Après leur deuxième rassemblement tenu le jeudi passé devant la faculté centrale à Alger et qui a été fortement réprimé par les forces de l'ordre, le mouvement «Barakat» semble prendre de plus en plus de force et de détermination pour crier son mécontentement contre le 4e mandat de Bouteflika. D'après la Toile, le mouvement de protestation se durcit et les membres fondateurs réunis avant-hier annoncent de nouvelles actions. Après leur deuxième rassemblement tenu le jeudi passé devant la faculté centrale à Alger et qui a été fortement réprimé par les forces de l'ordre, le mouvement «Barakat» semble prendre de plus en plus de force et de détermination pour crier son mécontentement contre le 4e mandat de Bouteflika. D'après la Toile, le mouvement de protestation se durcit et les membres fondateurs réunis avant-hier annoncent de nouvelles actions. Le mouvement « Barakat » (Cela suffit, NDLR) est né au lendemain de l'annonce de la candidature de Bouteflika à un 4e mandat. Composé par des militants des droits de l'homme, des étudiants et des journalistes, majoritairement jeunes qui ne cessent depuis d'investir la Toile et les médias pour faire comprendre à l'opinion publique les raisons de leur mécontentement. A travers leur dernière déclaration le mouvement Barakat annonce que prochainement l'étape à franchir est celle de mettre en place une organisation à l'échelle nationale. Les initiateurs dénoncent les déclarations de ceux qui disent que leur mouvement n'est pas « représentatif vu qu'il est seulement existant à Alger » et annonce par la même occasion qu'après cette réunion «une plate forme sera élaborer et devrait être finalisé et adopter dans le courant de cette semaine », ainsi que l'organisation vers la mi-mars de plusieurs manifestations dans plusieurs wilayas du pays. Alors que plusieurs partis politiques se sont réunis pour créer le collectif des boycotteurs, Barakat précise en rejetant toute récupération politique : «Le mouvement Barakat en réunion de coordination aujourd'hui a réitéré son engagement exclusivement autonome et citoyen et dénonce cette propagande qui tend à l'assimiler a un soutien d'un candidat à l'élection présidentielle. Nous rappelons le caractère autonome et non négociable de notre mouvement, Nous ne soutenons aucun candidat en lice ou retiré de ces élections présidentielles et dénonçons toute cette propagande qui viserait à le suggérer ou à le prétendre, Le mouvement est citoyen et le restera ». Pour faire face à toute ces manœuvres qui tendent à récupérer le mouvement ou à l'épuiser, Barakat clarifie clairement dans une déclaration que «que hormis les porte-paroles désignés à la naissance du mouvement et qui sont au nombre de deux et dont les noms étaient communiqués (Mustapha Benfodil et Amira Bouraoui), aucune personne n'est habilitée à parler au nom du mouvement, et ce jusqu'à désignation d'une nouvelle cellule de communication ». Enfin,concernantl'organisation interne du mouvement Barakat, les membres actifs précisent "que toute déclaration qui émanerait d'une personne autre que les porte-paroles désignés ne représente que la personne en question et n'engage en aucun cas le mouvement". Le mouvement « Barakat » (Cela suffit, NDLR) est né au lendemain de l'annonce de la candidature de Bouteflika à un 4e mandat. Composé par des militants des droits de l'homme, des étudiants et des journalistes, majoritairement jeunes qui ne cessent depuis d'investir la Toile et les médias pour faire comprendre à l'opinion publique les raisons de leur mécontentement. A travers leur dernière déclaration le mouvement Barakat annonce que prochainement l'étape à franchir est celle de mettre en place une organisation à l'échelle nationale. Les initiateurs dénoncent les déclarations de ceux qui disent que leur mouvement n'est pas « représentatif vu qu'il est seulement existant à Alger » et annonce par la même occasion qu'après cette réunion «une plate forme sera élaborer et devrait être finalisé et adopter dans le courant de cette semaine », ainsi que l'organisation vers la mi-mars de plusieurs manifestations dans plusieurs wilayas du pays. Alors que plusieurs partis politiques se sont réunis pour créer le collectif des boycotteurs, Barakat précise en rejetant toute récupération politique : «Le mouvement Barakat en réunion de coordination aujourd'hui a réitéré son engagement exclusivement autonome et citoyen et dénonce cette propagande qui tend à l'assimiler a un soutien d'un candidat à l'élection présidentielle. Nous rappelons le caractère autonome et non négociable de notre mouvement, Nous ne soutenons aucun candidat en lice ou retiré de ces élections présidentielles et dénonçons toute cette propagande qui viserait à le suggérer ou à le prétendre, Le mouvement est citoyen et le restera ». Pour faire face à toute ces manœuvres qui tendent à récupérer le mouvement ou à l'épuiser, Barakat clarifie clairement dans une déclaration que «que hormis les porte-paroles désignés à la naissance du mouvement et qui sont au nombre de deux et dont les noms étaient communiqués (Mustapha Benfodil et Amira Bouraoui), aucune personne n'est habilitée à parler au nom du mouvement, et ce jusqu'à désignation d'une nouvelle cellule de communication ». Enfin,concernantl'organisation interne du mouvement Barakat, les membres actifs précisent "que toute déclaration qui émanerait d'une personne autre que les porte-paroles désignés ne représente que la personne en question et n'engage en aucun cas le mouvement".