Le bilan de l'attentat ayant ciblé un convoi de l'Armée nationale populaire s'est alourdi. Pas moins de quatorze militaires ont trouvé la mort dans la nuit de samedi à dimanche passé à 22 h près d'Iboudrarene, à cinquante kilomètres au sud du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Le bilan de l'attentat ayant ciblé un convoi de l'Armée nationale populaire s'est alourdi. Pas moins de quatorze militaires ont trouvé la mort dans la nuit de samedi à dimanche passé à 22 h près d'Iboudrarene, à cinquante kilomètres au sud du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. On parle aussi d'une dizaine de blessés dont cinq seraient dans un état critique. Plusieurs versions ont circulé, hier, concernant les circonstances de cette attaque terroriste. La version la plus plausible, en revanche, parle d'un bus qui transportait des militaires ayant été surpris par une attaque menée par un nombre important de terroristes qui étaient embusqués au niveau de la route reliant les deux commune d'Iboudrarène et Ouacif, plus exactement au niveau du lieu-dit : la Carrière. L'attentat s'est produit au passage d'un bus de transport des éléments de l'ANP. Le bus, qui a été visé par les terroristes, transportait des soldats devant prendre la relève au campement militaire implanté dans cette partie de la commune d'Iboudrarene. "Un convoi de l'Armée nationale populaire (ANP), qui revenait d'une opération de sécurisation du scrutin présidentiel de jeudi dernier, a été surpris par un important groupe terroriste qui lui a tendu une embuscade, au lieudit : la Carrière. Onze militaires ont été tués sur le coup et trois autres, grièvement atteints, ont succombé à leurs blessures, a précisé la même source", indique un communiqué du MDN. Une opération de recherche a été immédiatement déclenchée par l'ANP pour retrouver les assaillants, a-t-on indiqué.En effet, les victimes de cet attentat venaient de prendre part à une opération de ratissage qui s'est étalée sur plus d'une vingtaine de jours et ayant touché la zone boisée sise entre les communes de Ouacif et Iboudrarene. Le bus qui transportaient les militaires a essuyé de nombreuses rafales de Kalachnikovs ayant tué sur le coup quatorze soldats. Les forces de l'ANP ont vite réagi à cette attaque et un violent accrochage a opposé les militaires aux terroristes. Les échanges de coups de feu ont duré pratiquement toute la nuit, apprend-on auprès de citoyens résidant dans la région d'Iboudrarene, contactés par téléphone, hier à la mi-journée. En outre, les citoyens de toute la région d'Iboudrarene et de Ouacif étaient sous le choc, hier, suite à cet attentat qui a ravisé les peurs ayant prévalu suite à d'autres actions similaires ayant eu lieu dans la même région, il y a quelques années. L'attentat d'Iboudrarene intervient après une très longue période d'accalmie ayant régné dans les quatre coins de la wilaya de Tizi-Ouzou mais aussi après l'élimination de plusieurs dizaines de terroristes par les forces de l'ANP dans la même région. On parle aussi d'une dizaine de blessés dont cinq seraient dans un état critique. Plusieurs versions ont circulé, hier, concernant les circonstances de cette attaque terroriste. La version la plus plausible, en revanche, parle d'un bus qui transportait des militaires ayant été surpris par une attaque menée par un nombre important de terroristes qui étaient embusqués au niveau de la route reliant les deux commune d'Iboudrarène et Ouacif, plus exactement au niveau du lieu-dit : la Carrière. L'attentat s'est produit au passage d'un bus de transport des éléments de l'ANP. Le bus, qui a été visé par les terroristes, transportait des soldats devant prendre la relève au campement militaire implanté dans cette partie de la commune d'Iboudrarene. "Un convoi de l'Armée nationale populaire (ANP), qui revenait d'une opération de sécurisation du scrutin présidentiel de jeudi dernier, a été surpris par un important groupe terroriste qui lui a tendu une embuscade, au lieudit : la Carrière. Onze militaires ont été tués sur le coup et trois autres, grièvement atteints, ont succombé à leurs blessures, a précisé la même source", indique un communiqué du MDN. Une opération de recherche a été immédiatement déclenchée par l'ANP pour retrouver les assaillants, a-t-on indiqué.En effet, les victimes de cet attentat venaient de prendre part à une opération de ratissage qui s'est étalée sur plus d'une vingtaine de jours et ayant touché la zone boisée sise entre les communes de Ouacif et Iboudrarene. Le bus qui transportaient les militaires a essuyé de nombreuses rafales de Kalachnikovs ayant tué sur le coup quatorze soldats. Les forces de l'ANP ont vite réagi à cette attaque et un violent accrochage a opposé les militaires aux terroristes. Les échanges de coups de feu ont duré pratiquement toute la nuit, apprend-on auprès de citoyens résidant dans la région d'Iboudrarene, contactés par téléphone, hier à la mi-journée. En outre, les citoyens de toute la région d'Iboudrarene et de Ouacif étaient sous le choc, hier, suite à cet attentat qui a ravisé les peurs ayant prévalu suite à d'autres actions similaires ayant eu lieu dans la même région, il y a quelques années. L'attentat d'Iboudrarene intervient après une très longue période d'accalmie ayant régné dans les quatre coins de la wilaya de Tizi-Ouzou mais aussi après l'élimination de plusieurs dizaines de terroristes par les forces de l'ANP dans la même région.