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La ligne du "ni ni" s'impose à l'UMP face au FN
Elections municipales en France
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 03 - 2014

Portée par des résultats prometteurs aux élections municipales, l'UMP a fait bloc lundi contre le "front républicain" défendu par la gauche pour barrer la route au Front national au second tour en sanctuarisant la doctrine contestée du "ni ni".
Portée par des résultats prometteurs aux élections municipales, l'UMP a fait bloc lundi contre le "front républicain" défendu par la gauche pour barrer la route au Front national au second tour en sanctuarisant la doctrine contestée du "ni ni".
Signe d'un unanimisme nouveau face à la forte poussée du FN, François Fillon, jadis rival de Jean-François Copé à la présidence de l'UMP, s'est aligné sur la consigne officielle du dirigeant du parti d'opposition, qui consiste à ne prendre parti ni pour le FN ni pour le front républicain le 30 mars. "La règle, elle est constante partout : aucune alliance d'aucune sorte avec le FN, mais pas d'appel non plus à voter pour le Parti socialiste, qui est allié avec le Front de gauche", a réaffirmé lundi Jean-François Copé sur BFM TV.
Elle a été entérinée lundi après-midi en bureau politique, les candidats UMP tentés par une alliance ou un désistement en faveur du FN s'exposant à une mesure d'exclusion. "Nous sommes tous d'accord", a déclaré à Reuters Christian Jacob, président du groupe UMP de l'Assemblée nationale, à l'issue de cette réunion à huis clos. "Partout où on est en situation d'être au deuxième tour on se maintient parce qu'on s'est battu au premier tour sous nos couleurs et on sera au deuxième tour sous nos couleurs."
Cette stratégie, arrêtée par Nicolas Sarkozy lors des cantonales de 2011, lorsque le FN s'était maintenu dans près de 400 cantons, a fait l'objet de vifs débats au sein du parti. François Fillon, après s'être dissocié en 2011 de Nicolas Sarkozy en appelant à voter contre le FN, avait amorcé une bombe en septembre dernier en recommandant de voter pour le "moins sectaire" des candidats en cas de duels entre un socialiste et un Front national, une position légitimant de fait le vote FN.
Le député de Paris s'est finalement rallié à la ligne Copé en soulignant dans un communiqué que "vis-à-vis du Front national, aucun désistement et aucune alliance ne peuvent être, pour l'UMP, envisagés".
Alain Juppé, qui fut l'un des Premiers ministres de Jacques Chirac, défenseur alors du "front républicain", a lui-même mis en garde les électeurs contre "le piège" de cette stratégie.
Des cadres de l'UMP notent qu'au sein du PS même, en dépit des consignes des instances nationales, le "front républicain" est en passe d'être enterré. Le député PS Yann Galut, par exemple, estime que "la mort du front républicain est désormais manifeste" car "il ne fonctionne que dans un seul sens".
Jean-François Copé et les autres responsables de l'UMP appellent les électeurs qui ont voté FN au premier tour à reporter leur voix sur le candidat UMP au motif que "si on revote FN au second tour, c'est un coup de main à la gauche". En maintenant partout ses listes au second tour dans les triangulaires et quadrangulaires, l'UMP prend le risque de faire élire un candidat FN, un paradoxe que des élus de gauche dénoncent comme des appels du pied déguisés à l'extrême droite.
Mairie de Paris, un candidat FN à Paris pousse à faire barrage à Hidalgo
L'un des candidats battus du Front national à Paris, Paul-Marie Coûteaux, pousse le parti à appeler à faire barrage à la socialiste Anne Hidalgo si l'UMP Nathalie Kosciusco-Morizet faisait un geste en direction de Marine Le Pen.
Le président de Souveraineté, Indépendance et Libertés (Siel), candidat FN-Rassemblement Bleu Marine (RBM) dans le VIe arrondissement de la capitale, où il a obtenu 4,80% des voix demande à "NKM" de "changer d'attitude" à l'égard de la présidente du FN. "Elle n'a qu'à trouver les mots", a-t-il dit à Reuters. Paul-Marie Coûteaux affirme que quatre autres candidats FN-RBM, également membres du Siel, pourraient adopter la même attitude. Il ajoute qu'il voudrait persuader Wallerand de Saint-Just, le chef de file du FN à Paris, d'être sur la même ligne. "Je pousse à la roue", dit-il.
