Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a instruit hier le gouvernement d'engager une réflexion en vue de la création d'un fonds destiné aux femmes divorcées ayant la garde des enfants mineurs. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a instruit hier le gouvernement d'engager une réflexion en vue de la création d'un fonds destiné aux femmes divorcées ayant la garde des enfants mineurs. "Le code de la famille, amendé en 2005, a permis d'introduire davantage d'égalité entre les conjoints, une meilleure protection des enfants mineurs et plus de cohésion familiale. Néanmoins, il reste perfectible sur certains aspect matériels, comme les difficultés rencontrées par certaines mères divorcées ayant obtenu la garde des enfants mineurs, pour le recouvrement de la pension alimentaire destinée à assurer l'entretien de ces enfants", a indiqué le chef de l'Etat dans un message adressé aux femmes algériennes à l'occasion de la journée internationale de la femme lu en son nom par Mohamed Ali Boughazi conseiller à la présidence de la République. "Le refus ou l'impossibilité pour le père d'en assurer le versement porte atteinte à la dignité de la femme et aux droits fondamentaux des enfants et appelle des solutions dignes d'un Etat solidaire. J'instruits, à cet égard, le gouvernement d'engager une réflexion sur la possibilité d'instituer un fonds destiné aux femmes divorcées ayant la garde des enfants mineurs confrontées à ces problèmes", a précisé le président de la République. "Le code de la famille, amendé en 2005, a permis d'introduire davantage d'égalité entre les conjoints, une meilleure protection des enfants mineurs et plus de cohésion familiale. Néanmoins, il reste perfectible sur certains aspect matériels, comme les difficultés rencontrées par certaines mères divorcées ayant obtenu la garde des enfants mineurs, pour le recouvrement de la pension alimentaire destinée à assurer l'entretien de ces enfants", a indiqué le chef de l'Etat dans un message adressé aux femmes algériennes à l'occasion de la journée internationale de la femme lu en son nom par Mohamed Ali Boughazi conseiller à la présidence de la République. "Le refus ou l'impossibilité pour le père d'en assurer le versement porte atteinte à la dignité de la femme et aux droits fondamentaux des enfants et appelle des solutions dignes d'un Etat solidaire. J'instruits, à cet égard, le gouvernement d'engager une réflexion sur la possibilité d'instituer un fonds destiné aux femmes divorcées ayant la garde des enfants mineurs confrontées à ces problèmes", a précisé le président de la République.