La station d'épuration des eaux usées (Step) de Aïn-Témouchent est entrée, dernièrement, en exploitation avec un volume de traitement de 11.000 m3 d'eaux usées par jour, a indiqué son chef de projet. La station d'épuration des eaux usées (Step) de Aïn-Témouchent est entrée, dernièrement, en exploitation avec un volume de traitement de 11.000 m3 d'eaux usées par jour, a indiqué son chef de projet. Traitant quatre millions de mètres cubes d'eaux usées par an et réalisée pour un montant de 2 milliards de dinars, cet ouvrage contribuera à la protection de l'environnement, précisément la sauvegarde du littoral et de la nappe phréatique, a précisé Hachem Noureddine à l'APS, qui fait état d'une étude en cours pour l'utilisation des eaux épurées dans l'irrigation agricole. Les responsables de la Step sont appuyés par une société franco-suisse auxquels se joignent les antennes de l'Office national d'assainissement (Ona) et la CTH (travaux hydrauliques) pour la gestion de cette station, souligne l'APS, ajoutant que, selon Hachem Noureddine, cet ouvrage a généré quelque 210 postes d'emplois. Selon la Direction des ressources en eaux, deux autres Step sont en cours de réalisation, respectivement à Aïn-Tolba (25.000 équivalent/habitants) et Bouzedjar (20.000 E/H), alors qu'une quatrième station, celle d'Aïn El-Kihal (25.000 E/H) a été lancée, dernièrement, en travaux. Le parc local en stations d'épuration sera renforcé, également, avec deux autres Step en étude à Beni Saf (200.000 E/H) et Sidi Ben Adda (20.000 E/H). Cette dernière station sera raccordée avec celle d'Aïn-Témouchent, a encore souligné la Direction des ressources en eau. Ces ouvrages renforceront les six stations de lagunage, exploitées par l'Ona à Sidi Safi, Emir Abdelkader, El Malah, Hassi El-Ghella, El Amria et Ain Larbââ. Actuellement, la capacité globale de traitement est de l'ordre de 250.000 E/H et elle passera, à la fin 2014, à 595.000 E/H. Traitant quatre millions de mètres cubes d'eaux usées par an et réalisée pour un montant de 2 milliards de dinars, cet ouvrage contribuera à la protection de l'environnement, précisément la sauvegarde du littoral et de la nappe phréatique, a précisé Hachem Noureddine à l'APS, qui fait état d'une étude en cours pour l'utilisation des eaux épurées dans l'irrigation agricole. Les responsables de la Step sont appuyés par une société franco-suisse auxquels se joignent les antennes de l'Office national d'assainissement (Ona) et la CTH (travaux hydrauliques) pour la gestion de cette station, souligne l'APS, ajoutant que, selon Hachem Noureddine, cet ouvrage a généré quelque 210 postes d'emplois. Selon la Direction des ressources en eaux, deux autres Step sont en cours de réalisation, respectivement à Aïn-Tolba (25.000 équivalent/habitants) et Bouzedjar (20.000 E/H), alors qu'une quatrième station, celle d'Aïn El-Kihal (25.000 E/H) a été lancée, dernièrement, en travaux. Le parc local en stations d'épuration sera renforcé, également, avec deux autres Step en étude à Beni Saf (200.000 E/H) et Sidi Ben Adda (20.000 E/H). Cette dernière station sera raccordée avec celle d'Aïn-Témouchent, a encore souligné la Direction des ressources en eau. Ces ouvrages renforceront les six stations de lagunage, exploitées par l'Ona à Sidi Safi, Emir Abdelkader, El Malah, Hassi El-Ghella, El Amria et Ain Larbââ. Actuellement, la capacité globale de traitement est de l'ordre de 250.000 E/H et elle passera, à la fin 2014, à 595.000 E/H.