C'est donc aujourd'hui que sera donné le coup d'envoi de la campagne électorale pour l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Les six candidats ou leurs représentants auront ainsi à sillonner l'ensemble du pays de ce dimanche et jusqu'au 13 avril prochain, pour convaincre les électeurs algériens à voter pour eux. Si cinq candidats auront à défendre eux-mêmes leurs programmes, il en sera autrement pour le président candidat. C'est donc aujourd'hui que sera donné le coup d'envoi de la campagne électorale pour l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Les six candidats ou leurs représentants auront ainsi à sillonner l'ensemble du pays de ce dimanche et jusqu'au 13 avril prochain, pour convaincre les électeurs algériens à voter pour eux. Si cinq candidats auront à défendre eux-mêmes leurs programmes, il en sera autrement pour le président candidat. En effet, Abdelaziz Bouteflika, qui a été victime le 27 avril dernier d‘un accident cardio-vasculaire cérébral qui a laissé des séquelles, ne sera pas de la partie durant cette campagne électorale. Il a en effet confié la gestion de sa campagne électorale à un état-major composé de pas moins de sept personnalités. Il s‘agit, en effet, de Abdelmalek Sellal, qui a été choisi pour diriger la direction de la campagne électorale, Amar Saïdani, secrétaire général du FLN, Abdelkader Bensalah, secrétaire général du RND, Amara Benyounès, secrétaire général du MPA, Amar Ghoul, président du parti TAJ, Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem, tous deux d‘anciens chefs de gouvernement et de partis aussi. Ce sont ces sept personnalités qui seront le fer de lance de la campagne électorale du président sortant. Une campagne qui aura pour slogan : "Notre serment pour l‘Algérie". Ce groupe des sept a tenu, avant-hier vendredi, une ultime réunion pour mettre les dernières retouches au programme de la campagne électorale. C‘est ainsi que pas moins de 138 meetings populaires seront organisés à travers les 48 wilayas du pays et à l‘étranger, notamment en France et en Belgique, pour la communauté nationale établie en Europe. Abdelmalek Sellal, qui a déjà été directeur de la campagne électorale de Abdelaziz Bouteflika lors des élections présidentielles de 2007 et 2009, sera, de par son poste, le principal animateur de cette campagne électorale. Il entamera son périple, dès aujourd‘hui, à partir du sud du pays où il va animer des meetings a Adrar et Tamanrasset. Les premiers responsables des quatre partis qui soutiennent le candidat Bouteflika ne seront pas en reste. Amar Saadani, Abdelkader Bensalah, Amar Benyounés et Amar Ghoul auront eux aussi à animer des meetings et des rencontres de proximité selon le planning établi par la direction de la campagne électorale. Amar Saadani sera à Médéa aujourd‘hui. Les chefs du FLN, du RND, du MPA et de TAJ ne manqueront pas aussi d‘avoir des activités propres à leurs partis politiques. Ces quatre leaders ont, à vrai dire, déployé une intense activité bien avant le début de la campagne électorale pour promouvoir l‘image de marque de leur favori. On se rappelle que bien avant que le candidat Bouteflika ne se décide à briguer un quatrième mandat, ces quatre chefs de partis ont fait un grand forcing en faveur de cette perspective et ce, en présentant le président sortant comme le seul garant de la stabilité du pays. Stabilité est d‘ailleurs un mot qui revient souvent tel un leitmotiv dans la bouche des partisans de Bouteflika. Sellal ne cesse lui aussi de marteler que "l‘Algérie a besoin de stabilité". Et, pour mettre tous les atouts de son côté, le président sortant a fait aussi appel à Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem pour prêter main forte à la direction de sa campagne électorale. Ouyahia et Belkhadem, tous deux d‘anciens chefs de gouvernement et qui viennent d‘être nommés à des postes de responsabilité officiels en tant que directeur de cabinet à la présidence de