sera intransigeant envers les fauteurs de fitna et pour les aventuriers. Ils répondront de leurs actes, prévient-il. Il assure que le scrutin sera transparent. Selon lui, la démocratie ne rime pas avec fitna. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal, a clôturé, jeudi, son périple à travers le pays dans le cadre des visites de travail et d'inspection, entamée le 10 novembre 2012 conformément aux directives du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à Tipaza. Dans son intervention, devant les élus et membres de la société civile, Abdelmalek Sellal a adressé deux messages aux Algériens. Une sévère mise en garde pour ceux qui veulent réveiller le démon de la fitna et des assurances quant à une élection présidentielle transparente. Et pour un gage de réussite de ce scrutin du 17 avril prochain, il appelle «tous les citoyens Algériens à participer massivement à la prochaine élection présidentielle pour exprimer librement leur volonté et leur choix en consécration de l'Etat de droit», soulignant dans ce cadre que «l'Etat a pris toutes les dispositions visant à garantir l'organisation d'une présidentielle dans la transparence». Pour Abdelmalek Sellal, il est primordial de « réussir ce rendez-vous électoral, car nous avons tous les moyens d'y arriver ». "Le peuple est tout à fait conscient des enjeux", a-t-il affirmé et « notre mission est d'édifier un Etat fort et stable capable de construire une économie concurrentielle ». Le Premier ministre rappelle les instructions données par le chef de l'Etat quant à la régularité du scrutin populaire du 17 avril prochain et l'application stricte de la loi à tous les niveaux de responsabilité et sans doute agacé par les voix de certains mouvements de protestation organisés ici et là dans le pays contre le 4ème mandat pour le président de la République sortant, Abdelmalek Sellal lance une sévère mise en garde contre ceux qui appellent à la fitna et pour les aventuriers. « Il faut faire primer l'intérêt du pays sur toute autre considération » a-t-il tonné, avisant que « tous ceux qui usurpent la démocratie devront répondre de leurs actes ». Pour Sellal, « les Algériens ont appris à vivre dans la paix » et il hors de question « de revenir en arrière », assurant que « nous allons lutter pour la conserver ». Il décrète la mobilisation pour préserver la paix, la stabilité "à travers l'accomplissement de notre devoir électoral dans l'intérêt suprême de l'Algérie". La paix, la stabilité à travers l'accomplissement de notre devoir électoral, ni plus ni moins, a-t-il témoigné, soulignant que «l'Algérie s'est engagée sur la voie du développement, du progrès, de la paix et de la sécurité dans un contexte géostratégique extrêmement tendu et ce sera difficile de poursuivre notre marche si nous ne pourrons pas préserver la stabilité que tentent de compromettre les partisans de la fitna et les aventuriers», affirmant sa conviction que "notre pays recèle d'importantes potentialités à même de favoriser son développement". Evoquant les élections présidentielles, Abdelmalek Sellal met en garde les Algériens : « Nous ne devons, en aucun cas, laisser passer cette occasion qui doit être mise à profit pour améliorer la situation aux plans politique et économique», s'est exclamé Abdelmalek Sellal pour qui, «la démocratie ne peut mener à la fitna tout comme le passé ne saurait ressurgir». Selon lui, Bouteflika n'a pas besoin de campagne électorale, les grandes réalisations du pays sont l'œuvre du chef de l'Etat. L'Algérie « est un grand chantier et le peuple algérien croit aujourd'hui en son développement socio-économique », a affirmé Sellal qui assure que le peuple Algérien « croit aujourd'hui en le développement socio-économique et sait pertinemment qui est à son service ». Revenant sur ses visites de travail et d'inspection à travers les différentes wilayas du pays, le Premier ministre affirme avoir constaté « la cohésion et l'adhésion » du peuple algérien, malgré les tentatives d' « atteinte » à son unité. Une chose qui «n'arrivera jamais», a-t-il martelé car, a-t-il affirmé, « nous sommes prêts à mourir pour y faire face ». Toutefois, il a indiqué avoir relevé plusieurs lacunes et problèmes lors de ces visites. «Nous allons faire face à ces problèmes et y mettre fin» a-t-il soutenu, car il « faut que le développement du pays soit hors hydrocarbures et