Le Centre d'enfouissement technique de Ben Bekhta dans la commune de Corso à l'ouest de Boumerdès a été fermé, hier, par des habitants pour protester contre les désagréments causés par ce centre depuis sa mise en fonction. Cette Le Centre d'enfouissement technique de Ben Bekhta dans la commune de Corso à l'ouest de Boumerdès a été fermé, hier, par des habitants pour protester contre les désagréments causés par ce centre depuis sa mise en fonction. Cette structure de gestion de déchets ménagers, réalisée par une entreprise portugaise et qui gère une quantité de déchets estimée à 700 tonnes par jour, est devenue, selon les manifestants, source d'odeurs nauséabondes polluant le quotidien des citoyens résidant dans la périphérie de Centre. « Nous ne pouvons plus supporter une telle situation qui va se dégrader encore dans les jours à venir notamment à l'approche des chaleur où les odeurs deviendront notre lot quotidien », affirment des manifestants de la localité Aoudia. Le recours à cette action est justifié, selon eux, par les promesses non tenues des responsables du secteur de l'environnement qui tardent à corriger les erreurs du passé. « On nous a parlé de produits qu'ils promettaient d'utiliser pour atténuer les odeurs mais rien n'a été fait », expliquent-ils avant d'accuser les responsables d'une fuite en avant. Des camions, chargés de déchets ont été empêché d'accéder au CET et ont été contraints de rebroussér chemin. Cette action de protestation intervient au moment où la maison de l'environnement de Boumerdès organisait des journées pour la célébration des Journées mondiales des forêts, de l'eau et de la météorologie en menant des campagnes de sensibilisation pour la préservation de l'environnement. Outre cela, la colère des citoyens intervient quelques jours seulement après que les travaux de réalisation d'un CET à Haï Karouche à Réghaïa, ont été bloqués par des habitants dénonçant l'implantation dudit CET qui à leurs yeux, menace leur santé et l'environnement. structure de gestion de déchets ménagers, réalisée par une entreprise portugaise et qui gère une quantité de déchets estimée à 700 tonnes par jour, est devenue, selon les manifestants, source d'odeurs nauséabondes polluant le quotidien des citoyens résidant dans la périphérie de Centre. « Nous ne pouvons plus supporter une telle situation qui va se dégrader encore dans les jours à venir notamment à l'approche des chaleur où les odeurs deviendront notre lot quotidien », affirment des manifestants de la localité Aoudia. Le recours à cette action est justifié, selon eux, par les promesses non tenues des responsables du secteur de l'environnement qui tardent à corriger les erreurs du passé. « On nous a parlé de produits qu'ils promettaient d'utiliser pour atténuer les odeurs mais rien n'a été fait », expliquent-ils avant d'accuser les responsables d'une fuite en avant. Des camions, chargés de déchets ont été empêché d'accéder au CET et ont été contraints de rebroussér chemin. Cette action de protestation intervient au moment où la maison de l'environnement de Boumerdès organisait des journées pour la célébration des Journées mondiales des forêts, de l'eau et de la météorologie en menant des campagnes de sensibilisation pour la préservation de l'environnement. Outre cela, la colère des citoyens intervient quelques jours seulement après que les travaux de réalisation d'un CET à Haï Karouche à Réghaïa, ont été bloqués par des habitants dénonçant l'implantation dudit CET qui à leurs yeux, menace leur santé et l'environnement.