"Paul-Marie Coûteaux a mis la charrue avant les bœufs", a déclaré pour sa part au Scan du Figaro Philippe Martel, candidat du FN dans le XVIIIe arrondissement et proche du Siel. Nathalie-Kosciusko-Morizet était inscrite sur une "liste noire" établie par Marine Le Pen en juin 2012.
Nathalie Kosciusko-Morizet (35,64%) a devancé Anne Hidalgo (34,40%) au premier tour des municipales mais ne semble pas disposer d'une réserve de voix suffisante au second tour dimanche prochain pour l'emporter en raison notamment de la poussée des écologistes.
Percée du Bleu marine, les villes clés où le FN arrive en tête
Ce premier tour des élections municipales est un « cru exceptionnel pour le FN » et marque la "fin de la bipolarisation de la vie politique", a déclaré Marine Le Pen, après avoir pris connaissance des premiers résultats.
Dans plusieurs villes, le FN arriverait en tête du premier tour ou en deuxième position, se positionnant ainsi en ballotage favorable avant le second tour. Marine Le Pen a annoncé que le FN maintiendrait ses candidats au second tour partout où il en a "la possibilité", mais a laissé la voie ouverte à des réexamens et d'éventuels retraits "dans quelques villes".
Hénin-Beaumont
Steeve Briois, tête de liste FN à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), est élu dès le premier tour avec 50,26 % des voix. Dans cette ville symbole de l'âpre lutte que mène le Front national pour arracher au PS cette terre historiquement à gauche
Forbach
Avec un total de 35,75 % des suffrages, Florian Philippot (FN) devance le député et maire socialiste de Forbach(Moselle), Laurent Kalinowski (33%),
Le candidat du Front national, David Rachline, a pris très largement la tête du premier tour des élection municipales à Fréjus (Var). Dans ce fief conservateur, longtemps tenu par François Léotard, le permanent du parti de Marine Le Pen a profité des divisions de la droite, reléguant les deux candidats de ce camp à plus de 20 points.
C'est finalement le candidat investi par l'UMP, Philippe Mougin, ancien membre de la majorité municipale qui a obtenu l'investiture UMP, qui sort vainqueur de cet affrontement fratricide, avec 18,8 % des voix. Il devance de justesse Elie Brun, le maire sortant (17,6 %), qui n'avait pas obtenu le soutien de son parti.
Beziers
Robert Ménard, le candidat soutenu par le FN pour les municipales à Béziers (Hérault), est arrivé en tête au premier tour dimanche avec 45,4 %, distançant largement l'UMP Elie Aboud (30 %), selon une estimation de l'institut CSA.
Perpignan
Louis Alliot (FN) est en tête à Perpignan face à Jean-Marc Pujol (droite), avec 34,2 % contre 30,57 %..
Avignon
A Avignon, le candidat FN Philippe Lottiaux arriverait en tête du prelmier tour avec 29,8 % des voix. Selon un sondage Ipsos Steria, il devancerait ainsi Cécile Helle (PS-EELV) qui obtiendrait 29,4 %, Bernard Chaussegros (UMP-UDI) avec 20,9 % et André Castelli (Front de gauche) avec 12,7 %. Les deux premiers candidats étant au coude à coude, le second tour se jouera au niveau des alliances, et notamment à gauche, où le Front de gauche pourrait décider de s'allier avec la candidate socialiste.
Tarascon
La candidate FN Valérie Laupies arrive en tête du premier tour de l'élection municipale avec 39,24 % des voix. Elle devance les autres candidats de droite : Lucien Limousin (UD-DVD) qui obtient 33,98 %, Jérôme Grangier (DVD), 16,97 %,
Beaucaire
Le candidat FN, Julien Sanchez, arrive en tête au premier tour de l'élection municipale. Avec 32,84 % des voix, il devance le maire sortant, Jacques Bourboussan.