les efforts déployés vont dans ce sens ». Le Premier ministre s'est dit satisfait de noter une nouvelle vision auprès des jeunes. La visite de l'exploitation agricole privée de Tizi-Rachid a mis du baume dans le cœur de Sellal qui décèle une vision d'avant-garde du développement économique du pays. Il s'est félicité dans le même contexte des réalisations accomplies en Algérie, soulignant que l'Algérie d'aujourd'hui « est reconnue au niveau international et constitue une référence politique et géostratégique ». Une reconnaissance dont le mérite, selon lui « revient aux hommes ». Pour le Premier ministre, les visites de terrain et de dialogue avaient pour objectif d'identifier les lacunes dans le processus de développement local et la consécration de « l'Etat de dialogue ». Des visites de terrain qu'il qualifie de « véritable démocratie ». Le dialogue avec les représentants de la société civile est pour Abdelmalek Sellal un « acte civilisé ». Après le discours de Sellal, ce fut au tour des élus et des représentants de la société civile d'exprimer leurs préoccupations. Le tourisme, l'agriculture, la santé et les infrastructures de base sont les secteurs qui souffrent de « manques » dans la wilaya de Tipaza. Wilaya agricole et touristique renfermant un riche patrimoine historique, il est difficile pour les responsable de cette wilaya de concilier les deux secteurs. Le Premier ministre a demandé aux dirigeants qui président aux destinées de la wilaya davantage d'efforts et de casser «la bureaucratie», sources de nombreux problèmes qui retardent son développement socio-économiques. Parlant de la problématique du foncier touristique, il s'étonne que l'on construise des logements sociaux près du périmètre côtier. « L'acte d'urbanisme est un acte civilisationnel », a-t-il fait savoir aux responsables locaux, instruisant par la même occasion ces responsables de faire jouer à la wilaya « son rôle de miroir culturel ». Au président de l'association des imams de la wilaya de Tipaza qui réclamait des logements pour les imams, Abdelmalek Sellal le rassure et lui assure que sa doléance sera prise en compte, «la3lakoum tadakaroun», s'est-il adressé à l'imam. L'Etat algérien sera intransigeant envers les fauteurs de fitna et pour les aventuriers. Ils répondront de leurs actes, prévient-il. Il assure que le scrutin sera transparent. Selon lui, la démocratie ne rime pas avec fitna. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal, a clôturé, jeudi, son périple à travers le pays dans le cadre des visites de travail et d'inspection, entamée le 10 novembre 2012 conformément aux directives du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à Tipaza. Dans son intervention, devant les élus et membres de la société civile, Abdelmalek Sellal a adressé deux messages aux Algériens. Une sévère mise en garde pour ceux qui veulent réveiller le démon de la fitna et des assurances quant à une élection présidentielle transparente. Et pour un gage de réussite de ce scrutin du 17 avril prochain, il appelle «tous les citoyens Algériens à participer massivement à la prochaine élection présidentielle pour exprimer librement leur volonté et leur choix en consécration de l'Etat de droit», soulignant dans ce cadre que «l'Etat a pris toutes les dispositions visant à garantir l'organisation d'une présidentielle dans la transparence». Pour Abdelmalek Sellal, il est primordial de « réussir ce rendez-vous électoral, car nous avons tous les moyens d'y arriver ». "Le peuple est tout à fait conscient des enjeux", a-t-il affirmé et « notre mission est d'édifier un Etat fort et stable capable de construire une économie concurrentielle ». Le Premier ministre rappelle les instructions données par le chef de l'Etat quant à la régularité du scrutin populaire du 17 avril prochain et l'application stricte de la loi à tous les niveaux de responsabilité et sans doute agacé par les voix de certains mouvements de protestation organisés ici et là dans le pays contre le 4ème mandat pour le président de la République sortant, Abdelmalek Sellal lance une sévère mise en garde contre ceux qui appellent à la fitna et pour les aventuriers. « Il faut faire primer l'intérêt du pays sur toute autre considération » a-t-il tonné, avisant que « tous ceux qui usurpent la démocratie devront répondre de leurs actes ». Pour Sellal, « les Algériens ont appris à