Le risque épidémique du virus Ebola en Algérie est "faible", a rassuré jeudi le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans un communiqué. Le risque épidémique du virus Ebola en Algérie est "faible", a rassuré jeudi le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans un communiqué. "Après analyse de la situation, la cellule de veille constituée d'experts de différentes spécialités, considère que le niveau de risque encouru par l'Algérie vis-à-vis de cette maladie (Ebola) est faible", a précisé le ministère qui a, toutefois, arrêté plusieurs mesures de prévention, partant du principe de vigilance. Les raisons principales de ce constat sont, selon le communiqué, liées aux caractéristiques même du virus Ebola, étant donné que "les conditions environnementales et climatiques des différentes régions de l'Algérie et notamment celles du sud ne sont pas propices à la survie du virus". Le ministère de la Santé, a cité aussi, dans le même contexte, "le mode de transmission de la maladie qui nécessite un contact proche et direct avec les liquides biologiques d'une personne atteinte du virus, le caractère circonscrit du foyer épidémique et l'absence de liaisons aériennes directes de l'Algérie avec la Guinée", pays où un foyer épidémique d'Ebola a été notifié par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les mesures de préventions prises, à cet égard, sont la réactivation du dispositif de surveillance et d'alerte au niveau des postes de contrôle sanitaire aux frontières des aéroports et pour l'ensemble des postes d'entrée terrestres pour les wilayas du Sud. La réactivation du dispositif de surveillance consiste, notamment, en "la mobilisation des équipes sanitaires exerçant au niveau des postes de contrôle sanitaire aux frontières, la sensibilisation et l'information des voyageurs, et la prise en charge immédiate d'éventuels malades en provenance du foyer épidémique". La réactivation du dispositif d'alerte et de prise en charge déjà mis en place au niveau des structures de santé et qui consiste en "la mobilisation du personnel de santé, le recours au stock de sécurité des moyens de protection requis, déjà positionné dans les établissements de santé, et l'observation stricte des mesures de précautions universelles", représenté l'autre mesure de prévention prise par le ministère de la Santé. "Après analyse de la situation, la cellule de veille constituée d'experts de différentes spécialités, considère que le niveau de risque encouru par l'Algérie vis-à-vis de cette maladie (Ebola) est faible", a précisé le ministère qui a, toutefois, arrêté plusieurs mesures de prévention, partant du principe de vigilance. Les raisons principales de ce constat sont, selon le communiqué, liées aux caractéristiques même du virus Ebola, étant donné que "les conditions environnementales et climatiques des différentes régions de l'Algérie et notamment celles du sud ne sont pas propices à la survie du virus". Le ministère de la Santé, a cité aussi, dans le même contexte, "le mode de transmission de la maladie qui nécessite un contact proche et direct avec les liquides biologiques d'une personne atteinte du virus, le caractère circonscrit du foyer épidémique et l'absence de liaisons aériennes directes de l'Algérie avec la Guinée", pays où un foyer épidémique d'Ebola a été notifié par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les mesures de préventions prises, à cet égard, sont la réactivation du dispositif de surveillance et d'alerte au niveau des postes de contrôle sanitaire aux frontières des aéroports et pour l'ensemble des postes d'entrée terrestres pour les wilayas du Sud. La réactivation du dispositif de surveillance consiste, notamment, en "la mobilisation des équipes sanitaires exerçant au niveau des postes de contrôle sanitaire aux frontières, la sensibilisation et l'information des voyageurs, et la prise en charge immédiate d'éventuels malades en provenance du foyer épidémique". La réactivation du dispositif d'alerte et de prise en charge déjà mis en place au niveau des structures de santé et qui consiste en "la mobilisation du personnel de santé, le recours au stock de sécurité des moyens de protection requis, déjà positionné dans les établissements de santé, et l'observation stricte des mesures de précautions universelles", représenté l'autre mesure de prévention prise par le ministère de la Santé.