Saint-Gilles
Le député frontiste Gilbert Collard est crédité de 42,57 % des voix. Il devance le maire sortant Alain Gaido (PS) qui obtient 23,14 % des suffrages.
Signe d'un unanimisme nouveau face à la forte poussée du FN, François Fillon, jadis rival de Jean-François Copé à la présidence de l'UMP, s'est aligné sur la consigne officielle du dirigeant du parti d'opposition, qui consiste à ne prendre parti ni pour le FN ni pour le front républicain le 30 mars. "La règle, elle est constante partout : aucune alliance d'aucune sorte avec le FN, mais pas d'appel non plus à voter pour le Parti socialiste, qui est allié avec le Front de gauche", a réaffirmé lundi Jean-François Copé sur BFM TV.
Elle a été entérinée lundi après-midi en bureau politique, les candidats UMP tentés par une alliance ou un désistement en faveur du FN s'exposant à une mesure d'exclusion. "Nous sommes tous d'accord", a déclaré à Reuters Christian Jacob, président du groupe UMP de l'Assemblée nationale, à l'issue de cette réunion à huis clos. "Partout où on est en situation d'être au deuxième tour on se maintient parce qu'on s'est battu au premier tour sous nos couleurs et on sera au deuxième tour sous nos couleurs."
Cette stratégie, arrêtée par Nicolas Sarkozy lors des cantonales de 2011, lorsque le FN s'était maintenu dans près de 400 cantons, a fait l'objet de vifs débats au sein du parti. François Fillon, après s'être dissocié en 2011 de Nicolas Sarkozy en appelant à voter contre le FN, avait amorcé une bombe en septembre dernier en recommandant de voter pour le "moins sectaire" des candidats en cas de duels entre un socialiste et un Front national, une position légitimant de fait le vote FN.
Le député de Paris s'est finalement rallié à la ligne Copé en soulignant dans un communiqué que "vis-à-vis du Front national, aucun désistement et aucune alliance ne peuvent être, pour l'UMP, envisagés".
Alain Juppé, qui fut l'un des Premiers ministres de Jacques Chirac, défenseur alors du "front républicain", a lui-même mis en garde les électeurs contre "le piège" de cette stratégie.
Des cadres de l'UMP notent qu'au sein du PS même, en dépit des consignes des instances nationales, le "front républicain" est en passe d'être enterré. Le député PS Yann Galut, par exemple, estime que "la mort du front républicain est désormais manifeste" car "il ne fonctionne que dans un seul sens".
Jean-François Copé et les autres responsables de l'UMP appellent les électeurs qui ont voté FN au premier tour à reporter leur voix sur le candidat UMP au motif que "si on revote FN au second tour, c'est un coup de main à la gauche". En maintenant partout ses listes au second tour dans les triangulaires et quadrangulaires, l'UMP prend le risque de faire élire un candidat FN, un paradoxe que des élus de gauche dénoncent comme des appels du pied déguisés à l'extrême droite.
Mairie de Paris, un candidat FN à Paris pousse à faire barrage à Hidalgo
L'un des candidats battus du Front national à Paris, Paul-Marie Coûteaux, pousse le parti à appeler à faire barrage à la socialiste Anne Hidalgo si l'UMP Nathalie Kosciusco-Morizet faisait un geste en direction de Marine Le Pen.
Le président de Souveraineté, Indépendance et Libertés (Siel), candidat FN-Rassemblement Bleu Marine (RBM) dans le VIe arrondissement de la capitale, où il a obtenu 4,80% des voix demande à "NKM" de "changer d'attitude" à l'égard de la présidente du FN. "Elle n'a qu'à trouver les mots", a-t-il dit à Reuters. Paul-Marie Coûteaux affirme que quatre autres candidats FN-RBM, également membres du Siel, pourraient adopter la même attitude. Il ajoute qu'il voudrait persuader Wallerand de Saint-Just, le chef de file du FN à Paris, d'être sur la même ligne. "Je pousse à la roue", dit-il.
