Elle sera rude. Les protagonistes ne se seront pas de cadeau. Les citoyens craignent des dérives aux lourdes conséquences pour le pays. Les récentes « escarmouches » témoignent de ce que sera la campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril prochain. Elle sera rude. Les protagonistes ne se seront pas de cadeau. Les citoyens craignent des dérives aux lourdes conséquences pour le pays. Les récentes « escarmouches » témoignent de ce que sera la campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril prochain. Le coup d'envoi de la campagne électorale pour les élections présidentielles du 17 avril prochain sera donné demain, dimanche. Les six candidats en lice pour la magistrature suprême sont prêts à se lancer durant les 21 jours à l'assaut de l'électorat à travers le pays. Cinq des postulants seront présents physiquement face aux électeurs auxquels ils expliqueront dans le détail leurs programmes. Ali Benflis, candidat libre, Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Fawzi Rebaïne, président de AHD 54, Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA) et le tout jeune premier, Abdelaziz Belaïd, président du Front El Moustakbal, sillonneront le territoire pour prêcher la bonne parole et aiguiller les citoyens sur le bon choix à faire au moment de déposer le bulletin de vote le 17 avril. Reste le cas du candidat Abdelaziz Bouteflika. Un cas inédit dans les annales des présidentielles en Algérie et peut-être un cas unique au monde. Le Président sortant, candidat à sa propre succession, sera le grand absent des meetings électoraux. Il est toujours en convalescence suite à son AVC qui l'éloigne de la scène politique nationale. Il a délégué cette « charge » à ses soutiens qui sont fort nombreux à faire sa promotion et tenter de convaincre l'électorat de voter pour leur candidat qui a fait ses « preuves » dans la gestion des affaires du pays et les nombreuses « réalisations », des acquis au bénéfice des Algériens. Pour la poursuite et le renforcement de cet élan dans le développement durable du pays, les tribuns délégués par le candidat Abdelaziz Bouteflika mettront en exergue le paix retrouvée, la stabilité dont jouit le pays dans un environnement régional très perturbé. Un bilan contesté par ses adversaires, qui sans doute axeront leurs discours sur les « tares » de l'ère Bouteflika à la tête des affaires du pays. Il est superflu de dire que la campagne électorale se fera la fleur aux dents. Des appels sont lancés par les états-majors des candidats pour une campagne électorale « calme et sereine ». Louisa Hanoune promet une campagne « guerrière », les autres candidats affûtent leurs armes. Le FLN, lui, appelle la classe politique à une concurrence "loyale pour présenter l'image de l'Algérie démocratique". Dans un communiqué rendu public à l'issue d'une réunion présidée par le secrétaire général du parti, Amar Saïdani, le bureau politique a appelé le peuple algérien à "un élan national", en votant en masse le 17 avril prochain pour élire "en toute transparence et démocratie le premier magistrat du pays". Le coup d'envoi de la campagne électorale pour les élections présidentielles du 17 avril prochain sera donné demain, dimanche. Les six candidats en lice pour la magistrature suprême sont prêts à se lancer durant les 21 jours à l'assaut de l'électorat à travers le pays. Cinq des postulants seront présents physiquement face aux électeurs auxquels ils expliqueront dans le détail leurs programmes. Ali Benflis, candidat libre, Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Fawzi Rebaïne, président de AHD 54, Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA) et le tout jeune premier, Abdelaziz Belaïd, président du Front El Moustakbal, sillonneront le territoire pour prêcher la bonne parole et aiguiller les citoyens sur le bon choix à faire au moment de déposer le bulletin de vote le 17 avril. Reste le cas du candidat Abdelaziz Bouteflika. Un cas inédit dans les annales des présidentielles en Algérie et peut-être un cas unique au monde. Le Président sortant, candidat à sa propre succession, sera le grand absent des meetings électoraux. Il est toujours en convalescence suite à son AVC qui l'éloigne de la scène politique nationale. Il a délégué cette « charge » à ses soutiens qui sont fort nombreux à faire sa promotion et tenter de convaincre l'électorat de voter pour leur candidat qui a fait ses « preuves » dans la gestion des affaires du pays et les nombreuses « réalisations », des acquis au bénéfice des Algériens. Pour la poursuite et le renforcement de cet élan dans le développement durable du pays, les tribuns délégués par le candidat Abdelaziz Bouteflika mettront en exergue le paix retrouvée, la stabilité dont jouit le pays dans un environnement régional très perturbé. Un bilan contesté par ses adversaires, qui sans doute axeront leurs discours sur les « tares » de l'ère Bouteflika à la tête des affaires du pays. Il est superflu de dire que la campagne électorale se fera la fleur aux dents. Des appels sont lancés par les états-majors des candidats pour une campagne électorale « calme et sereine ». Louisa Hanoune promet une campagne « guerrière », les autres candidats affûtent leurs armes. Le FLN, lui, appelle la classe politique à une concurrence "loyale pour présenter l'image de l'Algérie démocratique". Dans un communiqué rendu public à l'issue d'une réunion présidée par le secrétaire général du parti, Amar Saïdani, le bureau politique a appelé le peuple algérien à "un élan national", en votant en masse le 17 avril prochain pour élire "en toute transparence et démocratie le premier magistrat du pays".