vivre dans la paix » et il hors de question « de revenir en arrière », assurant que « nous allons lutter pour la conserver ». Il décrète la mobilisation pour préserver la paix, la stabilité "à travers l'accomplissement de notre devoir électoral dans l'intérêt suprême de l'Algérie". La paix, la stabilité à travers l'accomplissement de notre devoir électoral, ni plus ni moins, a-t-il témoigné, soulignant que «l'Algérie s'est engagée sur la voie du développement, du progrès, de la paix et de la sécurité dans un contexte géostratégique extrêmement tendu et ce sera difficile de poursuivre notre marche si nous ne pourrons pas préserver la stabilité que tentent de compromettre les partisans de la fitna et les aventuriers», affirmant sa conviction que "notre pays recèle d'importantes potentialités à même de favoriser son développement". Evoquant les élections présidentielles, Abdelmalek Sellal met en garde les Algériens : « Nous ne devons, en aucun cas, laisser passer cette occasion qui doit être mise à profit pour améliorer la situation aux plans politique et économique», s'est exclamé Abdelmalek Sellal pour qui, «la démocratie ne peut mener à la fitna tout comme le passé ne saurait ressurgir». Selon lui, Bouteflika n'a pas besoin de campagne électorale, les grandes réalisations du pays sont l'œuvre du chef de l'Etat. L'Algérie « est un grand chantier et le peuple algérien croit aujourd'hui en son développement socio-économique », a affirmé Sellal qui assure que le peuple Algérien « croit aujourd'hui en le développement socio-économique et sait pertinemment qui est à son service ». Revenant sur ses visites de travail et d'inspection à travers les différentes wilayas du pays, le Premier ministre affirme avoir constaté « la cohésion et l'adhésion » du peuple algérien, malgré les tentatives d' « atteinte » à son unité. Une chose qui «n'arrivera jamais», a-t-il martelé car, a-t-il affirmé, « nous sommes prêts à mourir pour y faire face ». Toutefois, il a indiqué avoir relevé plusieurs lacunes et problèmes lors de ces visites. «Nous allons faire face à ces problèmes et y mettre fin» a-t-il soutenu, car il « faut que le développement du pays soit hors hydrocarbures et les efforts déployés vont dans ce sens ». Le Premier ministre s'est dit satisfait de noter une nouvelle vision auprès des jeunes. La visite de l'exploitation agricole privée de Tizi-Rachid a mis du baume dans le cœur de Sellal qui décèle une vision d'avant-garde du développement économique du pays. Il s'est félicité dans le même contexte des réalisations accomplies en Algérie, soulignant que l'Algérie d'aujourd'hui « est reconnue au niveau international et constitue une référence politique et géostratégique ». Une reconnaissance dont le mérite, selon lui « revient aux hommes ». Pour le Premier ministre, les visites de terrain et de dialogue avaient pour objectif d'identifier les lacunes dans le processus de développement local et la consécration de « l'Etat de dialogue ». Des visites de terrain qu'il qualifie de « véritable démocratie ». Le dialogue avec les représentants de la société civile est pour Abdelmalek Sellal un « acte civilisé ». Après le discours de Sellal, ce fut au tour des élus et des représentants de la société civile d'exprimer leurs préoccupations. Le tourisme, l'agriculture, la santé et les infrastructures de base sont les secteurs qui souffrent de « manques » dans la wilaya de Tipaza. Wilaya agricole et touristique renfermant un riche patrimoine historique, il est difficile pour les responsable de cette wilaya de concilier les deux secteurs. Le Premier ministre a demandé aux dirigeants qui président aux destinées de la wilaya davantage d'efforts et de casser «la bureaucratie», sources de nombreux problèmes qui retardent son développement socio-économiques. Parlant de la problématique du foncier touristique, il s'étonne que l'on construise des logements sociaux près du périmètre côtier. « L'acte d'urbanisme est un acte civilisationnel », a-t-il fait savoir aux responsables locaux, instruisant par la même occasion ces responsables de faire jouer à la wilaya « son rôle de miroir culturel ». Au président de l'association des imams de la wilaya de Tipaza qui réclamait des logements pour les imams, Abdelmalek Sellal le rassure et lui assure que sa doléance sera prise en compte, «la3lakoum tadakaroun», s'est-il adressé à l'imam.