"Paul-Marie Coûteaux a mis la charrue avant les bœufs", a déclaré pour sa part au Scan du Figaro Philippe Martel, candidat du FN dans le XVIIIe arrondissement et proche du Siel. Nathalie-Kosciusko-Morizet était inscrite sur une "liste noire" établie par Marine Le Pen en juin 2012.
Nathalie Kosciusko-Morizet (35,64%) a devancé Anne Hidalgo (34,40%) au premier tour des municipales mais ne semble pas disposer d'une réserve de voix suffisante au second tour dimanche prochain pour l'emporter en raison notamment de la poussée des écologistes.
Percée du Bleu marine, les villes clés où le FN arrive en tête
Ce premier tour des élections municipales est un « cru exceptionnel pour le FN » et marque la "fin de la bipolarisation de la vie politique", a déclaré Marine Le Pen, après avoir pris connaissance des premiers résultats.
Dans plusieurs villes, le FN arriverait en tête du premier tour ou en deuxième position, se positionnant ainsi en ballotage favorable avant le second tour. Marine Le Pen a annoncé que le FN maintiendrait ses candidats au second tour partout où il en a "la possibilité", mais a laissé la voie ouverte à des réexamens et d'éventuels retraits "dans quelques villes".
Hénin-Beaumont
Steeve Briois, tête de liste FN à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), est élu dès le premier tour avec 50,26 % des voix. Dans cette ville symbole de l'âpre lutte que mène le Front national pour arracher au PS cette terre historiquement à gauche
Forbach
Avec un total de 35,75 % des suffrages, Florian Philippot (FN) devance le député et maire socialiste de Forbach(Moselle), Laurent Kalinowski (33%),
Le candidat du Front national, David Rachline, a pris très largement la tête du premier tour des élection municipales à Fréjus (Var). Dans ce fief conservateur, longtemps tenu par François Léotard, le permanent du parti de Marine Le Pen a profité des divisions de la droite, reléguant les deux candidats de ce camp à plus de 20 points.
C'est finalement le candidat investi par l'UMP, Philippe Mougin, ancien membre de la majorité municipale qui a obtenu l'investiture UMP, qui sort vainqueur de cet affrontement fratricide, avec 18,8 % des voix. Il devance de justesse Elie Brun, le maire sortant (17,6 %), qui n'avait pas obtenu le soutien de son parti.
Beziers
Robert Ménard, le candidat soutenu par le FN pour les municipales à Béziers (Hérault), est arrivé en tête au premier tour dimanche avec 45,4 %, distançant largement l'UMP Elie Aboud (30 %), selon une estimation de l'institut CSA.
Perpignan
Louis Alliot (FN) est en tête à Perpignan face à Jean-Marc Pujol (droite), avec 34,2 % contre 30,57 %..
Avignon
A Avignon, le candidat FN Philippe Lottiaux arriverait en tête du prelmier tour avec 29,8 % des voix. Selon un sondage Ipsos Steria, il devancerait ainsi Cécile Helle (PS-EELV) qui obtiendrait 29,4 %, Bernard Chaussegros (UMP-UDI) avec 20,9 % et André Castelli (Front de gauche) avec 12,7 %. Les deux premiers candidats étant au coude à coude, le second tour se jouera au niveau des alliances, et notamment à gauche, où le Front de gauche pourrait décider de s'allier avec la candidate socialiste.
Tarascon
La candidate FN Valérie Laupies arrive en tête du premier tour de l'élection municipale avec 39,24 % des voix. Elle devance les autres candidats de droite : Lucien Limousin (UD-DVD) qui obtient 33,98 %, Jérôme Grangier (DVD), 16,97 %,
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Le candidat FN, Julien Sanchez, arrive en tête au premier tour de l'élection municipale. Avec 32,84 % des voix, il devance le maire sortant, Jacques Bourboussan.
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Le député frontiste Gilbert Collard est crédité de 42,57 % des voix. Il devance le maire sortant Alain Gaido (PS) qui obtient 23,14 % des suffrages.


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