Alger a été la dernière station du safari électoral du candidat Abdelaziz Belaïd, après une virée à l'est du pays à travers Bordj Bou-Arréridj, Sétif et Chelghoum Laïd pour enfin la clôturer au niveau de sa ville natale. Alger a été la dernière station du safari électoral du candidat Abdelaziz Belaïd, après une virée à l'est du pays à travers Bordj Bou-Arréridj, Sétif et Chelghoum Laïd pour enfin la clôturer au niveau de sa ville natale. Après avoir observé ce rituel électoral qui consiste en une minute de silence en hommage à nos martyrs et l'écoute de l'hymne national, ainsi qu'un film documentaire relatant son parcours militant, une manière de le présenter au grand public. Le candidat du Front El Moustakbal à l'élection présidentielle du 17 avril, Abdelaziz Belaïd, s'est engagé, devant une marée humaine, venue lui tendre l'oreille, à la salle omnisport d'El Biar, qu' au cas où il sera élu le 17 avril prochain à appeler à un dialogue entre toutes les parties de la société civile, ainsi qu'un autre appel aux hauts responsables de l'armée. Car l'armée est la colonne vertébrale de chaque nation. Les trois constantes nationales ont été mises en avant par le candidat du Front El Moustakbal, s'engageant à leur donner leur juste valeur surtout la langue tamazight qui a été mise à l'écart. Une meilleure diplomatie, qui représentera le pays dignement, l'immigration, le SNMG, la construction de 1.000 villages agricoles, 3 grands ports internationaux, limitation de mandats. Le candidat du Front El Moustakbal à l'élection présidentielle du 17 avril, Abdelaziz Belaïd, s'est engagé, encore une fois, à opérer une restructuration ''profonde'' du système éducatif national en procédant notamment à la suppression de l'examen de fin du cycle primaire et à la révision des programmes scolaires, ''Il faut opérer un changement profond du système éducatif national en procédant notamment à la suppression de l'examen de fin du cycle primaire et la révision des programmes'', a-t-il déclaré. M. Belaïd a promis, sous les ovations du public venu nombreux l'acclamer, d'''éradiquer le fléau de la surcharge dans les différents cycles de l'enseignement afin d'assurer la qualité'' en fournissant tous les moyens humains et matériels pour la réussite des élèves. Déplorant la gestion actuelle du système d'éducation nationale qu'il a qualifié de ''laboratoire d'expériences'', il a affirmé que le nouveau système éducatif algérien doit être ''plus ouvert'' sur les langues étrangères, les cultures et les civilisations des autres peuples et ''plus apte'' à se mettre au diapason avec les innovations et les avancées scientifiques et technologiques de par le monde. ''L'Algérie dispose de grandes potentialités agricoles qu'elle a perdues au fil des ans au point où notre pays est devenu l'un des plus grands pays importateurs de denrées alimentaires. Ce qui pourrait menacer sa sécurité alimentaire'', a-t-il averti. Encore une fois, le candidat du Front El Moustakbal, lance un appel pour unifier les rangs de tous les enfants de l'Algérie et la fin des divisions "en faisant de notre pays un Etat fort et prospère et rester vigilants qu'il est impératif de rester unis et soudés, en dépit des divergences d'opinion'', a-t-il préconisé. Et pour terminer, le Dr Belaïd, lance un appel à ceux qui doutent de cette jeunesse, ''car vous changerez d'avis le 17 du mois en cours''. Après avoir observé ce rituel électoral qui consiste en une minute de silence en hommage à nos martyrs et l'écoute de l'hymne national, ainsi qu'un film documentaire relatant son parcours militant, une manière de le présenter au grand public. Le candidat du Front El Moustakbal à l'élection présidentielle du 17 avril, Abdelaziz Belaïd, s'est engagé, devant une marée humaine, venue lui tendre l'oreille, à la salle omnisport d'El Biar, qu' au cas où il sera élu le 17 avril prochain à appeler à un dialogue entre toutes les parties de la société civile, ainsi qu'un autre appel aux hauts responsables de l'armée. Car l'armée est la colonne vertébrale de chaque nation. Les trois constantes nationales ont été mises en avant par le candidat du Front El Moustakbal, s'engageant à leur donner leur juste valeur surtout la langue tamazight qui a été mise à l'écart. Une meilleure diplomatie, qui représentera le pays dignement, l'immigration, le SNMG, la construction de 1.000 villages agricoles, 3 grands ports internationaux, limitation de mandats. Le candidat du Front El Moustakbal à l'élection présidentielle du 17 avril, Abdelaziz Belaïd, s'est engagé, encore une fois, à opérer une restructuration ''profonde'' du système éducatif national en procédant notamment à la suppression de l'examen de fin du cycle primaire et à la révision des programmes scolaires, ''Il faut opérer un changement profond du système éducatif national en procédant notamment à la suppression de l'examen de fin du cycle primaire et la révision des programmes'', a-t-il déclaré. M. Belaïd a promis, sous les ovations du public venu nombreux l'acclamer, d'''éradiquer le fléau de la surcharge dans les différents cycles de l'enseignement afin d'assurer la qualité'' en fournissant tous les moyens humains et matériels pour la réussite des élèves. Déplorant la gestion actuelle du système d'éducation nationale qu'il a qualifié de ''laboratoire d'expériences'', il a affirmé que le nouveau système éducatif algérien doit être ''plus ouvert'' sur les langues étrangères, les cultures et les civilisations des autres peuples et ''plus apte'' à se mettre au diapason avec les innovations et les avancées scientifiques et technologiques de par le monde. ''L'Algérie dispose de grandes potentialités agricoles qu'elle a perdues au fil des ans au point où notre pays est devenu l'un des plus grands pays importateurs de denrées alimentaires. Ce qui pourrait menacer sa sécurité alimentaire'', a-t-il averti. Encore une fois, le candidat du Front El Moustakbal, lance un appel pour unifier les rangs de tous les enfants de l'Algérie et la fin des divisions "en faisant de notre pays un Etat fort et prospère et rester vigilants qu'il est impératif de rester unis et soudés, en dépit des divergences d'opinion'', a-t-il préconisé. Et pour terminer, le Dr Belaïd, lance un appel à ceux qui doutent de cette jeunesse, ''car vous changerez d'avis le 17 du mois en cours''.