la République pour le premier et conseiller spécial du Président pour le deuxième, n‘ont d‘ailleurs pas attendu le début de la campagne électorale pour passer à l‘offensive. Ils font la promotion du président- candidat depuis quelques jours déjà. Ils vont eux aussi animer des meetings électoraux. Le camp du candidat Bouteflika se présente, en fait, en rangs serrés durant cette campagne électorale qui prendra fin, pour rappel, le 13 avril En effet, Abdelaziz Bouteflika, qui a été victime le 27 avril dernier d‘un accident cardio-vasculaire cérébral qui a laissé des séquelles, ne sera pas de la partie durant cette campagne électorale. Il a en effet confié la gestion de sa campagne électorale à un état-major composé de pas moins de sept personnalités. Il s‘agit, en effet, de Abdelmalek Sellal, qui a été choisi pour diriger la direction de la campagne électorale, Amar Saïdani, secrétaire général du FLN, Abdelkader Bensalah, secrétaire général du RND, Amara Benyounès, secrétaire général du MPA, Amar Ghoul, président du parti TAJ, Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem, tous deux d‘anciens chefs de gouvernement et de partis aussi. Ce sont ces sept personnalités qui seront le fer de lance de la campagne électorale du président sortant. Une campagne qui aura pour slogan : "Notre serment pour l‘Algérie". Ce groupe des sept a tenu, avant-hier vendredi, une ultime réunion pour mettre les dernières retouches au programme de la campagne électorale. C‘est ainsi que pas moins de 138 meetings populaires seront organisés à travers les 48 wilayas du pays et à l‘étranger, notamment en France et en Belgique, pour la communauté nationale établie en Europe. Abdelmalek Sellal, qui a déjà été directeur de la campagne électorale de Abdelaziz Bouteflika lors des élections présidentielles de 2007 et 2009, sera, de par son poste, le principal animateur de cette campagne électorale. Il entamera son périple, dès aujourd‘hui, à partir du sud du pays où il va animer des meetings a Adrar et Tamanrasset. Les premiers responsables des quatre partis qui soutiennent le candidat Bouteflika ne seront pas en reste. Amar Saadani, Abdelkader Bensalah, Amar Benyounés et Amar Ghoul auront eux aussi à animer des meetings et des rencontres de proximité selon le planning établi par la direction de la campagne électorale. Amar Saadani sera à Médéa aujourd‘hui. Les chefs du FLN, du RND, du MPA et de TAJ ne manqueront pas aussi d‘avoir des activités propres à leurs partis politiques. Ces quatre leaders ont, à vrai dire, déployé une intense activité bien avant le début de la campagne électorale pour promouvoir l‘image de marque de leur favori. On se rappelle que bien avant que le candidat Bouteflika ne se décide à briguer un quatrième mandat, ces quatre chefs de partis ont fait un grand forcing en faveur de cette perspective et ce, en présentant le président sortant comme le seul garant de la stabilité du pays. Stabilité est d‘ailleurs un mot qui revient souvent tel un leitmotiv dans la bouche des partisans de Bouteflika. Sellal ne cesse lui aussi de marteler que "l‘Algérie a besoin de stabilité". Et, pour mettre tous les atouts de son côté, le président sortant a fait aussi appel à Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem pour prêter main forte à la direction de sa campagne électorale. Ouyahia et Belkhadem, tous deux d‘anciens chefs de gouvernement et qui viennent d‘être nommés à des postes de responsabilité officiels en tant que directeur de cabinet à la présidence de la République pour le premier et conseiller spécial du Président pour le deuxième, n‘ont d‘ailleurs pas attendu le début de la campagne électorale pour passer à l‘offensive. Ils font la promotion du président- candidat depuis quelques jours déjà. Ils vont eux aussi animer des meetings électoraux. Le camp du candidat Bouteflika se présente, en fait, en rangs serrés durant cette campagne électorale qui prendra fin, pour rappel, le 13 avril